La situation en France aujourd’hui
On estime que plus de 4 millions de personnes sont atteintes de diabète et que 700.000 personnes seraient porteuses de diabète sans le savoir. Avec une prévalence nationale de 6,13%, la progression du diabète ne cesse d’augmenter sur notre territoire, particulièrement chez les hommes, les jeunes de moins de 20 ans et les personnes âgées de plus de 80 ans.
On distingue principalement deux types de diabète : le diabète de type 1 qui touche environ 6% des patients et le diabète de type 2 qui en touche 92%. Les autres types de diabète concernent les 2% restants (MODY, LADA, diabète gestationnel ou diabète secondaire à certaines maladies ou prises de médicaments).
On distingue principalement deux types de diabète : le diabète de type 1 qui touche environ 6% des patients et le diabète de type 2 qui en touche 92%. Les autres types de diabète concernent les 2% restants (MODY, LADA, diabète gestationnel ou diabète secondaire à certaines maladies ou prises de médicaments).
Diabète de type 1 et diabète de type 2 : quelles différences ?
Bien qu'elles portent le même nom, ces deux maladies ont pour seul point commun de provoquer un excès de sucre dans le sang pouvant entraîner des hyperglycémies chroniques et augmentant le risque de complications chroniques du diabète.
Lorsque l’on est atteint de diabète de type 1, l’organisme ne reconnaît plus ses cellules bêta (cellules produisant de l’insuline , une hormone qui fait baisser le taux de glucose dans le sang) et les détruit (les cellules bêta sont détruites par des anticorps et des cellules de l’immunité, les lymphocytes, fabriqués par l’organisme) : le diabète de type 1 est une maladie auto-immune.
A cause de cette carence en insuline, le glucose ne pouvant entrer dans les cellules s’accumule en excès dans le sang. Cela provoque une hyperglycémie, c’est-à-dire que le taux de glucose dans le sang est anormalement élevé. Les patients atteints de diabète de type 1 sont obligés de suppléer l’absence d’insuline par des injections à vie.
Alors qu’à la différence, lorsque l’on est atteint de diabète de type 2, deux mécanismes sont impliqués dans l’hyperglycémie chronique soit l’insuline produite par le pancréas agit mal, on parle alors d’insulinorésistance, soit le pancréas fabrique toujours de l’insuline, mais pas suffisamment pour réguler la glycémie et s’épuise au fil du temps : c’est l’insulinopénie.
Ces deux mécanismes font que le glucose n’est plus suffisamment assimilé par les cellules du corps, reste dans la circulation sanguine et provoque une hyperglycémie chronique qui peut avoir des conséquences sur l’organisme et entrainer sur le long terme des complications (complications cardiovasculaires, neuropathie diabétique, rétinopathie diabétique…) si elle n’est pas traitée à temps d’où l’intérêt de la prévention.
Lorsque l’on est atteint de diabète de type 1, l’organisme ne reconnaît plus ses cellules bêta (cellules produisant de l’insuline , une hormone qui fait baisser le taux de glucose dans le sang) et les détruit (les cellules bêta sont détruites par des anticorps et des cellules de l’immunité, les lymphocytes, fabriqués par l’organisme) : le diabète de type 1 est une maladie auto-immune.
A cause de cette carence en insuline, le glucose ne pouvant entrer dans les cellules s’accumule en excès dans le sang. Cela provoque une hyperglycémie, c’est-à-dire que le taux de glucose dans le sang est anormalement élevé. Les patients atteints de diabète de type 1 sont obligés de suppléer l’absence d’insuline par des injections à vie.
Alors qu’à la différence, lorsque l’on est atteint de diabète de type 2, deux mécanismes sont impliqués dans l’hyperglycémie chronique soit l’insuline produite par le pancréas agit mal, on parle alors d’insulinorésistance, soit le pancréas fabrique toujours de l’insuline, mais pas suffisamment pour réguler la glycémie et s’épuise au fil du temps : c’est l’insulinopénie.
Ces deux mécanismes font que le glucose n’est plus suffisamment assimilé par les cellules du corps, reste dans la circulation sanguine et provoque une hyperglycémie chronique qui peut avoir des conséquences sur l’organisme et entrainer sur le long terme des complications (complications cardiovasculaires, neuropathie diabétique, rétinopathie diabétique…) si elle n’est pas traitée à temps d’où l’intérêt de la prévention.
En cause pour le diabète de type 2
- Facteurs non-modifiables (âge, sexe, prédispositions génétiques) comme le vieillissement de la population,
- Facteurs modifiables (sociaux et environnementaux)
Ce sont surtout les facteurs sociaux et environnementaux qui expliquent cet accroissement constant et qui constituent les principales causes du diabète en France. Ces derniers sont des facteurs modifiables sur lesquels il est possible d’agir : surpoids ou obésité, manque d’activité physique et sédentarité ou encore une alimentation déséquilibrée.
… et pour le diabète de type 1
On ignore encore aujourd’hui la cause de survenue de la maladie. Il existe une prédisposition génétique (familiale) et un facteur environnemental, mais les autres causes sont encore mal connues. On estime que le diabète de type 1 progresse chaque année d’environ 4% mais les raisons de cette évolution sont encore mal connues.
Dans son axe de prévention active, la Fédération Française des Diabétiques propose à tous de réaliser le test FINDRISC. Rapide et simple, il est constitué de 8 questions pour évaluer en moins de 5 minutes le risque de développer un diabète…
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