Les principales mesures de la future réforme des retraites
La première mesure de la réforme est le report de l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans au lieu de 64 ans en tenant compte de la pénibilité des carrières.
L’objectif est de compenser le déficit des retraites afin de préserver le système de retraite par répartition, où les actifs cotisent pour financer les pensions des plus âgés.
Pour ce faire, l’exécutif pourrait relever progressivement la durée de cotisation donnant droit à une retraite à taux plein. Le président de la République souhaite en outre revaloriser le montant minimal des pensions de retraite à 1.100 euros mensuels pour une carrière complète. Cette disposition devrait concerner aussi bien les futurs retraités que les retraités actuels.
Parmi les autres changements envisagés, figure la suppression des 42 régimes spéciaux au profit d’un système unique en répartition fonctionnant par points. En outre, la valeur desdits points accumulés sur l’ensemble de la carrière professionnelle ne pourra pas évoluer plus vite que l’inflation.
Une phase de concertation avec les partenaires sociaux est au programme à l’automne 2022, les syndicats restant opposés à ce projet. Ces discussions s’ajoutent aux défis de l’Exécutif concernant le pouvoir d’achat avec le vote du projet de loi dédié.
L’objectif est de compenser le déficit des retraites afin de préserver le système de retraite par répartition, où les actifs cotisent pour financer les pensions des plus âgés.
Pour ce faire, l’exécutif pourrait relever progressivement la durée de cotisation donnant droit à une retraite à taux plein. Le président de la République souhaite en outre revaloriser le montant minimal des pensions de retraite à 1.100 euros mensuels pour une carrière complète. Cette disposition devrait concerner aussi bien les futurs retraités que les retraités actuels.
Parmi les autres changements envisagés, figure la suppression des 42 régimes spéciaux au profit d’un système unique en répartition fonctionnant par points. En outre, la valeur desdits points accumulés sur l’ensemble de la carrière professionnelle ne pourra pas évoluer plus vite que l’inflation.
Une phase de concertation avec les partenaires sociaux est au programme à l’automne 2022, les syndicats restant opposés à ce projet. Ces discussions s’ajoutent aux défis de l’Exécutif concernant le pouvoir d’achat avec le vote du projet de loi dédié.
Le cumul emploi-retraite pour compléter ses revenus
Pour compléter leurs revenus, les retraités peuvent, sous certaines conditions, reprendre une activité professionnelle et recourir au cumul emploi-retraite (CER).
Ce dispositif permet aux retraités du régime général ayant déjà liquidé leurs droits de continuer à toucher leur pension de retraite tout en percevant des revenus. La nouvelle activité peut être exercée sous le statut d’indépendant ou en tant que salarié, auprès du dernier employeur ou ailleurs, dans les secteurs privé, public ou agricole.
Les 200.000 et 300.000 emplois saisonniers encore non pourvus annoncés par Pôle Emploi représentent autant d’opportunités de compléter son budget.
Pour des prestations dites « intellectuelles » (conseil, formation, etc.), le portage salarial proposé par des sociétés comme www.itg.fr représente un excellent compromis, en combinant autonomie et couverture salariale complète. Le côté sécuritaire est d’ailleurs l’un des principaux arguments en faveur de ce mode d’emploi, en plein essor depuis le début de la pandémie.
Cependant, le cumul emploi-retraite ne permet pas d’acquérir de nouveaux droits. La réforme de 2023 prévoit la modification de cette règle, en permettant aux bénéficiaires d’une pension à taux plein d’accumuler des points supplémentaires lorsqu’ils travaillent à nouveau.
Ce dispositif permet aux retraités du régime général ayant déjà liquidé leurs droits de continuer à toucher leur pension de retraite tout en percevant des revenus. La nouvelle activité peut être exercée sous le statut d’indépendant ou en tant que salarié, auprès du dernier employeur ou ailleurs, dans les secteurs privé, public ou agricole.
Les 200.000 et 300.000 emplois saisonniers encore non pourvus annoncés par Pôle Emploi représentent autant d’opportunités de compléter son budget.
Pour des prestations dites « intellectuelles » (conseil, formation, etc.), le portage salarial proposé par des sociétés comme www.itg.fr représente un excellent compromis, en combinant autonomie et couverture salariale complète. Le côté sécuritaire est d’ailleurs l’un des principaux arguments en faveur de ce mode d’emploi, en plein essor depuis le début de la pandémie.
Cependant, le cumul emploi-retraite ne permet pas d’acquérir de nouveaux droits. La réforme de 2023 prévoit la modification de cette règle, en permettant aux bénéficiaires d’une pension à taux plein d’accumuler des points supplémentaires lorsqu’ils travaillent à nouveau.