Parce que la maladie d’Alzheimer est encore trop souvent perçue comme une conséquence inévitable du vieillissement, cette campagne invite les Français, en particulier deux de 45-60, ans à porter un autre regard, un regard nouveau sur le bien vieillir et à devenir acteur de leur vieillissement en adoptant des comportements plus vertueux.
Une grande tendance dans le monde d’aujourd’hui où l’on chercher non seulement à vivre plus longtemps mais aussi et surtout en meilleure santé.
On le sait, Alzheimer est bien ancrée dans l’imaginaire des Français. Ils connaissent la maladie, ses symptômes et les trois-quarts déclarent en avoir peur selon le sondage Ifop/Fondation Médéric Alzheimer.
Pour autant, l’enseignement le plus marquant de cette enquête concerne la prévention d’Alzheimer qui est, paradoxalement, largement méconnue ! De fait, moins d’un Français sur dix -c’est très peu- sait qu’il existe des moyens permettant de prévenir la maladie ou de ralentir l’apparition des symptômes…
C’est pourquoi la Fondation Médéric Alzheimer a décidé de lancer cette première campagne. Elle se déclinera sous différents formats : clip vidéo, spot radio, affiches, bannières internet. Une campagne d’affichage en France et une communication ciblée sur les réseaux sociaux de la Fondation débuteront le 8 décembre 2022.
À l’encontre des codes classiques des messages de santé publique, la campagne délivre un message pédagogique qui ne se veut ni culpabilisateur, ni moralisateur.
Rappelons que des solutions existent pour prévenir Alzheimer. Pour ce faire, la fondation a également développé un site d’informations dédié, accessible depuis son site internet, qui permet de tester ses connaissances sur la maladie d’Alzheimer et invite à adopter de nouveaux comportements en écho aux facteurs protecteurs de la maladie.
Il s’agit maintenant de les faire connaître et d’inciter les Français à s’investir personnellement pour
améliorer leurs chances de vieillir en bonne santé cognitive.
Comme le souligne Hélène Jacquemont, présidente de la Fondation Médéric Alzheimer : « en dépit d’efforts de recherche permanents et conséquents, il n’existe aujourd’hui aucun médicament qui permette de guérir la maladie. L’espoir le plus réaliste réside donc dans la prévention qui permet de rendre évitable la maladie dans 40% des cas ».
Et de préciser : « stimuler notre cerveau, le protéger des traumatismes et des toxines, préserver notre santé physique et métabolique mais aussi garder notre réseau relationnel aussi longtemps que possible
nous aidera à accroître notre réserve cognitive et résister aux affres du temps ».
De son côté, Christine Tabuenca, directrice générale de la Fondation Médéric Alzheimer ajoute : « sensibiliser, réveiller les consciences casser les idées reçues, tels sont les objectifs de cette campagne de prévention qui se différencie des campagnes l’appel à dons menées traditionnellement par le milieu associatif ».
Rappelons que le nombre de personnes vivant avec Alzheimer ou une maladie apparentée atteint aujourd’hui un million de personnes en France, elles seront deux millions en 2050. C’est un réel enjeu de santé publique qu’il nous faut relever.
Une grande tendance dans le monde d’aujourd’hui où l’on chercher non seulement à vivre plus longtemps mais aussi et surtout en meilleure santé.
On le sait, Alzheimer est bien ancrée dans l’imaginaire des Français. Ils connaissent la maladie, ses symptômes et les trois-quarts déclarent en avoir peur selon le sondage Ifop/Fondation Médéric Alzheimer.
Pour autant, l’enseignement le plus marquant de cette enquête concerne la prévention d’Alzheimer qui est, paradoxalement, largement méconnue ! De fait, moins d’un Français sur dix -c’est très peu- sait qu’il existe des moyens permettant de prévenir la maladie ou de ralentir l’apparition des symptômes…
C’est pourquoi la Fondation Médéric Alzheimer a décidé de lancer cette première campagne. Elle se déclinera sous différents formats : clip vidéo, spot radio, affiches, bannières internet. Une campagne d’affichage en France et une communication ciblée sur les réseaux sociaux de la Fondation débuteront le 8 décembre 2022.
À l’encontre des codes classiques des messages de santé publique, la campagne délivre un message pédagogique qui ne se veut ni culpabilisateur, ni moralisateur.
Rappelons que des solutions existent pour prévenir Alzheimer. Pour ce faire, la fondation a également développé un site d’informations dédié, accessible depuis son site internet, qui permet de tester ses connaissances sur la maladie d’Alzheimer et invite à adopter de nouveaux comportements en écho aux facteurs protecteurs de la maladie.
Il s’agit maintenant de les faire connaître et d’inciter les Français à s’investir personnellement pour
améliorer leurs chances de vieillir en bonne santé cognitive.
Comme le souligne Hélène Jacquemont, présidente de la Fondation Médéric Alzheimer : « en dépit d’efforts de recherche permanents et conséquents, il n’existe aujourd’hui aucun médicament qui permette de guérir la maladie. L’espoir le plus réaliste réside donc dans la prévention qui permet de rendre évitable la maladie dans 40% des cas ».
Et de préciser : « stimuler notre cerveau, le protéger des traumatismes et des toxines, préserver notre santé physique et métabolique mais aussi garder notre réseau relationnel aussi longtemps que possible
nous aidera à accroître notre réserve cognitive et résister aux affres du temps ».
De son côté, Christine Tabuenca, directrice générale de la Fondation Médéric Alzheimer ajoute : « sensibiliser, réveiller les consciences casser les idées reçues, tels sont les objectifs de cette campagne de prévention qui se différencie des campagnes l’appel à dons menées traditionnellement par le milieu associatif ».
Rappelons que le nombre de personnes vivant avec Alzheimer ou une maladie apparentée atteint aujourd’hui un million de personnes en France, elles seront deux millions en 2050. C’est un réel enjeu de santé publique qu’il nous faut relever.