Voici un ouvrage intéressant. Un témoignage vu d’un balcon parisien à travers le regard et l’appareil photo d’un monsieur de 85 ans qui, pendant les deux mois du premier confinement de 2020, a pris des clichés visant à rendre compte de cette vie au ralenti.
Préfacé par l’écrivain et peintre Alain Kleinmann et proposant un texte de François Morel en préambule, ce livre a pu voir le jour grâce au crowdfunding, au financement participatif qui permet à tout un chacun d’investir quelques euros dans un projet qu’il aime et/ou auquel il croit.
« Ses photos ne sont pas dans l'air du temps, elles sont dans le souffle de l'instant, quand la vie ne se résigne pas à baisser les bras, quand l'humour devient un acte de courage (....) quand le regard bienveillant devient la plus belle arme pour résister à la morosité (....) » écrit de lui le comédien François Morel également chroniqueur à France inter.
Philippe Enquin s’est passionné pour la photographie suite au décès de sa femme, Gladys, il y a quelques années. Elle était peintre, il va alors devenir photographe et découvrir par la même occasion la vie parisienne ainsi que sa propre potentialité artistique.
Comme il le dit lui-même, « la vieillesse est un très bel âge quand on a des passions. Être vieux
c’est continuer à progresser, à se fixer soi-même des challenges, à se choisir des projets pour continuer à être en mouvement, physiquement et spirituellement ».
Philippe Enquin a réalisé sa première exposition « Rencontres éphémères » à la Galerie Argentine en de janvier 2018. Il a également participé à l’exposition « Résistances. Mémoires libres » en octobre 2018 dans la ville de Guyancourt. Il a aussi publié "Mots croisés - Trois générations de Juifs argentins" (2013) sur l'histoire de sa famille.
Préfacé par l’écrivain et peintre Alain Kleinmann et proposant un texte de François Morel en préambule, ce livre a pu voir le jour grâce au crowdfunding, au financement participatif qui permet à tout un chacun d’investir quelques euros dans un projet qu’il aime et/ou auquel il croit.
« Ses photos ne sont pas dans l'air du temps, elles sont dans le souffle de l'instant, quand la vie ne se résigne pas à baisser les bras, quand l'humour devient un acte de courage (....) quand le regard bienveillant devient la plus belle arme pour résister à la morosité (....) » écrit de lui le comédien François Morel également chroniqueur à France inter.
Philippe Enquin s’est passionné pour la photographie suite au décès de sa femme, Gladys, il y a quelques années. Elle était peintre, il va alors devenir photographe et découvrir par la même occasion la vie parisienne ainsi que sa propre potentialité artistique.
Comme il le dit lui-même, « la vieillesse est un très bel âge quand on a des passions. Être vieux
c’est continuer à progresser, à se fixer soi-même des challenges, à se choisir des projets pour continuer à être en mouvement, physiquement et spirituellement ».
Philippe Enquin a réalisé sa première exposition « Rencontres éphémères » à la Galerie Argentine en de janvier 2018. Il a également participé à l’exposition « Résistances. Mémoires libres » en octobre 2018 dans la ville de Guyancourt. Il a aussi publié "Mots croisés - Trois générations de Juifs argentins" (2013) sur l'histoire de sa famille.