Selon les différentes dépêches des agences de presse, le pilote de ce Boeing 777 de Continental Airlins, 61 ans, qui transportait 247 passagers entre la Belgique et les Etats-Unis serait décédé de mort naturelle (probablement d’un arrêt cardiaque) en mi-parcours. Au-dessus de l’Atlantique nord.
Heureusement, et comme l’exige la loi fédérale américaine, lors d’un trajet de plus de huit heures, un troisième pilote doit être à bord de manière à pouvoir prendre les commandes de l’appareil lorsque le premier pilote ou le co-pilote se reposent. « Le vol s'est poursuivi sans problème avec les deux pilotes aux commandes. La compagnie est en contact avec sa famille et nous leur présentons nos plus sincères condoléances », indique un communiqué de Continental Airlines.
Les passagers n’ont pas été au courant du décès du pilote. Les membres de l’équipage ont simplement réalisé un appel « cabine » indiquant qu’il y avait une urgence et qu’ils avaient besoin d’un médecin.
Soulignons que même si ce type de problème reste extrêmement rare, ce décès risque de relancer la polémique sur l’âge légal de la retraite des pilotes de ligne. Rappelons pour mémoire que le Congrès américain a modifié la loi fédérale qui relève cet âge légal de la retraite pour les pilotes de 60 ans à 65 ans.
Notons également que fin 2006, lors d'une conférence de presse, l'un des responsables de Federal Aviation Administration (FAA), organisme qui régule le transport aérien aux Etats-Unis, remarquait : « L'expérience d'un pilote de ligne compte. C'est une marge de sécurité en plus. Les compagnies aériennes étrangères ont démontré que l'expérience d'un commandant de bord en bonne santé lui permet de voler au-delà des 60 ans sans nuire à la sécurité des passagers ».
Le 15 janvier dernier, Chesley Sullenberger, un pilote de la compagnie US Airways a posé son Airbus A320 en « douceur » sur l’Hudson River aux Etats-Unis. Ce commandant de bord avait 57 ans.
Heureusement, et comme l’exige la loi fédérale américaine, lors d’un trajet de plus de huit heures, un troisième pilote doit être à bord de manière à pouvoir prendre les commandes de l’appareil lorsque le premier pilote ou le co-pilote se reposent. « Le vol s'est poursuivi sans problème avec les deux pilotes aux commandes. La compagnie est en contact avec sa famille et nous leur présentons nos plus sincères condoléances », indique un communiqué de Continental Airlines.
Les passagers n’ont pas été au courant du décès du pilote. Les membres de l’équipage ont simplement réalisé un appel « cabine » indiquant qu’il y avait une urgence et qu’ils avaient besoin d’un médecin.
Soulignons que même si ce type de problème reste extrêmement rare, ce décès risque de relancer la polémique sur l’âge légal de la retraite des pilotes de ligne. Rappelons pour mémoire que le Congrès américain a modifié la loi fédérale qui relève cet âge légal de la retraite pour les pilotes de 60 ans à 65 ans.
Notons également que fin 2006, lors d'une conférence de presse, l'un des responsables de Federal Aviation Administration (FAA), organisme qui régule le transport aérien aux Etats-Unis, remarquait : « L'expérience d'un pilote de ligne compte. C'est une marge de sécurité en plus. Les compagnies aériennes étrangères ont démontré que l'expérience d'un commandant de bord en bonne santé lui permet de voler au-delà des 60 ans sans nuire à la sécurité des passagers ».
Le 15 janvier dernier, Chesley Sullenberger, un pilote de la compagnie US Airways a posé son Airbus A320 en « douceur » sur l’Hudson River aux Etats-Unis. Ce commandant de bord avait 57 ans.