Depuis des années, les robots ont envahi les usines pour remplacer certaines tâches trop fastidieuses, voire parfois dangereuses pour les hommes… Plus récemment, les Japonais ont développé toute une gamme de robots humanoïdes qui ont pour vocation d’aider le personnel des maisons de retraites et les personnes âgées qui vivent seules à domicile…
Si, au départ, certains spécialistes doutaient quelque peu des bienfaits de l’arrivée de ces robots dans l’univers du « care », il semblerait que cette tendance se développe et se confirme… Et soit même de mieux en mieux acceptée. L'Organisation internationale pour la standardisation, qui élabore des normes internationales, a même adopté les critères de sécurité pour les robots d'aide à la personne proposés par le Japon, leader mondial dans ce domaine.
Si le Japon reste le grand spécialiste de ce marché en plein développement, les entreprises européennes, des Françaises, mais également des Belges ne sont pas en reste et parmi elles, Zora Bots, jeune société qui développe des programmes qui donnent vie aux robots humanoïdes Nao et Pepper fabriqués par Adelbaran.
La solution Zora s’annonce « comme le premier logiciel capable d'animer et donner vie aux robots humanoïdes » assure le communiqué. Des robots devenus parfaitement accessibles aux professionnels des métiers des services à la personne, en particulier dans le secteur de l'accueil des personnes âgées où Zora « suscite un engouement sans précédent » poursuivent les concepteurs de ce produit.
Plus concrètement, cette solution belge, c'est le cerveau qui rend simple l'utilisation du robot. Depuis 2014, Zora a été bien accueillie avec plus de 200 robots déjà adoptés à ce jour à travers le monde. Une adhésion à la fois par les professionnels de santé mais aussi par les ainés, ces robots étant implantés dans les maisons de retraite où Zora « vit » aujourd'hui. Chaque jour dans le monde, plus de 25.000 personnes entre en contact avec ces robots.
Zora ne pèse que 5,7 kg pour 57 cm de haut, mais ce robot humanoïde suscite plus qu’une simple curiosité quand il prend la parole ou ne bouge ne serait-ce qu’un de ses trois doigts. Contrôlée grâce à une tablette par les infirmiers, kinés ou auxiliaires de vie…, Zora peut mener une session de gym, donner le programme télé, annoncer les prévisions météo ou lire les articles de la presse locale. Les maisons de repos adoptent ce robot pour distraire leurs résidents, mais aussi, pour les inviter à rester en mouvement via des jeux de danse ou d’exercice physique.
Les robots ne peuvent pas tout faire, certes, mais ils peuvent réaliser tout ce que les êtres humains n’ont pas toujours le temps de faire ou les moyens de réussir. « Cette solution humanoïde n’est pas là pour prendre le moindre emploi à qui que ce soit. C’est un outil comme les autres, comme d’autres », souligne Tommy Deblieck, directeur associé de Zora Bots. On sait par ailleurs que le robot est aujourd’hui étudié comme un moyen de ralentir le déclin cognitif. La solution belge est aussi utilisée dans des hôpitaux (pédiatrie et gériatrie) ainsi que dans des institutions psychiatriques. Dans plusieurs cas, notamment en Europe (Pays-Bas et Belgique), Zora a conduit à de réelles avancées auprès de seniors ou enfants autistes présentant des problèmes de socialisation.
Si le contact humain reste bien sûr la meilleure réponse, Zora peut d’une certaine manière aider à lutter contre le sentiment de solitude : « Beaucoup de personnes âgées vivent dans un sentiment de solitude. C’est préoccupant. Quand les gens n’ont pas le temps de rendre visite à leurs proches, certains peuvent, dans une certaine mesure bien sûr, trouver une forme de présence et de compagnie grâce à Zora. Parler avec Zora est un vrai plaisir », explique Fabrice Goffin, l’autre créateur avec Tommy Deblieck, de Zora.
Si, au départ, certains spécialistes doutaient quelque peu des bienfaits de l’arrivée de ces robots dans l’univers du « care », il semblerait que cette tendance se développe et se confirme… Et soit même de mieux en mieux acceptée. L'Organisation internationale pour la standardisation, qui élabore des normes internationales, a même adopté les critères de sécurité pour les robots d'aide à la personne proposés par le Japon, leader mondial dans ce domaine.
Si le Japon reste le grand spécialiste de ce marché en plein développement, les entreprises européennes, des Françaises, mais également des Belges ne sont pas en reste et parmi elles, Zora Bots, jeune société qui développe des programmes qui donnent vie aux robots humanoïdes Nao et Pepper fabriqués par Adelbaran.
La solution Zora s’annonce « comme le premier logiciel capable d'animer et donner vie aux robots humanoïdes » assure le communiqué. Des robots devenus parfaitement accessibles aux professionnels des métiers des services à la personne, en particulier dans le secteur de l'accueil des personnes âgées où Zora « suscite un engouement sans précédent » poursuivent les concepteurs de ce produit.
Plus concrètement, cette solution belge, c'est le cerveau qui rend simple l'utilisation du robot. Depuis 2014, Zora a été bien accueillie avec plus de 200 robots déjà adoptés à ce jour à travers le monde. Une adhésion à la fois par les professionnels de santé mais aussi par les ainés, ces robots étant implantés dans les maisons de retraite où Zora « vit » aujourd'hui. Chaque jour dans le monde, plus de 25.000 personnes entre en contact avec ces robots.
Zora ne pèse que 5,7 kg pour 57 cm de haut, mais ce robot humanoïde suscite plus qu’une simple curiosité quand il prend la parole ou ne bouge ne serait-ce qu’un de ses trois doigts. Contrôlée grâce à une tablette par les infirmiers, kinés ou auxiliaires de vie…, Zora peut mener une session de gym, donner le programme télé, annoncer les prévisions météo ou lire les articles de la presse locale. Les maisons de repos adoptent ce robot pour distraire leurs résidents, mais aussi, pour les inviter à rester en mouvement via des jeux de danse ou d’exercice physique.
Les robots ne peuvent pas tout faire, certes, mais ils peuvent réaliser tout ce que les êtres humains n’ont pas toujours le temps de faire ou les moyens de réussir. « Cette solution humanoïde n’est pas là pour prendre le moindre emploi à qui que ce soit. C’est un outil comme les autres, comme d’autres », souligne Tommy Deblieck, directeur associé de Zora Bots. On sait par ailleurs que le robot est aujourd’hui étudié comme un moyen de ralentir le déclin cognitif. La solution belge est aussi utilisée dans des hôpitaux (pédiatrie et gériatrie) ainsi que dans des institutions psychiatriques. Dans plusieurs cas, notamment en Europe (Pays-Bas et Belgique), Zora a conduit à de réelles avancées auprès de seniors ou enfants autistes présentant des problèmes de socialisation.
Si le contact humain reste bien sûr la meilleure réponse, Zora peut d’une certaine manière aider à lutter contre le sentiment de solitude : « Beaucoup de personnes âgées vivent dans un sentiment de solitude. C’est préoccupant. Quand les gens n’ont pas le temps de rendre visite à leurs proches, certains peuvent, dans une certaine mesure bien sûr, trouver une forme de présence et de compagnie grâce à Zora. Parler avec Zora est un vrai plaisir », explique Fabrice Goffin, l’autre créateur avec Tommy Deblieck, de Zora.