Rappelons-le, les principaux signes sont au nombre de quatre : essoufflement inhabituel, prise de poids rapide, pieds et chevilles gonflés et fatigue excessive.
Non spécifiques, ils peuvent être attribués à tort au vieillissement, ou à d’autres causes, ce qui entraîne un retard de diagnostic.
Or, la survenue de ces signes ou leur association doit conduire à consulter au plus vite son médecin traitant afin de confirmer le diagnostic. Un suivi médical particulier s’impose aussi pour les personnes déjà diagnostiquées car ces signes sont les indicateurs d’une décompensation de la maladie.
L’insuffisance cardiaque concerne 1,5 million de personnes en France et ce nombre devrait progresser de 25% tous les quatre ans. Elle touche majoritairement les personnes de 60 ans et plus, mais son incidence s’accroît néanmoins avant 55 ans, en raison notamment d’habitudes de vie délétères à la santé (tabagisme, sédentarité, alimentation).
Il est estimé qu’entre 400.000 et 700.000 personnes vivent avec une insuffisance cardiaque sans le savoir.
Face à l'importance du dépistage précoce, l'Assurance Maladie reconduit sa campagne nationale de sensibilisation « Insuffisance cardiaque : et si votre cœur essayait de vous dire quelque chose ? » en amont de la journée mondiale du cœur du 29 septembre.
Elle se décline sous forme de film TV, spot radio et de partenariats médias permettant de mettre l’accent sur la pédagogie.
Des affiches et des vidéos sont diffusées dans les pharmacies et en salles d'attente de maisons de santé. Des messages sur les réseaux sociaux de l’Assurance Maladie contribueront également à cette sensibilisation.
Son objectif : renforcer la connaissance des signes et symptômes d’alerte de cette pathologie, à savoir : essoufflement inhabituel, prise de poids rapide, pieds et chevilles gonflés, fatigue excessive.
Elle vise également à inciter les personnes présentant une insuffisance cardiaque connue ou porteuses d’une maladie à risque de constitution d’une insuffisance cardiaque non diagnostiquée, à consulter leur médecin dès l'apparition de ces symptômes.
Non spécifiques, ils peuvent être attribués à tort au vieillissement, ou à d’autres causes, ce qui entraîne un retard de diagnostic.
Or, la survenue de ces signes ou leur association doit conduire à consulter au plus vite son médecin traitant afin de confirmer le diagnostic. Un suivi médical particulier s’impose aussi pour les personnes déjà diagnostiquées car ces signes sont les indicateurs d’une décompensation de la maladie.
L’insuffisance cardiaque concerne 1,5 million de personnes en France et ce nombre devrait progresser de 25% tous les quatre ans. Elle touche majoritairement les personnes de 60 ans et plus, mais son incidence s’accroît néanmoins avant 55 ans, en raison notamment d’habitudes de vie délétères à la santé (tabagisme, sédentarité, alimentation).
Il est estimé qu’entre 400.000 et 700.000 personnes vivent avec une insuffisance cardiaque sans le savoir.
Face à l'importance du dépistage précoce, l'Assurance Maladie reconduit sa campagne nationale de sensibilisation « Insuffisance cardiaque : et si votre cœur essayait de vous dire quelque chose ? » en amont de la journée mondiale du cœur du 29 septembre.
Elle se décline sous forme de film TV, spot radio et de partenariats médias permettant de mettre l’accent sur la pédagogie.
Des affiches et des vidéos sont diffusées dans les pharmacies et en salles d'attente de maisons de santé. Des messages sur les réseaux sociaux de l’Assurance Maladie contribueront également à cette sensibilisation.
Son objectif : renforcer la connaissance des signes et symptômes d’alerte de cette pathologie, à savoir : essoufflement inhabituel, prise de poids rapide, pieds et chevilles gonflés, fatigue excessive.
Elle vise également à inciter les personnes présentant une insuffisance cardiaque connue ou porteuses d’une maladie à risque de constitution d’une insuffisance cardiaque non diagnostiquée, à consulter leur médecin dès l'apparition de ces symptômes.