Quelles sont les avancées qui ont été permises durant ces 20 dernières années grâce au financement de la recherche par la Fondation Vaincre Alzheimer ?
Identification de facteurs génétiques et environnementaux impliqués dans le développement de la maladie d'Alzheimer.
Les financements de la Fondation ont permis d’identifier et d’étudier de nouveaux facteurs de prédisposition génétique, comme le gène BIN1.
La prévention des maladies neurocognitives à également été élargie avec l’étude de l’impact du diabète et des habitudes alimentaires sur le développement de la maladie.
Grâce à la fondation, des avancées sur le diagnostic ont été possibles, en identifiant des signes précoces chez les sujets âgés à risque de développer une maladie d'Alzheimer. La fondation a également permis de développer des méthodes statistiques pour identifier des sous-types de maladies neurocognitives.
Enfin, un impact majeur s’est fait sur la découverte de potentiels futurs traitements, avec la découverte d’une molécule anti-amnésique et neuroprotectrice (Neocopride), mais également la découverte de l’effet protecteur de la caféine pour la mémoire, ces deux découvertes sont actuellement en cours d’essai clinique chez l’homme.
Il est également important de souligner que la Fondation Vaincre Alzheimer a soutenu de nombreux projets portant sur l'identification des formes toxiques de la protéine bêtaamyloïde, étapes indispensables à l'élaboration des premières immunothérapies validées.
Témoignages de médecins et chercheurs
« Grâce au soutien de la Fondation Vaincre Alzheimer, nous avons pu créer une nouvelle Biobanque Neuro-CEB. Ce partenariat unique entre les malades, les structures hospitalières, le réseau national des neuropathologistes et les chercheurs a permis une grande avancée dans l’étude du cerveau humain qui reste primordial pour trouver de nouvelles voies thérapeutiques » indique le Prof. Danielle Seilhean, chef de service de neuropathologie, Hôpital Pitié Salpêtrière Paris.
« La Fondation Vaincre Alzheimer tient actuellement une place de premier ordre dans le financement de la recherche sur la maladie d’Alzheimer en France. C’est une source de financement primordiale pour des équipes émergentes porteuses de projets originaux, en plus des équipes « historiques » d’excellence. C’est également un partenaire précieux pour les jeunes chercheurs qui travaillent dans le domaine de la maladie d’Alzheimer » souligne le Prof. Virginie Desestret, professeur des Universités et neurologue, Institut Neuromyogène, Faculté de Médecine, Lyon.
« Nous sommes infiniment reconnaissants envers la Fondation Vaincre Alzheimer d’avoir compris et fait sienne l’ambition de former une nouvelle génération de spécialistes à la recherche et au diagnostic précoce, prête à recevoir les nouveaux traitements » estime pour sa part le Dr. Thibaud Lebouvier, neurologue au Centre de la Mémoire du CHRU de Lille et responsable du DIU MA2.
Identification de facteurs génétiques et environnementaux impliqués dans le développement de la maladie d'Alzheimer.
Les financements de la Fondation ont permis d’identifier et d’étudier de nouveaux facteurs de prédisposition génétique, comme le gène BIN1.
La prévention des maladies neurocognitives à également été élargie avec l’étude de l’impact du diabète et des habitudes alimentaires sur le développement de la maladie.
Grâce à la fondation, des avancées sur le diagnostic ont été possibles, en identifiant des signes précoces chez les sujets âgés à risque de développer une maladie d'Alzheimer. La fondation a également permis de développer des méthodes statistiques pour identifier des sous-types de maladies neurocognitives.
Enfin, un impact majeur s’est fait sur la découverte de potentiels futurs traitements, avec la découverte d’une molécule anti-amnésique et neuroprotectrice (Neocopride), mais également la découverte de l’effet protecteur de la caféine pour la mémoire, ces deux découvertes sont actuellement en cours d’essai clinique chez l’homme.
Il est également important de souligner que la Fondation Vaincre Alzheimer a soutenu de nombreux projets portant sur l'identification des formes toxiques de la protéine bêtaamyloïde, étapes indispensables à l'élaboration des premières immunothérapies validées.
Témoignages de médecins et chercheurs
« Grâce au soutien de la Fondation Vaincre Alzheimer, nous avons pu créer une nouvelle Biobanque Neuro-CEB. Ce partenariat unique entre les malades, les structures hospitalières, le réseau national des neuropathologistes et les chercheurs a permis une grande avancée dans l’étude du cerveau humain qui reste primordial pour trouver de nouvelles voies thérapeutiques » indique le Prof. Danielle Seilhean, chef de service de neuropathologie, Hôpital Pitié Salpêtrière Paris.
« La Fondation Vaincre Alzheimer tient actuellement une place de premier ordre dans le financement de la recherche sur la maladie d’Alzheimer en France. C’est une source de financement primordiale pour des équipes émergentes porteuses de projets originaux, en plus des équipes « historiques » d’excellence. C’est également un partenaire précieux pour les jeunes chercheurs qui travaillent dans le domaine de la maladie d’Alzheimer » souligne le Prof. Virginie Desestret, professeur des Universités et neurologue, Institut Neuromyogène, Faculté de Médecine, Lyon.
« Nous sommes infiniment reconnaissants envers la Fondation Vaincre Alzheimer d’avoir compris et fait sienne l’ambition de former une nouvelle génération de spécialistes à la recherche et au diagnostic précoce, prête à recevoir les nouveaux traitements » estime pour sa part le Dr. Thibaud Lebouvier, neurologue au Centre de la Mémoire du CHRU de Lille et responsable du DIU MA2.