La limite d’âge fixée à 60 ans pour faire reconnaître son handicap exclut d’emblée les personnes qui ont été diagnostiquées après 60 ans.
Ces dernières ne pourront plus obtenir le statut de personne handicapée octroyée par la MDPH; on parle ensuite de perte d’autonomie liée à la vieillesse, alors que l’apparition du handicap n’est en rien corrélée à l’âge de la personne.
Ainsi, seules un quart des personnes malades depuis plus de dix ans ont obtenu une reconnaissance de handicap par la MDPH. Et 6% d’entre elles seulement ont, en outre, obtenu une RQTH.
Rappelons que ce statut s’avère nécessaire pour faire valoir les besoins d’aménagements liés au handicap en entreprise pour les personnes en âge de travailler, est souvent difficile à obtenir, les MDPH ne classifiant pas toutes la maladie de Parkinson parmi les maladies handicapantes.
Les pratiques des MDPH peuvent en effet sensiblement varier d’un département à l’autre. Nombre de demandeurs se plaignent régulièrement des difficultés qu’ils ont à faire valoir leurs droits auprès de cet organisme selon leur lieu de résidence.
Dans ce contexte et à l’occasion de la Journée Mondiale de la Maladie de Parkinson, l’association France Parkinson demande à ce que les MDPH se réfèrent à une grille commune systématisant la prise en compte de la maladie de Parkinson comme maladie invalidante.
L’association pointe également le besoin de sensibiliser et former les médecins du travail à Parkinson afin qu’ils puissent constituer un véritable recours pour les personnes malades en activité professionnelle.
Pour rappel, la maladie de Parkinson et les maladies apparentées touchent actuellement plus de 270.000 personnes en France et connaissent la croissance la plus rapide au monde : 2,5 fois plus de cas ont été recensés en 25 ans et une augmentation de 30% est estimée à horizon 2030.
Dans le cadre de cette Journée Mondiale de la maladie de Parkinson, 50 événements seront organisés par les comités départementaux de l’association France Parkinson. Ouvertes à tous, ces journées s’adressent en premier lieu aux personnes touchées par la maladie, à leurs proches aidants, ainsi qu’aux professionnels de santé impliqués dans leur prise en charge.
Ces dernières ne pourront plus obtenir le statut de personne handicapée octroyée par la MDPH; on parle ensuite de perte d’autonomie liée à la vieillesse, alors que l’apparition du handicap n’est en rien corrélée à l’âge de la personne.
Ainsi, seules un quart des personnes malades depuis plus de dix ans ont obtenu une reconnaissance de handicap par la MDPH. Et 6% d’entre elles seulement ont, en outre, obtenu une RQTH.
Rappelons que ce statut s’avère nécessaire pour faire valoir les besoins d’aménagements liés au handicap en entreprise pour les personnes en âge de travailler, est souvent difficile à obtenir, les MDPH ne classifiant pas toutes la maladie de Parkinson parmi les maladies handicapantes.
Les pratiques des MDPH peuvent en effet sensiblement varier d’un département à l’autre. Nombre de demandeurs se plaignent régulièrement des difficultés qu’ils ont à faire valoir leurs droits auprès de cet organisme selon leur lieu de résidence.
Dans ce contexte et à l’occasion de la Journée Mondiale de la Maladie de Parkinson, l’association France Parkinson demande à ce que les MDPH se réfèrent à une grille commune systématisant la prise en compte de la maladie de Parkinson comme maladie invalidante.
L’association pointe également le besoin de sensibiliser et former les médecins du travail à Parkinson afin qu’ils puissent constituer un véritable recours pour les personnes malades en activité professionnelle.
Pour rappel, la maladie de Parkinson et les maladies apparentées touchent actuellement plus de 270.000 personnes en France et connaissent la croissance la plus rapide au monde : 2,5 fois plus de cas ont été recensés en 25 ans et une augmentation de 30% est estimée à horizon 2030.
Dans le cadre de cette Journée Mondiale de la maladie de Parkinson, 50 événements seront organisés par les comités départementaux de l’association France Parkinson. Ouvertes à tous, ces journées s’adressent en premier lieu aux personnes touchées par la maladie, à leurs proches aidants, ainsi qu’aux professionnels de santé impliqués dans leur prise en charge.