Dans le département, nous estimons que plus d’un patient sur deux insuffisant cardiaque ignore qu’il est atteint de cette maladie.
Pour améliorer sa détection et la prise en charge de nos patients, les CPTS du département ont travaillé à la mise en place d’un parcours de soins avec la participation des parties prenantes : CHU, cardiologues et médecins libéraux, infirmiers en pratique avancée, infirmiers libéraux, pharmaciens.
Sans oublier les patients pour qui nous avons élaboré un livret sur l’insuffisance cardiaque qui relaie notamment les messages de la campagne d’information de l’Assurance Maladie.
Plus largement, au niveau régional, en Occitanie, j’observe que l’accompagnement en santé publique proposé par l’Assurance Maladie produit des effets : les médecins sont engagés dans le parcours insuffisance cardiaque, notamment avec le soutien des cardiologues qui leur proposent des formations (usage des nouvelles thérapeutiques recommandées, ajustement des traitements selon l’état de santé du patient,…).
Au niveau national, nombreux sont les présidents de CPTS qui me disent que les acteurs de leur territoire s’emparent également de cet enjeu de santé publique.
Enfin, la campagne de sensibilisation grand public de l’Assurance Maladie renforce le dialogue des médecins avec leurs patients : le dialogue autour de signes et symptômes réputés banals est facilité et ils sont plus réceptifs aux conseils que nous leurs donnons pour mieux prendre en main leur maladie.
Pour améliorer sa détection et la prise en charge de nos patients, les CPTS du département ont travaillé à la mise en place d’un parcours de soins avec la participation des parties prenantes : CHU, cardiologues et médecins libéraux, infirmiers en pratique avancée, infirmiers libéraux, pharmaciens.
Sans oublier les patients pour qui nous avons élaboré un livret sur l’insuffisance cardiaque qui relaie notamment les messages de la campagne d’information de l’Assurance Maladie.
Plus largement, au niveau régional, en Occitanie, j’observe que l’accompagnement en santé publique proposé par l’Assurance Maladie produit des effets : les médecins sont engagés dans le parcours insuffisance cardiaque, notamment avec le soutien des cardiologues qui leur proposent des formations (usage des nouvelles thérapeutiques recommandées, ajustement des traitements selon l’état de santé du patient,…).
Au niveau national, nombreux sont les présidents de CPTS qui me disent que les acteurs de leur territoire s’emparent également de cet enjeu de santé publique.
Enfin, la campagne de sensibilisation grand public de l’Assurance Maladie renforce le dialogue des médecins avec leurs patients : le dialogue autour de signes et symptômes réputés banals est facilité et ils sont plus réceptifs aux conseils que nous leurs donnons pour mieux prendre en main leur maladie.
L’insuffisance cardiaque concerne 1,5 million de personnes en France et ce nombre devrait progresser de 25% tous les quatre ans.
Elle touche majoritairement les personnes de 60 ans et plus, mais son incidence s’accroît néanmoins avant 55 ans, en raison notamment d’habitudes de vie délétères à la santé (tabagisme, sédentarité, alimentation).
.
Il est estimé qu’entre 400.000 et 700.000 personnes vivent avec une insuffisance cardiaque sans le savoir.
Face à l'importance du dépistage précoce, l'Assurance Maladie reconduit sa campagne nationale de sensibilisation, en amont de la journée mondiale du cœur du 29 septembre.
Son objectif : renforcer la connaissance des signes et symptômes d’alerte de cette pathologie, à savoir : essoufflement inhabituel, prise de poids rapide, pieds et chevilles gonflés, fatigue excessive.
Elle vise également à inciter les personnes présentant une insuffisance cardiaque connue ou porteuses d’une maladie à risque de constitution d’une insuffisance cardiaque non diagnostiquée, à consulter leur médecin dès l'apparition de ces symptômes.
Elle touche majoritairement les personnes de 60 ans et plus, mais son incidence s’accroît néanmoins avant 55 ans, en raison notamment d’habitudes de vie délétères à la santé (tabagisme, sédentarité, alimentation).
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Il est estimé qu’entre 400.000 et 700.000 personnes vivent avec une insuffisance cardiaque sans le savoir.
Face à l'importance du dépistage précoce, l'Assurance Maladie reconduit sa campagne nationale de sensibilisation, en amont de la journée mondiale du cœur du 29 septembre.
Son objectif : renforcer la connaissance des signes et symptômes d’alerte de cette pathologie, à savoir : essoufflement inhabituel, prise de poids rapide, pieds et chevilles gonflés, fatigue excessive.
Elle vise également à inciter les personnes présentant une insuffisance cardiaque connue ou porteuses d’une maladie à risque de constitution d’une insuffisance cardiaque non diagnostiquée, à consulter leur médecin dès l'apparition de ces symptômes.