C’est près de l'équateur -Côte d’Ivoire, Nigeria, Cameroun, Indonésie, Équateur, République Dominicaine...- que sont généralement cultivées les fèves de cacao, aussi communément appelées « or brun ».
Arrivées à maturité, elles sont récoltées puis, soit séchées (2 à 5 jours) et transformées sur place -notamment en Côte d’Ivoire- soit directement exportées vers leur lieu de transformation, l’Europe détenant un tiers du marché.
Les marques entrent alors en jeu et achètent la matière transformée en beurre de cacao pour en faire ces barres chocolatées connues de tous. Aux consommateurs ensuite de choisir parmi les différents produits proposés.
Mais comment choisir le bon ? Même s’ils restent parfois incomplets - ne répondant pas à tous les critères sociaux et environnementaux - certains labels permettent de s’y retrouver.
Autre option : consulter le rapport RSE publié sur le site internet des marques. Certaines d’entre elles proposent également au public la map de leur chaîne d’approvisionnement, pour guider et informer les consommateurs sur la provenance du produit qu’ils commercialisent.
Aujourd’hui, l’industrie du chocolat est l’une des plus engagées à fournir à ses consommateurs un produit tracé de qualité, et qui s’engage également auprès de leurs fournisseurs - fermes de cacao - via des programmes sociaux-économiques et/ou environnementaux, pour éviter travail forcé et déforestation.
A ce sujet, deux textes ont récemment été publiés par la Commission et le Parlement européen pour venir renforcer les engagements pris par certaines des plus grandes entreprises du chocolat (entre autres industries), pour interdire les produits issus du travail forcé et de la déforestation sur le marché européen.
« Déguster du bon chocolat en compagnie de belles personnes est certainement l’un des meilleurs antidotes au procès en vieillissement » soulignait Serge Guérin en 2015 dans son livre Eloge -politique- du chocolat.
D’ailleurs, le chocolat noir (ou plus exactement le cacao) est riche en flavonoïdes, des antioxydants qu'on retrouve aussi dans le vin rouge ou la tomate par exemple. Alors… À vos tablettes (de chocolat), citoyens !
Arrivées à maturité, elles sont récoltées puis, soit séchées (2 à 5 jours) et transformées sur place -notamment en Côte d’Ivoire- soit directement exportées vers leur lieu de transformation, l’Europe détenant un tiers du marché.
Les marques entrent alors en jeu et achètent la matière transformée en beurre de cacao pour en faire ces barres chocolatées connues de tous. Aux consommateurs ensuite de choisir parmi les différents produits proposés.
Mais comment choisir le bon ? Même s’ils restent parfois incomplets - ne répondant pas à tous les critères sociaux et environnementaux - certains labels permettent de s’y retrouver.
Autre option : consulter le rapport RSE publié sur le site internet des marques. Certaines d’entre elles proposent également au public la map de leur chaîne d’approvisionnement, pour guider et informer les consommateurs sur la provenance du produit qu’ils commercialisent.
Aujourd’hui, l’industrie du chocolat est l’une des plus engagées à fournir à ses consommateurs un produit tracé de qualité, et qui s’engage également auprès de leurs fournisseurs - fermes de cacao - via des programmes sociaux-économiques et/ou environnementaux, pour éviter travail forcé et déforestation.
A ce sujet, deux textes ont récemment été publiés par la Commission et le Parlement européen pour venir renforcer les engagements pris par certaines des plus grandes entreprises du chocolat (entre autres industries), pour interdire les produits issus du travail forcé et de la déforestation sur le marché européen.
« Déguster du bon chocolat en compagnie de belles personnes est certainement l’un des meilleurs antidotes au procès en vieillissement » soulignait Serge Guérin en 2015 dans son livre Eloge -politique- du chocolat.
D’ailleurs, le chocolat noir (ou plus exactement le cacao) est riche en flavonoïdes, des antioxydants qu'on retrouve aussi dans le vin rouge ou la tomate par exemple. Alors… À vos tablettes (de chocolat), citoyens !