Œuvrant au quotidien pour lutter contre ce cancer, le deuxième cancer urologique après celui de la prostate, il s’agir d’aider à faire reculer ce cancer (aussi méconnu que dévastateur) qui touche entre 13.000 et 20.000 nouvelles personnes chaque année en France.
On estime entre 13.000 et 20.000 le nombre de personnes supplémentaires touchées par an avec quatre fois plus de cas chez les hommes que chez les femmes. Cette maladie est le plus souvent diagnostiquée autour de l’âge de 70 ans.
Deuxième cancer urologique comme indiqué précédemment, le cancer de la vessie semble pourtant facile à repérer puisque dans 80 à 90% des cas, le premier symptôme est la présence de sang (hématurie) visible dans les urines. Mais encore faut-il que le public le sache…
Pour autant, il convient de souligner qu’à ce jour, il n’existe pas de méthode validée de dépistage systématiques des tumeurs de la vessie. Au-delà de l’hématurie, les cystites à répétition ou encore les troubles de la miction sont également des signaux d’alerte qui doivent pousser les personnes à consulter leur médecin rapidement.
C’est pour sensibiliser le plus grand nombre de personnes en France que l’AFU et Cancer Vessie
France ont décidé de déployer ensemble une campagne d’information. Car le temps (c’est souvent le cas dans la plupart des cancers) est une fois encore le facteur le plus important pour survivre !
Ainsi, quand ce cancer est pris à temps, sa survie serait de 80% à 5 ans. En revanche, si le diagnostic est réalisé plus tard, on n’observe plus que 50% de survie et plus que 5% de survie au stade métastatique. Il est donc primordial que les personnes puissent réagir vite à l’apparition des premiers
symptômes.
« Trop méconnu du grand public, le cancer de la vessie est un véritable enjeu de santé publique. Il est primordial de faire connaitre au grand public les signaux d’alertes. Le mois du cancer de la vessie a pour objectif de faire prendre conscience au grand public de la gravité de ce cancer mais aussi du très bon pronostic s’il est diagnostiqué précocement » indique le docteur Benjamin Pradere, urologue et membre du comité de cancérologie de L'AFU.
Et d’ajouter : « la première cause de cancer de la vessie étant le tabac, la communication autour de ce cancer permet aussi de rappeler les risques liés au tabagisme ». A ce titre, en France, le tabagisme serait responsable de plus de la moitié -53%- des cas de cancer de la vessie chez les hommes et 39% chez les femmes.
En cas de cancer avéré, plusieurs traitements sont envisageables dont la cystoscopie (exploration endoscopique de la vessie), la chirurgie (résection endoscopique) ou les instillations endovésicales dont l’objectif est d’activer le système immunitaire du corps afin qu’il combatte le cancer et réduire les risques de réapparition et d’évolution des tumeurs.
De nouvelles thérapies sont en cours de développement donnant un nouvel espoir pour améliorer la prise en charge des patients.
On estime entre 13.000 et 20.000 le nombre de personnes supplémentaires touchées par an avec quatre fois plus de cas chez les hommes que chez les femmes. Cette maladie est le plus souvent diagnostiquée autour de l’âge de 70 ans.
Deuxième cancer urologique comme indiqué précédemment, le cancer de la vessie semble pourtant facile à repérer puisque dans 80 à 90% des cas, le premier symptôme est la présence de sang (hématurie) visible dans les urines. Mais encore faut-il que le public le sache…
Pour autant, il convient de souligner qu’à ce jour, il n’existe pas de méthode validée de dépistage systématiques des tumeurs de la vessie. Au-delà de l’hématurie, les cystites à répétition ou encore les troubles de la miction sont également des signaux d’alerte qui doivent pousser les personnes à consulter leur médecin rapidement.
C’est pour sensibiliser le plus grand nombre de personnes en France que l’AFU et Cancer Vessie
France ont décidé de déployer ensemble une campagne d’information. Car le temps (c’est souvent le cas dans la plupart des cancers) est une fois encore le facteur le plus important pour survivre !
Ainsi, quand ce cancer est pris à temps, sa survie serait de 80% à 5 ans. En revanche, si le diagnostic est réalisé plus tard, on n’observe plus que 50% de survie et plus que 5% de survie au stade métastatique. Il est donc primordial que les personnes puissent réagir vite à l’apparition des premiers
symptômes.
« Trop méconnu du grand public, le cancer de la vessie est un véritable enjeu de santé publique. Il est primordial de faire connaitre au grand public les signaux d’alertes. Le mois du cancer de la vessie a pour objectif de faire prendre conscience au grand public de la gravité de ce cancer mais aussi du très bon pronostic s’il est diagnostiqué précocement » indique le docteur Benjamin Pradere, urologue et membre du comité de cancérologie de L'AFU.
Et d’ajouter : « la première cause de cancer de la vessie étant le tabac, la communication autour de ce cancer permet aussi de rappeler les risques liés au tabagisme ». A ce titre, en France, le tabagisme serait responsable de plus de la moitié -53%- des cas de cancer de la vessie chez les hommes et 39% chez les femmes.
En cas de cancer avéré, plusieurs traitements sont envisageables dont la cystoscopie (exploration endoscopique de la vessie), la chirurgie (résection endoscopique) ou les instillations endovésicales dont l’objectif est d’activer le système immunitaire du corps afin qu’il combatte le cancer et réduire les risques de réapparition et d’évolution des tumeurs.
De nouvelles thérapies sont en cours de développement donnant un nouvel espoir pour améliorer la prise en charge des patients.