On sait aujourd’hui qu’un muscle âgé, lorsqu’il est stimulé, permet de préserver une bonne santé globale et prévenir la sarcopénie, une fonte musculaire progressive qui concerne près d’un Européen sur 5 de plus de 55 ans.
Rappelons que la sarcopénie peut entraîner jusqu’à 30% de perte de masse musculaire, soit près du tiers, dès 50/55 ans et constitue la principale cause de chutes chez les personnes âgées.
« À l’Institut de Myologie, nos recherches visent à mieux comprendre les mécanismes de ce déclin pour mieux le prévenir ou en limiter les effets » indique le communiqué de presse de l’établissement.
Identifiée seulement récemment, la sarcopénie apparait depuis une quinzaine d’années comme une des pathologies dégénératives significativement impactantes pour la santé des personnes âgées de plus de 60 ans.
Ces dernières années, de nombreuses études sur la compréhension de son mécanisme se sont multipliées, révélant peu à peu l’ampleur de la pathologie et la multiplicité des facteurs de risque. Surtout dans un monde où les populations vieillissent…
Il faut savoir que la multiplicité des facteurs de risque de la sarcopénie rendent cette pathologie très singulière : elle reste trop peu connue et encore difficile à diagnostiquer ; à ce titre, elle doit être prévenue ou ralentie par un exercice physique régulier et une nutrition appropriée et ce, dès 50 ans !
Au-delà de la sarcopénie, entretenir sa santé musculaire permet aussi de prévenir les récidives de certains cancers, tel que le cancer du sein, de réguler le diabète, le cholestérol, et de conserver un bon équilibre général.
À noter aussi : des pratiques comme la danse ont montré des effets très positifs chez les seniors, notamment dans la prévention des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson. C’est également bénéfique pour l’équilibre, bien évidemment !
Pas besoin de courir un marathon : quelques pas chaque jour, un peu de marche ou un peu de danse peuvent déjà faire une vraie différence. Un muscle actif, c’est parfois plus efficace qu’un médicament ! A bon entendeur !
Rappelons que la sarcopénie peut entraîner jusqu’à 30% de perte de masse musculaire, soit près du tiers, dès 50/55 ans et constitue la principale cause de chutes chez les personnes âgées.
« À l’Institut de Myologie, nos recherches visent à mieux comprendre les mécanismes de ce déclin pour mieux le prévenir ou en limiter les effets » indique le communiqué de presse de l’établissement.
Identifiée seulement récemment, la sarcopénie apparait depuis une quinzaine d’années comme une des pathologies dégénératives significativement impactantes pour la santé des personnes âgées de plus de 60 ans.
Ces dernières années, de nombreuses études sur la compréhension de son mécanisme se sont multipliées, révélant peu à peu l’ampleur de la pathologie et la multiplicité des facteurs de risque. Surtout dans un monde où les populations vieillissent…
Il faut savoir que la multiplicité des facteurs de risque de la sarcopénie rendent cette pathologie très singulière : elle reste trop peu connue et encore difficile à diagnostiquer ; à ce titre, elle doit être prévenue ou ralentie par un exercice physique régulier et une nutrition appropriée et ce, dès 50 ans !
Au-delà de la sarcopénie, entretenir sa santé musculaire permet aussi de prévenir les récidives de certains cancers, tel que le cancer du sein, de réguler le diabète, le cholestérol, et de conserver un bon équilibre général.
À noter aussi : des pratiques comme la danse ont montré des effets très positifs chez les seniors, notamment dans la prévention des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson. C’est également bénéfique pour l’équilibre, bien évidemment !
Pas besoin de courir un marathon : quelques pas chaque jour, un peu de marche ou un peu de danse peuvent déjà faire une vraie différence. Un muscle actif, c’est parfois plus efficace qu’un médicament ! A bon entendeur !