Avant d’aller plus loin, il convient de préciser que les résultats de cette étude étaient prêts à être restitués début mars… Pourtant, afin de ne pas interférer avec l’actualité dominante liée au virus Covid-19, la Fondation de l’Avenir avait préféré retarder la sortie de son baromètre.
L’échantillon de la population a ainsi été de nouveau interrogé début septembre pour apporter une nouvelle perspective à ce Baromètre inédit en France…
Si les priorités sur les objectifs de la recherche médicale sont communes (prévention, curatif), on note que des divergences existent (sans trop de surprise d’ailleurs) entre des médecins plus technicistes et le grand public plus axé sur les questions liées à l’humain.
A la question, la France est-elle un pays de recherche médicale : la réponse est oui pour une très large majorité (82%) des Français versus 72% pour les médecins… Autre question : l’accès aux résultats des essais cliniques a-t-elle son importance : là encore, la réponse est oui pour 87% des Français alors que les médecins sont plus partagés sur ce point à 72%.
L’optimisme est-il au rendez-vous lorsqu’on parle de l’avenir de la recherche : près des trois-quarts (73%) des sondés sont d’accord contre 61% des médecins. Quel est impact de l’âge face à la vision de la recherche ? Ou encore, est-ce que la prise en compte de l’avis des patients et l’entourage représente un facteur d’amélioration de la recherche médicale : la très grande majorité (90%) de nos compatriotes est d’accord contre même par les deux-tiers (62%) des médecins.
Toujours selon ce baromètre, les avis semblent cependant unanimes lorsqu’il s’agit d’établir un top 3 des priorités en termes de recherches médicales, à savoir : le traitement des maladies, les sciences de l’environnement et la prévention santé.
La santé reste une préoccupation prioritaire qui réconcilie les deux cibles (grand public et médecins) interrogées où la place de la recherche médicale doit être éthique, performante, orientée vers le bien commun et bénéficier à toutes et tous. Elle doit également rester indépendante vis-à-vis des intérêts des entreprises et/ou des lobbies.
La recherche médicale est aussi principalement reconnue pour ses travaux sur les maladies et les
thérapies et notamment les cancers considérés comme étant la pathologie la plus investie. Elle est de plus considérée comme peu mise en valeur et peu vulgarisée auprès du grand public.
Précisons que la recherche médicale en France est un secteur en perpétuel mouvement et très nébuleux. Les lois se succèdent sans écho particulier auprès du sens commun et à ce jour, il n’existe pas d’outils de mesures réelles et concrètes alors que la santé représente un sujet central dans la place publique et qu’elle concerne chacun d’entre nous.
L’échantillon de la population a ainsi été de nouveau interrogé début septembre pour apporter une nouvelle perspective à ce Baromètre inédit en France…
Si les priorités sur les objectifs de la recherche médicale sont communes (prévention, curatif), on note que des divergences existent (sans trop de surprise d’ailleurs) entre des médecins plus technicistes et le grand public plus axé sur les questions liées à l’humain.
A la question, la France est-elle un pays de recherche médicale : la réponse est oui pour une très large majorité (82%) des Français versus 72% pour les médecins… Autre question : l’accès aux résultats des essais cliniques a-t-elle son importance : là encore, la réponse est oui pour 87% des Français alors que les médecins sont plus partagés sur ce point à 72%.
L’optimisme est-il au rendez-vous lorsqu’on parle de l’avenir de la recherche : près des trois-quarts (73%) des sondés sont d’accord contre 61% des médecins. Quel est impact de l’âge face à la vision de la recherche ? Ou encore, est-ce que la prise en compte de l’avis des patients et l’entourage représente un facteur d’amélioration de la recherche médicale : la très grande majorité (90%) de nos compatriotes est d’accord contre même par les deux-tiers (62%) des médecins.
Toujours selon ce baromètre, les avis semblent cependant unanimes lorsqu’il s’agit d’établir un top 3 des priorités en termes de recherches médicales, à savoir : le traitement des maladies, les sciences de l’environnement et la prévention santé.
La santé reste une préoccupation prioritaire qui réconcilie les deux cibles (grand public et médecins) interrogées où la place de la recherche médicale doit être éthique, performante, orientée vers le bien commun et bénéficier à toutes et tous. Elle doit également rester indépendante vis-à-vis des intérêts des entreprises et/ou des lobbies.
La recherche médicale est aussi principalement reconnue pour ses travaux sur les maladies et les
thérapies et notamment les cancers considérés comme étant la pathologie la plus investie. Elle est de plus considérée comme peu mise en valeur et peu vulgarisée auprès du grand public.
Précisons que la recherche médicale en France est un secteur en perpétuel mouvement et très nébuleux. Les lois se succèdent sans écho particulier auprès du sens commun et à ce jour, il n’existe pas d’outils de mesures réelles et concrètes alors que la santé représente un sujet central dans la place publique et qu’elle concerne chacun d’entre nous.