En France, ce sont plus de 60.000 personnes qui seraient concernées par des problèmes de vue rares comme l’extrême myopie (à partir de -16 dioptrie) ou l’hypermétropie surdéveloppée (à partir de +8 dioptrie).
Ces défauts visuels particulièrement sérieux peuvent être liés à de nombreuses maladies ou accidents de la vie. Un AVC, une tumeur, des complications liées à une naissance prématurée…
C’est pour permettre à tous ces individus de bien voir, quel que soit leur défaut visuel, que cette entreprise française cherche continuellement à repousser les limites de la correction visuelle.
En lien avec les ophtalmologues et les opticiens, ces équipes s’emploient à trouver des solutions pour tous et concevoir des verres spécifiques, quelle que soit la correction inscrite sur l’ordonnance.
« La volonté de produire ces verres spéciaux répondant à des défauts visuels hors norme s’inscrit dans notre démarche d’engagement sociétal et durable chez Essilor. Nous ne nous mettons aucune limite : aujourd’hui, nous avons mis au point des verres spéciaux allant de -108 (myopie) à +90 (hypermétropie) et nous ne nous arrêterons pas là ! » déclare Prûne Marre, directrice générale d’Essilor France.
Et de préciser « quand les verres standards ne suffisent pas, l’expertise d’Essilor permet d’apporter des solutions adaptées et de redonner espoir à ceux qui n’en n’ont plus ".
Plus concrètement, ces verres spéciaux sont créés au SL Lab de Ligny-en-Barrois dans la Meuse. Précisons qu’il s’agit de la seule unité mondiale de production. Le site offre R&D, outillage de fabrication et un savoir-faire porté par 81 opérateurs verres spéciaux. Une expertise qui s’acquiert au cours de trois années de formation interne par compagnonnage !
En général, un seul verre correcteur standard représente 65 étapes de fabrication et sa conception requiert une précision inférieure à la taille d’un cheveu. La différence d’un verre spécial est qu’il peut requérir l’assemblage de six verres différents en un pour combiner les puissances de sphères, de cylindres ou de prisme.
Contrairement aux verres ophtalmiques standards qui sont usinés à la chaîne, les verres spéciaux doivent être vérifiés un par un par les opérateurs, à chaque étape du process, qui dure généralement 1 à 2 semaines. Certifiés OFG (Origine France Garantie), ces verres spéciaux peuvent aussi bénéficier des filtres et traitements développés par Essilor (lumière bleue-violet, anti-reflet, anti-rayure…).
Berceau d’Essilor, le site des Battants, situé à Ligny-En-Barrois, fut fondé en 1867. Il s’agit du cœur historique du verrier français qui y a également développé en 1959, les premiers verres progressifs.
C’est en 2014 qu’a été lancée l’activité Verres Spéciaux, qui constitue encore à ce jour la seule unité de production mondiale pour ce type de verre.
Depuis son lancement, ce sont 300.000 porteurs de lunettes aux besoins hors-normes qui ont été équipés. Au total, ce sont 80.000 verres par an qui sont réalisés par les opérateurs du SL Lab à Ligny-En-Barrois, dont la moitié part à l’export dans 35 pays du monde (ensemble de l’Europe, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud…) et l’autre moitié sur le marché français.
Ces défauts visuels particulièrement sérieux peuvent être liés à de nombreuses maladies ou accidents de la vie. Un AVC, une tumeur, des complications liées à une naissance prématurée…
C’est pour permettre à tous ces individus de bien voir, quel que soit leur défaut visuel, que cette entreprise française cherche continuellement à repousser les limites de la correction visuelle.
En lien avec les ophtalmologues et les opticiens, ces équipes s’emploient à trouver des solutions pour tous et concevoir des verres spécifiques, quelle que soit la correction inscrite sur l’ordonnance.
« La volonté de produire ces verres spéciaux répondant à des défauts visuels hors norme s’inscrit dans notre démarche d’engagement sociétal et durable chez Essilor. Nous ne nous mettons aucune limite : aujourd’hui, nous avons mis au point des verres spéciaux allant de -108 (myopie) à +90 (hypermétropie) et nous ne nous arrêterons pas là ! » déclare Prûne Marre, directrice générale d’Essilor France.
Et de préciser « quand les verres standards ne suffisent pas, l’expertise d’Essilor permet d’apporter des solutions adaptées et de redonner espoir à ceux qui n’en n’ont plus ".
Plus concrètement, ces verres spéciaux sont créés au SL Lab de Ligny-en-Barrois dans la Meuse. Précisons qu’il s’agit de la seule unité mondiale de production. Le site offre R&D, outillage de fabrication et un savoir-faire porté par 81 opérateurs verres spéciaux. Une expertise qui s’acquiert au cours de trois années de formation interne par compagnonnage !
En général, un seul verre correcteur standard représente 65 étapes de fabrication et sa conception requiert une précision inférieure à la taille d’un cheveu. La différence d’un verre spécial est qu’il peut requérir l’assemblage de six verres différents en un pour combiner les puissances de sphères, de cylindres ou de prisme.
Contrairement aux verres ophtalmiques standards qui sont usinés à la chaîne, les verres spéciaux doivent être vérifiés un par un par les opérateurs, à chaque étape du process, qui dure généralement 1 à 2 semaines. Certifiés OFG (Origine France Garantie), ces verres spéciaux peuvent aussi bénéficier des filtres et traitements développés par Essilor (lumière bleue-violet, anti-reflet, anti-rayure…).
Berceau d’Essilor, le site des Battants, situé à Ligny-En-Barrois, fut fondé en 1867. Il s’agit du cœur historique du verrier français qui y a également développé en 1959, les premiers verres progressifs.
C’est en 2014 qu’a été lancée l’activité Verres Spéciaux, qui constitue encore à ce jour la seule unité de production mondiale pour ce type de verre.
Depuis son lancement, ce sont 300.000 porteurs de lunettes aux besoins hors-normes qui ont été équipés. Au total, ce sont 80.000 verres par an qui sont réalisés par les opérateurs du SL Lab à Ligny-En-Barrois, dont la moitié part à l’export dans 35 pays du monde (ensemble de l’Europe, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud…) et l’autre moitié sur le marché français.