Dans ce contexte, et dans le cadre de la Semaine nationale du rein, le laboratoire AstraZeneca avec le soutien d’associations de patients -Alliance du cœur, le Collectif National des Associations d’Obèses (CNAO), France Rein- vient de présenter les résultats d’une enquête* réalisée avec Ipsos sur les connaissances des Français sur le rein et la MRC.
Avant de présenter ces résultats, rappelons que la MRC est une altération du fonctionnement des reins qui ne filtrent plus correctement le sang de l’organisme. Il s’agit d’une pathologie sévère et progressive dont les principales causes sont le diabète, l’hypertension artérielle et l’obésité (des causes en partie évitables donc…).
Ainsi, près de deux-tiers des individus vivant avec un diabète de type 2 et un tiers de ceux qui vivent avec une hypertension artérielle souffrent d’une maladie rénale chronique. Et comme cette maladie s’avère « silencieuse » (on ne s’en rend pas compte, sauf quand c’est un peu tard), elle est souvent diagnostiquée tardivement, nécessitant alors de recourir à la dialyse ou à la greffe.
De fait, la moitié des patients n’est pas diagnostiquée et un tiers arrivant au stade sévère n’a jamais été pris en charge auparavant. Dans ce contexte, on comprend bien que le taux de mortalité s’avère très élevé, près de 25% des patients au stade modéré de la maladie décèdent dans les cinq ans…
Et pourtant, les facteurs de risque sont connus et le diagnostic de la maladie rénale chronique est simple puisqu’il se réalise à partir d’une prise de sang et d’une analyse d’urine.
Il faut savoir qu’un dépistage précoce ralentirait de moitié la progression de la maladie, il convient donc que les personnes qui présentent un risque de développer cette MRC soient dépistées le plus tôt possible !
« Cette situation du sous-dépistage de la MRC constitue un véritable paradoxe de santé publique.
Voici en effet une maladie très répandue, dont les facteurs de risque sont bien connus, facile à dépister
(une simple prise de sang et un dosage urinaire) et qui pourtant reste majoritairement invisible » indique Gabriel Thabut, directeur médical BBU d’AstraZeneca France.
Avant de présenter ces résultats, rappelons que la MRC est une altération du fonctionnement des reins qui ne filtrent plus correctement le sang de l’organisme. Il s’agit d’une pathologie sévère et progressive dont les principales causes sont le diabète, l’hypertension artérielle et l’obésité (des causes en partie évitables donc…).
Ainsi, près de deux-tiers des individus vivant avec un diabète de type 2 et un tiers de ceux qui vivent avec une hypertension artérielle souffrent d’une maladie rénale chronique. Et comme cette maladie s’avère « silencieuse » (on ne s’en rend pas compte, sauf quand c’est un peu tard), elle est souvent diagnostiquée tardivement, nécessitant alors de recourir à la dialyse ou à la greffe.
De fait, la moitié des patients n’est pas diagnostiquée et un tiers arrivant au stade sévère n’a jamais été pris en charge auparavant. Dans ce contexte, on comprend bien que le taux de mortalité s’avère très élevé, près de 25% des patients au stade modéré de la maladie décèdent dans les cinq ans…
Et pourtant, les facteurs de risque sont connus et le diagnostic de la maladie rénale chronique est simple puisqu’il se réalise à partir d’une prise de sang et d’une analyse d’urine.
Il faut savoir qu’un dépistage précoce ralentirait de moitié la progression de la maladie, il convient donc que les personnes qui présentent un risque de développer cette MRC soient dépistées le plus tôt possible !
« Cette situation du sous-dépistage de la MRC constitue un véritable paradoxe de santé publique.
Voici en effet une maladie très répandue, dont les facteurs de risque sont bien connus, facile à dépister
(une simple prise de sang et un dosage urinaire) et qui pourtant reste majoritairement invisible » indique Gabriel Thabut, directeur médical BBU d’AstraZeneca France.