Après l’homéopathie, la sophrologie et les art-thérapies, trois pratiques de nature médicale, l’A-MCA a décidé de consacrer son dernier opus à une approche manuelle, à savoir la réflexologie.
Non réglementée par la loi, elle est considérée comme une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être.
Cette pratique manuelle « repose sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles », explique dans l’ouvrage Elisabeth Breton, relaxologue/réflexologue RNCP*, présidente de l’ARRNCP** et présidente de la FFPER***.
Cette approche complémentaire participe au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut aussi contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement).
L’approche peut d’ailleurs être qualifiée de préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie.
Non réglementée par la loi, elle est considérée comme une pratique de prévention et d’action en faveur du bien-être.
Cette pratique manuelle « repose sur le postulat selon lequel chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone dite réflexe, projetée sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles », explique dans l’ouvrage Elisabeth Breton, relaxologue/réflexologue RNCP*, présidente de l’ARRNCP** et présidente de la FFPER***.
Cette approche complémentaire participe au mieux-être, à la prévention et au maintien du capital santé. Si la réflexologie concerne avant tout des individus en santé, elle peut aussi contribuer au bien-être des personnes en situation de fragilité (maladie, handicap, vieillissement).
L’approche peut d’ailleurs être qualifiée de préventive, puisqu’en agissant sur le système nerveux, elle s’intéresse à rétablir l’équilibre d’une fonction du corps dès le premier signe de déséquilibre et sans qu’il y ait nécessairement une maladie.
Quel apport pour les seniors ?
Le recours à la réflexologie est tout à fait possible pour les seniors. Comme l’explique dans l’ouvrage Régine Steinmets, réflexologue RNCP et intervenante en Ehpad, l’objectif avec la réflexologie palmaire et plantaire est d’aider les seniors à se relaxer en profondeur.
« Permettre à la tension nerveuse de fléchir progressivement, favorise, séance après séance, un meilleur moral et de fait, peut réduire les pensées parasites, diminuer la fatigue mentale, susciter de nouvelles envies, bref contribuer à un mieux-être », souligne-t-elle. Une approche d’autant plus bénéfique dans un contexte post-covid.
Néanmoins, comme toute pratique de soins, notamment celles impliquant des manipulations physiques, le recours à la réflexologie peut, dans certains cas, être contre-indiqué.
Aucun acte de stimulation réflexe ne doit par exemple être pratiqué en cas de pathologies vasculaires (phlébite, thrombose), de troubles psychiatriques (dépression sévère), de diabète grave, chez les personnes sous dialyse, avec des inflammations aiguës, ou porteuses de pacemaker ou de stents, ou encore ayant des mycoses ou des pathologies contagieuses.
« Ce qu’il faut retenir, c’est que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé (physique ou mentale) peut s’avérer être une contre-indication à la réflexologie », rappelle Angélique Thillaye-Toulec, relaxologue et réflexologue certifiée RNCP et membre de l’ARRNCP.
En cas de doute, avant toute séance, il convient alors de demander l’avis de son médecin, seul autorisé à poser des diagnostics.
« Des contre-indications relatives existent aussi et réclament dans ce cas une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne », ajoute-t-elle. C’est d’ailleurs pour cette raison que des spécialisations existent (cancer, maladie d’Alzheimer, de Parkinson, soins palliatifs) permettant aux seuls réflexologues formés d’intervenir auprès de certains publics fragilisés.
« C’est d’autant plus important qu’un réflexologue peut se proclamer tel quel alors même que sa formation est insuffisante, met-elle en garde. Ce qui peut conduire à des risques pour la santé dus à des techniques non maitrisées ou à des manipulations effectuées sur des personnes dont l’usage de la réflexologie est contre-indiqué. »
1. Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP)
2. Association des Réflexologues RNCP
3. Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie
« Permettre à la tension nerveuse de fléchir progressivement, favorise, séance après séance, un meilleur moral et de fait, peut réduire les pensées parasites, diminuer la fatigue mentale, susciter de nouvelles envies, bref contribuer à un mieux-être », souligne-t-elle. Une approche d’autant plus bénéfique dans un contexte post-covid.
Néanmoins, comme toute pratique de soins, notamment celles impliquant des manipulations physiques, le recours à la réflexologie peut, dans certains cas, être contre-indiqué.
Aucun acte de stimulation réflexe ne doit par exemple être pratiqué en cas de pathologies vasculaires (phlébite, thrombose), de troubles psychiatriques (dépression sévère), de diabète grave, chez les personnes sous dialyse, avec des inflammations aiguës, ou porteuses de pacemaker ou de stents, ou encore ayant des mycoses ou des pathologies contagieuses.
« Ce qu’il faut retenir, c’est que tout état pathologique ou entraînant un trouble important de la santé (physique ou mentale) peut s’avérer être une contre-indication à la réflexologie », rappelle Angélique Thillaye-Toulec, relaxologue et réflexologue certifiée RNCP et membre de l’ARRNCP.
En cas de doute, avant toute séance, il convient alors de demander l’avis de son médecin, seul autorisé à poser des diagnostics.
« Des contre-indications relatives existent aussi et réclament dans ce cas une adaptation des séances en fonction de l’état et de l’âge de la personne », ajoute-t-elle. C’est d’ailleurs pour cette raison que des spécialisations existent (cancer, maladie d’Alzheimer, de Parkinson, soins palliatifs) permettant aux seuls réflexologues formés d’intervenir auprès de certains publics fragilisés.
« C’est d’autant plus important qu’un réflexologue peut se proclamer tel quel alors même que sa formation est insuffisante, met-elle en garde. Ce qui peut conduire à des risques pour la santé dus à des techniques non maitrisées ou à des manipulations effectuées sur des personnes dont l’usage de la réflexologie est contre-indiqué. »
1. Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP)
2. Association des Réflexologues RNCP
3. Fédération francophone des praticiens et enseignants en réflexologie