Tout d’abord, un constat : d’ici 2030, dans les trois-quarts des départements français, le nombre de résidence autonomie accessibles aux plus de 60 ans en moins de 30 minutes sera insuffisant. Dont acte.
Par ailleurs, ce type de structure s’avère même inexistant dans les territoires d’outre-mer !
Dans ce contexte, l’État, la CNSA et l’Assurance retraite ont décidé de subventionner la création de nouvelles places de résidences automonie « grâce aux financements du Ségur de la santé et de l’Union européenne ».
Plus concrètement, cela comprend 12 millions d’euros alloués à 33 départements en 2022 pour créer 2. 398 places en résidence autonomie. Mais également, 9 millions d’euros alloués à 23 départements en 2023 pour 1.755 places et enfin, 15 millions d’euros alloués à 32 départements en 2024.
D’autre part, toujours selon ce communiqué, « les départements et les caisses régionales d’assurance retraite lancent actuellement les appels à candidatures pour recenser les projets d’extension ou de création de résidences autonomie correspondant ».
A titre d’exemple : alors que la Loire-Atlantique est fortement sous-dotée, le Département, en lien avec la caisse régionale de l’assurance retraite, a lancé un appel pour la création de 1 000 places. Le projet Raffuneau, porté par le bailleur social Atlantique Habitations et la Fondation Cemavie, devrait permettre l’ouverture de 44 places en résidence autonomie dans la ville d’Orvault.
La CNSA et l’Assurance retraite accordent 220 000 euros à ce projet issus du Ségur de la Santé et le Département de Loire-Atlantique a voté une subvention de 500 000 euros.
Fin 2026, lorsque tous les chantiers de création auront été livrés, le nombre de nouvelles places en résidence autonomie devrait s’élever à plus de 7000.
Ajoutons que l’engagement de ces deux branches de la Sécurité Sociale pour la rénovation de logements dégradés et énergivores s’est accéléré aussi ces trois dernières années grâce aux financements du Ségur de la santé et de l’Union européenne.
Ainsi, sur la période 2021/2024, plus de 26.000 logements ont été rénovés ou ont bénéficié de nouveaux équipements.
Qu’il s’agisse de remplacer le mobilier des cuisines, d’installer des bacs à douche extra plats dans les appartements, de rénover les parties communes, les ascenseurs ou de créer un lieu de convivialité à l’extérieur, ces investissements doivent permettre aux ainés à revenus modestes, de vieillir dans un « chez elles » sécurisé, adapté à leurs besoins.
Pour certaines résidences, le projet va même au-delà, avec la création d’un tiers-lieu. À Périgueux (Dordogne), l’Ostalet propose des activités physiques, culturelles, créatives ou des services numériques au cœur de la résidence Wilson.
Objectifs : favoriser les interactions sociales en tissant ou retissant des liens sociaux intergénérationnels, transmettre les savoir-faire des habitants et des résidents, répondre aux besoins variés de la population locale.
Par ailleurs, ce type de structure s’avère même inexistant dans les territoires d’outre-mer !
Dans ce contexte, l’État, la CNSA et l’Assurance retraite ont décidé de subventionner la création de nouvelles places de résidences automonie « grâce aux financements du Ségur de la santé et de l’Union européenne ».
Plus concrètement, cela comprend 12 millions d’euros alloués à 33 départements en 2022 pour créer 2. 398 places en résidence autonomie. Mais également, 9 millions d’euros alloués à 23 départements en 2023 pour 1.755 places et enfin, 15 millions d’euros alloués à 32 départements en 2024.
D’autre part, toujours selon ce communiqué, « les départements et les caisses régionales d’assurance retraite lancent actuellement les appels à candidatures pour recenser les projets d’extension ou de création de résidences autonomie correspondant ».
A titre d’exemple : alors que la Loire-Atlantique est fortement sous-dotée, le Département, en lien avec la caisse régionale de l’assurance retraite, a lancé un appel pour la création de 1 000 places. Le projet Raffuneau, porté par le bailleur social Atlantique Habitations et la Fondation Cemavie, devrait permettre l’ouverture de 44 places en résidence autonomie dans la ville d’Orvault.
La CNSA et l’Assurance retraite accordent 220 000 euros à ce projet issus du Ségur de la Santé et le Département de Loire-Atlantique a voté une subvention de 500 000 euros.
Fin 2026, lorsque tous les chantiers de création auront été livrés, le nombre de nouvelles places en résidence autonomie devrait s’élever à plus de 7000.
Ajoutons que l’engagement de ces deux branches de la Sécurité Sociale pour la rénovation de logements dégradés et énergivores s’est accéléré aussi ces trois dernières années grâce aux financements du Ségur de la santé et de l’Union européenne.
Ainsi, sur la période 2021/2024, plus de 26.000 logements ont été rénovés ou ont bénéficié de nouveaux équipements.
Qu’il s’agisse de remplacer le mobilier des cuisines, d’installer des bacs à douche extra plats dans les appartements, de rénover les parties communes, les ascenseurs ou de créer un lieu de convivialité à l’extérieur, ces investissements doivent permettre aux ainés à revenus modestes, de vieillir dans un « chez elles » sécurisé, adapté à leurs besoins.
Pour certaines résidences, le projet va même au-delà, avec la création d’un tiers-lieu. À Périgueux (Dordogne), l’Ostalet propose des activités physiques, culturelles, créatives ou des services numériques au cœur de la résidence Wilson.
Objectifs : favoriser les interactions sociales en tissant ou retissant des liens sociaux intergénérationnels, transmettre les savoir-faire des habitants et des résidents, répondre aux besoins variés de la population locale.