On le sait, de nos jours, de plus en plus d’ouvrages sont consacrés au bien vieillir des populations. Normal, puisque le monde n’a jamais été aussi « vieux » et que cette tendance démographique sans précédent dans l’histoire de l’Humanité va encore durer quelques décennies (en gros jusqu’à 2050 selon les démographes).
Dernier livre publié en date à ce sujet ? Les nouvelles stratégies de prévention pour vivre et vieillir en bonne santé rédigé par onze personnalités du Collège de France et publié par l’Institut Diderot.
Comme le soulignent Jean-Claude Seys et André Comte-Sponville, président et directeur général de l’Institut Diderot : « la santé concerne tout le monde. Elle a aussi une importance économique considérable : absorbant un peu plus de 10% du PIB national, elle emploie au sens large, 2,5 millions de personnes ».
Et d’ajouter : « C’est donc un sujet majeur. Et pourtant, les médias lui consacraient jusqu’à peu un espace relativement réduit. Heureusement, les choses ont changé. C’est peut-être un des aspects positifs de la pandémie de Covid-19.
Au cours des derniers mois, la santé a souvent été le principal sujet par les médias et les réseaux sociaux, ce qui a permis de mettre en lumière un certain nombre de problèmes auquel notre système de santé est et sera confronté : les déserts médicaux, les sous-effectifs d’un grand nombre de métiers de la santé publique, l’engorgement des services d’urgence, l’hypertrophie administrative et le déficit de la Sécurité Sociale ».
Et de conclure : « Si nous voulons que nos concitoyens puissent vivre et vieillir en bonne santé sans que notre système de soins ne s’effondre, une réorientation décisive de la médecine française doit avoir lieu, qui mise sur la prévention et non sur la seule médecine curative ».
Dernier livre publié en date à ce sujet ? Les nouvelles stratégies de prévention pour vivre et vieillir en bonne santé rédigé par onze personnalités du Collège de France et publié par l’Institut Diderot.
Comme le soulignent Jean-Claude Seys et André Comte-Sponville, président et directeur général de l’Institut Diderot : « la santé concerne tout le monde. Elle a aussi une importance économique considérable : absorbant un peu plus de 10% du PIB national, elle emploie au sens large, 2,5 millions de personnes ».
Et d’ajouter : « C’est donc un sujet majeur. Et pourtant, les médias lui consacraient jusqu’à peu un espace relativement réduit. Heureusement, les choses ont changé. C’est peut-être un des aspects positifs de la pandémie de Covid-19.
Au cours des derniers mois, la santé a souvent été le principal sujet par les médias et les réseaux sociaux, ce qui a permis de mettre en lumière un certain nombre de problèmes auquel notre système de santé est et sera confronté : les déserts médicaux, les sous-effectifs d’un grand nombre de métiers de la santé publique, l’engorgement des services d’urgence, l’hypertrophie administrative et le déficit de la Sécurité Sociale ».
Et de conclure : « Si nous voulons que nos concitoyens puissent vivre et vieillir en bonne santé sans que notre système de soins ne s’effondre, une réorientation décisive de la médecine française doit avoir lieu, qui mise sur la prévention et non sur la seule médecine curative ».