Voici une opération « win-win » comme on dit de nos jours. C’est-à-dire que tout le monde est gagnant dans l’opération. L’idée de la maison newyorkaise Wooln est la suivante : elle propose à des retraités de tricoter des vêtements qui sont ensuite commercialisés sur son site Internet.
Les fondateurs de Wooln voulaient absolument aider ces vieilles dames qui ont parfois du mal à joindre les deux bouts. Tous ces produits sont réalisés à partir de laines, cachemires ou alpaga équitables.
Chaque pièce, entièrement tricotée par une seule retraitée est donc unique. D’ailleurs, les vêtements arborent une petite étiquette qui donne le nom de la tricoteuse et raconte son histoire. Ce qui bien évidemment, créé du lien entre l’acheteur, la marque, mais aussi, la dame à la retraite.
Pour le moment, les produits tricotés à la main par ces femmes sont majoritairement des bonnets ou des écharpes qui sont disponibles en différentes matières et coloris. Il faut compter de 65 à 195 dollars (env. 58 à 180 euros). La marque, qui espère encore se développer, est à la recherche d’autres tricoteuses afin d’augmenter sa production… et donc, de venir en aide à d’autres retraitées !
Des concepts similaires existent déjà, notamment dans le nord de l’Europe, où des grands-mères tricotent des bonnets ou des chaussettes pour les enfants et les nouveau-nés.
Les fondateurs de Wooln voulaient absolument aider ces vieilles dames qui ont parfois du mal à joindre les deux bouts. Tous ces produits sont réalisés à partir de laines, cachemires ou alpaga équitables.
Chaque pièce, entièrement tricotée par une seule retraitée est donc unique. D’ailleurs, les vêtements arborent une petite étiquette qui donne le nom de la tricoteuse et raconte son histoire. Ce qui bien évidemment, créé du lien entre l’acheteur, la marque, mais aussi, la dame à la retraite.
Pour le moment, les produits tricotés à la main par ces femmes sont majoritairement des bonnets ou des écharpes qui sont disponibles en différentes matières et coloris. Il faut compter de 65 à 195 dollars (env. 58 à 180 euros). La marque, qui espère encore se développer, est à la recherche d’autres tricoteuses afin d’augmenter sa production… et donc, de venir en aide à d’autres retraitées !
Des concepts similaires existent déjà, notamment dans le nord de l’Europe, où des grands-mères tricotent des bonnets ou des chaussettes pour les enfants et les nouveau-nés.