Pourquoi avoir fait évoluer la revue « hypnose et santé » en « hypnose et santé intégrative » ?
Pr Bioy - Tout d’abord, parce que l’hypnose s’inscrit pleinement dans le champ de la santé intégrative.
Des professionnels de santé, des psychologues sont également hypnothérapeutes ou exercent d’autres pratiques comme l’acupuncture ou la méditation.
Au regard de cette réalité, l’évolution de la revue était nécessaire d’autant plus que les pratiques complémentaires s’inscrivent de plus en plus dans notre société et s'ancrent dans nos institutions de soins.
Les dispositifs de terrain se développent, notamment à l’hôpital comme par exemple, l’institut de médecine intégrative et complémentaire (IMIC) du CHU de Bordeaux, qui propose de la méditation et de l’hypnose aux soignants comme aux patients.
L’A-MCA est partenaire de la revue. Pourquoi ce choix ?
Véronique Suissa - Cette revue constitue une avancée considérable dans le domaine de la santé intégrative.
De plus, elle s’inscrit dans le prolongement des actions de l’A-MCA qui, à l’origine, est constituée d’un réseau d’experts hautement qualifiés, publiant également sur ces thématiques ou dans le cadre de travaux institutionnels.
Il nous a donc semblé pertinent de leur donner l’opportunité de participer à des travaux de publications pour ce nouveau journal mais aussi de valoriser des expériences terrain, des situations cliniques, de proposer des fiches pratiques via notre réseau de praticiens internes.
De plus, l’A-MCA a aussi pour mission de démocratiser ces sujets. Ce magazine est une nouvelle brique pour atteindre cet objectif et l’élargir auprès d’un public académique.
Cette revue scientifique, désormais dédiée au monde hospitalier et universitaire, peut-elle rester un appui pour le grand public, notamment pour les seniors ?
Pr Bioy – La revue existait déjà sous le nom de « revue de l’hypnose et de la santé » et était fléchée pour le grand public.
Aujourd’hui, elle devient « le journal de l’hypnose et de la santé intégrative » et se scientifise avec un accès sur CAIRN info, au niveau à la fois national et international.
Pour autant, le magazine garde une dimension d’information pratique pour le grand public et pour l’écosystème de professionnels, qui n’est pas nécessairement aguerri aux médecines complémentaires notamment les soignants, cadres de santé ou encore les directeurs d’Ehpad, d’hôpitaux et d’associations de patients.
Ainsi, le grand public intéressé par ces sujets pourra tout à fait accéder à de l’information éclairée. Les seniors font partie intégrante de ce grand public, qui s’attache à être plus acteur de sa santé à travers la prévention et des modes de vie plus sains.
Est-elle aussi un appui pour l’écosystème davantage institutionnel, comme les haut-dirigeants, les élus ?
Véronique Suissa – Tout à fait. Avant tout, de nombreux dirigeants d’institutions (Ehpad, hôpitaux, entreprises, etc.) intègrent certaines pratiques pour la qualité de vie de leurs usagers ou salariés mais manquent de repères.
De même, de plus en plus d’élus s’intéressent à ces sujets sans avoir une connaissance approfondie dans le domaine : avancées scientifiques, normes de formation, réglementation, dispositifs de terrain.
C’est d’ailleurs tout le sens de la présence de l’A-MCA au sein du Groupe Ministériel piloté par le ministère de la Santé. Ces acteurs, parfois confrontés à une méconnaissance de la littérature scientifique ou des applications concrètes de ces pratiques, vont pouvoir obtenir des repères.
D’autant que de nombreuses initiatives existent mais elles ne sont pas toujours structurées, valorisées ou coordonnées. La revue va leur apporter des informations éclairées.
Pr Bioy - Tout d’abord, parce que l’hypnose s’inscrit pleinement dans le champ de la santé intégrative.
Des professionnels de santé, des psychologues sont également hypnothérapeutes ou exercent d’autres pratiques comme l’acupuncture ou la méditation.
Au regard de cette réalité, l’évolution de la revue était nécessaire d’autant plus que les pratiques complémentaires s’inscrivent de plus en plus dans notre société et s'ancrent dans nos institutions de soins.
Les dispositifs de terrain se développent, notamment à l’hôpital comme par exemple, l’institut de médecine intégrative et complémentaire (IMIC) du CHU de Bordeaux, qui propose de la méditation et de l’hypnose aux soignants comme aux patients.
L’A-MCA est partenaire de la revue. Pourquoi ce choix ?
Véronique Suissa - Cette revue constitue une avancée considérable dans le domaine de la santé intégrative.
De plus, elle s’inscrit dans le prolongement des actions de l’A-MCA qui, à l’origine, est constituée d’un réseau d’experts hautement qualifiés, publiant également sur ces thématiques ou dans le cadre de travaux institutionnels.
Il nous a donc semblé pertinent de leur donner l’opportunité de participer à des travaux de publications pour ce nouveau journal mais aussi de valoriser des expériences terrain, des situations cliniques, de proposer des fiches pratiques via notre réseau de praticiens internes.
De plus, l’A-MCA a aussi pour mission de démocratiser ces sujets. Ce magazine est une nouvelle brique pour atteindre cet objectif et l’élargir auprès d’un public académique.
Cette revue scientifique, désormais dédiée au monde hospitalier et universitaire, peut-elle rester un appui pour le grand public, notamment pour les seniors ?
Pr Bioy – La revue existait déjà sous le nom de « revue de l’hypnose et de la santé » et était fléchée pour le grand public.
Aujourd’hui, elle devient « le journal de l’hypnose et de la santé intégrative » et se scientifise avec un accès sur CAIRN info, au niveau à la fois national et international.
Pour autant, le magazine garde une dimension d’information pratique pour le grand public et pour l’écosystème de professionnels, qui n’est pas nécessairement aguerri aux médecines complémentaires notamment les soignants, cadres de santé ou encore les directeurs d’Ehpad, d’hôpitaux et d’associations de patients.
Ainsi, le grand public intéressé par ces sujets pourra tout à fait accéder à de l’information éclairée. Les seniors font partie intégrante de ce grand public, qui s’attache à être plus acteur de sa santé à travers la prévention et des modes de vie plus sains.
Est-elle aussi un appui pour l’écosystème davantage institutionnel, comme les haut-dirigeants, les élus ?
Véronique Suissa – Tout à fait. Avant tout, de nombreux dirigeants d’institutions (Ehpad, hôpitaux, entreprises, etc.) intègrent certaines pratiques pour la qualité de vie de leurs usagers ou salariés mais manquent de repères.
De même, de plus en plus d’élus s’intéressent à ces sujets sans avoir une connaissance approfondie dans le domaine : avancées scientifiques, normes de formation, réglementation, dispositifs de terrain.
C’est d’ailleurs tout le sens de la présence de l’A-MCA au sein du Groupe Ministériel piloté par le ministère de la Santé. Ces acteurs, parfois confrontés à une méconnaissance de la littérature scientifique ou des applications concrètes de ces pratiques, vont pouvoir obtenir des repères.
D’autant que de nombreuses initiatives existent mais elles ne sont pas toujours structurées, valorisées ou coordonnées. La revue va leur apporter des informations éclairées.