Magasins spécialisés bio : un rôle prépondérant
On observe le poids toujours très important du réseau national de distributeurs spécialisés qui, avec quelques 2.300 magasins bio*, font en moyenne 64% de leur chiffre d’affaires cumulé en alimentaire biologique, soit 1,218 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Les consommateurs très intéressés par le secteur de la bio trouvent ainsi dans ces magasins des gammes très larges de produits biologiques d’épicerie et de produits bio en vrac (fruits et légumes frais, féculents, fruits secs, …).
12 000 hypers et supermarchés concernés par le Bio
Par ailleurs, en 2010, ce sont environ 12.000 hypermarchés et supermarchés français qui ont réalisé 1,591 milliards d’euros de chiffre d’affaires en bio, permettant de favoriser les actes d'achat citoyens auprès du plus grand nombre.
Acheter bio : une consommation responsable
Acheter Bio, c’est acheter des produits alimentaires plus respectueux de l’environnement, avec des goûts et des recettes caractéristiques, authentiques et naturelles. Et, parce que les surfaces françaises se développent de manière significative (+55% d’exploitations bio en deux ans), portées par une prise de conscience environnementale de plus en plus importante, le Synabio invite les consommateurs à soutenir la filière en consommant encore plus fréquemment des produits biologiques. « Ces petits gestes du quotidien n’ont qu’un impact faible sur le budget alimentaire des foyers mais contribuent véritablement à soutenir une consommation responsable et le développement de la filière bio » souligne le Synabio dans son communiqué.
On observe le poids toujours très important du réseau national de distributeurs spécialisés qui, avec quelques 2.300 magasins bio*, font en moyenne 64% de leur chiffre d’affaires cumulé en alimentaire biologique, soit 1,218 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Les consommateurs très intéressés par le secteur de la bio trouvent ainsi dans ces magasins des gammes très larges de produits biologiques d’épicerie et de produits bio en vrac (fruits et légumes frais, féculents, fruits secs, …).
12 000 hypers et supermarchés concernés par le Bio
Par ailleurs, en 2010, ce sont environ 12.000 hypermarchés et supermarchés français qui ont réalisé 1,591 milliards d’euros de chiffre d’affaires en bio, permettant de favoriser les actes d'achat citoyens auprès du plus grand nombre.
Acheter bio : une consommation responsable
Acheter Bio, c’est acheter des produits alimentaires plus respectueux de l’environnement, avec des goûts et des recettes caractéristiques, authentiques et naturelles. Et, parce que les surfaces françaises se développent de manière significative (+55% d’exploitations bio en deux ans), portées par une prise de conscience environnementale de plus en plus importante, le Synabio invite les consommateurs à soutenir la filière en consommant encore plus fréquemment des produits biologiques. « Ces petits gestes du quotidien n’ont qu’un impact faible sur le budget alimentaire des foyers mais contribuent véritablement à soutenir une consommation responsable et le développement de la filière bio » souligne le Synabio dans son communiqué.
Des opérateurs soumis à des règles strictes
D’après l’Agence BIO, 7.427 préparateurs étaient engagés fin 2010 en bio, comprenant aussi bien des terminaux de cuisson pour la panification ainsi que des artisans boulangers de plus en plus nombreux que des industries agroalimentaires. De plus, aux cotés des 2.819 distributeurs certifiés, ce sont de nombreuses collectivités qui ont fait le choix, de plus en plus souvent, d’introduire des produits biologiques dans les menus des établissements scolaires, participant eux aussi à la structuration et au développement de la filière.
Rappelons que la certification est obligatoire pour tous les opérateurs qui préparent des produits mettant en œuvre des ingrédients d’origine biologiques et que des règles précises existent quant aux méthodes de préparations des produits. De plus, les distributeurs qui stockent des produits biologiques sont également soumis, depuis 2007, au régime de contrôle, sauf s’ils ne vendent que des produits préemballés directement au consommateur final où s’ils font moins de 10.000 euros d’achats de produits en vrac par an.
De nouveaux transformateurs rejoignent les 300 leaders
De plus en plus d’entreprises agroalimentaires développent aujourd’hui des compléments de gamme bio, parce que les matières premières deviennent disponibles en bio, permettant ainsi aux consommateurs de disposer d’une plus grande variété de produits bio. Néanmoins, le secteur s’articule toujours aujourd’hui autour de quelques 300 acteurs leaders, souvent engagés depuis plus de 15 ans en bio, très investis dans le secteur et transformant la majorité des produits biologiques.
Les produits bio sont ainsi le plus souvent transformés par des PME basées en France et contractualisant de plus en plus fréquemment leurs achats de matières premières avec des agriculteurs français, dans le cadre du développement des surfaces. Cette démarche de contractualisation fait baisser chaque jour un peu plus les importations des pays-tiers ainsi que les échanges intra-communautaires. Selon l’Agence BIO, les achats à l’étranger sont ainsi passés de 38% à 35% de 2009 à 2010.
Pour soutenir cette dynamique, le Synabio souligne que l’engagement de l’Etat devra se maintenir dans le futur notamment en prorogeant l’outil de soutien aux filières Avenir BIO afin qu’aucun des nouveaux acteurs convertis ne se retrouve dans une impasse.
*Le Synabio (Syndicat National des Professionnels au service de l’aval de la filière Agriculture Biologique) regroupe plus de 350 marques de produits bio.
**Source : biolinéaire
D’après l’Agence BIO, 7.427 préparateurs étaient engagés fin 2010 en bio, comprenant aussi bien des terminaux de cuisson pour la panification ainsi que des artisans boulangers de plus en plus nombreux que des industries agroalimentaires. De plus, aux cotés des 2.819 distributeurs certifiés, ce sont de nombreuses collectivités qui ont fait le choix, de plus en plus souvent, d’introduire des produits biologiques dans les menus des établissements scolaires, participant eux aussi à la structuration et au développement de la filière.
Rappelons que la certification est obligatoire pour tous les opérateurs qui préparent des produits mettant en œuvre des ingrédients d’origine biologiques et que des règles précises existent quant aux méthodes de préparations des produits. De plus, les distributeurs qui stockent des produits biologiques sont également soumis, depuis 2007, au régime de contrôle, sauf s’ils ne vendent que des produits préemballés directement au consommateur final où s’ils font moins de 10.000 euros d’achats de produits en vrac par an.
De nouveaux transformateurs rejoignent les 300 leaders
De plus en plus d’entreprises agroalimentaires développent aujourd’hui des compléments de gamme bio, parce que les matières premières deviennent disponibles en bio, permettant ainsi aux consommateurs de disposer d’une plus grande variété de produits bio. Néanmoins, le secteur s’articule toujours aujourd’hui autour de quelques 300 acteurs leaders, souvent engagés depuis plus de 15 ans en bio, très investis dans le secteur et transformant la majorité des produits biologiques.
Les produits bio sont ainsi le plus souvent transformés par des PME basées en France et contractualisant de plus en plus fréquemment leurs achats de matières premières avec des agriculteurs français, dans le cadre du développement des surfaces. Cette démarche de contractualisation fait baisser chaque jour un peu plus les importations des pays-tiers ainsi que les échanges intra-communautaires. Selon l’Agence BIO, les achats à l’étranger sont ainsi passés de 38% à 35% de 2009 à 2010.
Pour soutenir cette dynamique, le Synabio souligne que l’engagement de l’Etat devra se maintenir dans le futur notamment en prorogeant l’outil de soutien aux filières Avenir BIO afin qu’aucun des nouveaux acteurs convertis ne se retrouve dans une impasse.
*Le Synabio (Syndicat National des Professionnels au service de l’aval de la filière Agriculture Biologique) regroupe plus de 350 marques de produits bio.
**Source : biolinéaire