Selon la Drees, le premier rappel apporte, pour les personnes de 60 ans ou plus, une protection contre l’infection symptomatique au variant Omicron, les formes sévères et les décès, que la personne concernée ait présenté ou non un épisode infectieux au Covid-19 au préalable. Mais attention, fort logiquement, cette protection s’érode dans le temps, notamment face à l’infection.
Autre point saillant : le deuxième rappel apporte, pour les personnes de 60 ans ou plus, un surcroit de protection contre l’infection et permet de stopper l’érosion dans le temps de la protection conférée par le premier rappel, que la personne concernée ait présenté ou non un épisode infectieux au Covid-19 au préalable, en particulier si cet épisode est survenu avant l’arrivée d’Omicron.
À la différence des publications précédentes, l’efficacité vaccinale apportée par la vaccination par rapport aux personnes non vaccinées n’est plus présentée, ni commentée.
Cela tient à des difficultés techniques qui rendent de moins en moins fiable une telle estimation à partir des données disponibles.
En outre, il apparaît désormais plus pertinent de prendre, comme situation de référence, un statut vaccinal concernant un plus grand nombre de personnes.
La protection apportée par les différents statuts vaccinaux est donc désormais comparée à celle dont disposent les personnes ayant reçu un schéma vaccinal initial complet, sans dose de rappel, depuis plus de 6 mois.
*Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques
Autre point saillant : le deuxième rappel apporte, pour les personnes de 60 ans ou plus, un surcroit de protection contre l’infection et permet de stopper l’érosion dans le temps de la protection conférée par le premier rappel, que la personne concernée ait présenté ou non un épisode infectieux au Covid-19 au préalable, en particulier si cet épisode est survenu avant l’arrivée d’Omicron.
À la différence des publications précédentes, l’efficacité vaccinale apportée par la vaccination par rapport aux personnes non vaccinées n’est plus présentée, ni commentée.
Cela tient à des difficultés techniques qui rendent de moins en moins fiable une telle estimation à partir des données disponibles.
En outre, il apparaît désormais plus pertinent de prendre, comme situation de référence, un statut vaccinal concernant un plus grand nombre de personnes.
La protection apportée par les différents statuts vaccinaux est donc désormais comparée à celle dont disposent les personnes ayant reçu un schéma vaccinal initial complet, sans dose de rappel, depuis plus de 6 mois.
*Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques