La fin de l'expérimentation sera désormais conditionnée par l'autorisation et la mise sur le marché d'un médicament à base de cannabis par les autorités sanitaires ; néanmoins, une échéance ultime a été fixée : le 31 décembre 2024.
Dans ce contexte expérimental (qui ne peut plus accueillir de nouveaux participants depuis le 27 mars 2024), certains patients ont pu bénéficier d'un traitement novateur. Les indications ? Elles sont précises: douleurs neuropathiques tenaces malgré les traitements classiques ; formes spécifiques d'épilepsie résistantes aux médicaments ; symptômes oncologiques persistants liés au cancer ou à sa thérapie.
Lorsque ce projet pilote a pris son envol avec l'inclusion du premier patient, personne n'imaginait que trois ans plus tard – au seuil prévu pour sa conclusion – il serait prolongé. Cette décision vise à assurer une continuité des soins pour ceux qui sont déjà engagés dans cet essai clinique. Ceux-ci restent donc les seuls à jouir des prescriptions et fournitures de ces traitements particuliers.
Il est important de noter que ces prescriptions font actuellement l’objet d’une autorisation temporaire délivrée par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Et pour soulager davantage les patients impliqués, leurs achats sont pris en charge par l'Assurance maladie jusqu'à la fin du programme.
Quant aux patients concernés... Ils reçoivent une information complète : ils sont mis au courant des précautions d'utilisation spécifiques, alertés sur les possibles effets secondaires et conscients des contre-indications. Tout cela est censé constituer un cadre sécuritaire et informé pour ceux qui naviguent ces eaux encore inexplorées du cannabis en tant que remède médical.
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Dans ce contexte expérimental (qui ne peut plus accueillir de nouveaux participants depuis le 27 mars 2024), certains patients ont pu bénéficier d'un traitement novateur. Les indications ? Elles sont précises: douleurs neuropathiques tenaces malgré les traitements classiques ; formes spécifiques d'épilepsie résistantes aux médicaments ; symptômes oncologiques persistants liés au cancer ou à sa thérapie.
Lorsque ce projet pilote a pris son envol avec l'inclusion du premier patient, personne n'imaginait que trois ans plus tard – au seuil prévu pour sa conclusion – il serait prolongé. Cette décision vise à assurer une continuité des soins pour ceux qui sont déjà engagés dans cet essai clinique. Ceux-ci restent donc les seuls à jouir des prescriptions et fournitures de ces traitements particuliers.
Il est important de noter que ces prescriptions font actuellement l’objet d’une autorisation temporaire délivrée par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Et pour soulager davantage les patients impliqués, leurs achats sont pris en charge par l'Assurance maladie jusqu'à la fin du programme.
Quant aux patients concernés... Ils reçoivent une information complète : ils sont mis au courant des précautions d'utilisation spécifiques, alertés sur les possibles effets secondaires et conscients des contre-indications. Tout cela est censé constituer un cadre sécuritaire et informé pour ceux qui naviguent ces eaux encore inexplorées du cannabis en tant que remède médical.
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