Depuis une vingtaine d’année le numérique n’a fait que croitre au sein de notre quotidien. Et compte-tenu de la progression des nouvelles technologies et des réseaux sociaux dans les années à venir, cette tendance est loin d’être à son apogée.
Oui mais voilà, ce patrimoine, qui prend de plus en plus de valeur -sentimentale et financière-, n’est pas répertorié par les notaires. Il peut regrouper nos photos et nos vidéos souvenirs, nos placements financiers, nos cryptomonnaies, nos comptes sur les réseaux sociaux, nos boîtes emails et tous les codes d’accès que l’on garde en mémoire.
Et bien évidemment, à notre mort, toutes ces , or ces informations ont toutes les chances d’être perdues ou inaccessibles. D’où la nécessité de mettre en place des solutions permettant la transmission et/ou la conservation de ces données.
Parmi elles, cette plateforme legapass.com où vous pouvez enregistrer « en toute confidentialité et avec le plus haut niveau de sécurité », assure le communiqué, « vos identifiants et code d’accès. Ils sont gardés par des algorithmes de chiffrement de niveau militaire et stockés dans des serveurs inaccessibles depuis Internet ». Personne ne pourra y accéder, pas même les équipes techniques de Legapass.
Après le décès du détenteur de ce patrimoine numérique, la société s’engage à transmettre ces informations, sous le contrôle d'un huissier de justice, aux héritiers désignés par l’acte de notoriété.
La solution peut être utilisée gratuitement. En cas de décès ce sont les héritiers qui auront à payer les frais de transmission pour un coût allant de 360€ à 500€ en fonction de la durée de conservation des
données.
Une formule « premium » propose plus de services et assure une transmission sans frais pour les héritiers, elle est facturée 3,99€ par mois ou 299€ à vie.
Oui mais voilà, ce patrimoine, qui prend de plus en plus de valeur -sentimentale et financière-, n’est pas répertorié par les notaires. Il peut regrouper nos photos et nos vidéos souvenirs, nos placements financiers, nos cryptomonnaies, nos comptes sur les réseaux sociaux, nos boîtes emails et tous les codes d’accès que l’on garde en mémoire.
Et bien évidemment, à notre mort, toutes ces , or ces informations ont toutes les chances d’être perdues ou inaccessibles. D’où la nécessité de mettre en place des solutions permettant la transmission et/ou la conservation de ces données.
Parmi elles, cette plateforme legapass.com où vous pouvez enregistrer « en toute confidentialité et avec le plus haut niveau de sécurité », assure le communiqué, « vos identifiants et code d’accès. Ils sont gardés par des algorithmes de chiffrement de niveau militaire et stockés dans des serveurs inaccessibles depuis Internet ». Personne ne pourra y accéder, pas même les équipes techniques de Legapass.
Après le décès du détenteur de ce patrimoine numérique, la société s’engage à transmettre ces informations, sous le contrôle d'un huissier de justice, aux héritiers désignés par l’acte de notoriété.
La solution peut être utilisée gratuitement. En cas de décès ce sont les héritiers qui auront à payer les frais de transmission pour un coût allant de 360€ à 500€ en fonction de la durée de conservation des
données.
Une formule « premium » propose plus de services et assure une transmission sans frais pour les héritiers, elle est facturée 3,99€ par mois ou 299€ à vie.