Cela fait des années que l’on tente de faire évoluer les représentations de l’âge dans le milieu du travail. Pourtant, la discrimination par l’âge, que l’on soit jeune ou senior reste bel et bien présente au bureau ou à l’usine…
Au total, toutes discriminations confondues, pratiquement les deux-tiers des salariés se disent victimes de discrimination (67% de femmes et 58% d'hommes). En ce qui concerne l’âge, les femmes sont touchées à 26% contre 32% pour les hommes.
Selon leur sexe, les Français classent différemment les types de discriminations les plus courants : ainsi, 31% femmes considèrent que les discriminations liées à leur sexe sont plus importantes alors que 44% des hommes pensent que la race ou l'origine ethnique les touchent plus (26% pour les femmes).
Pour 32% des femmes, la première conséquence de cette discrimination a été le dénigrement et le harcèlement au travail. De leur côté, 48% des hommes considèrent que la ségrégation a eu un impact sur l'embauche et n'ont pas décroché de contrats de travail.
Face à ces discriminations, beaucoup de Français restent impuissants. Ainsi, 33% des femmes et 45% des hommes avouent n'avoir eu aucune réaction pour contrecarrer des actes de ségrégation. Selon le sondage, 27% des travailleurs seraient même contraints de démissionner et seulement 10% des femmes, 14% des hommes engagent des procédures de fin de contrat (Prud'homme ou rupture conventionnelle).
Par ailleurs, 10% des femmes se mettent en arrêt maladie et 20% demandent de l'aide à leur supérieur hiérarchique, ce qui n'est pas le cas pour les hommes (respectivement 1% et 6%) qui parfois en viennent à des violences verbales ou physiques (7%).
Qapa.fr a interrogé 17.524 personnes sur le réseau social Facebook sur la période du 7 au 15 mars 2016, représentatives de la population nationale française, âgées de 18 ans et plus et réparties sur l'ensemble du territoire. Répartition : 54% de femmes et 46% d'hommes.
Au total, toutes discriminations confondues, pratiquement les deux-tiers des salariés se disent victimes de discrimination (67% de femmes et 58% d'hommes). En ce qui concerne l’âge, les femmes sont touchées à 26% contre 32% pour les hommes.
Selon leur sexe, les Français classent différemment les types de discriminations les plus courants : ainsi, 31% femmes considèrent que les discriminations liées à leur sexe sont plus importantes alors que 44% des hommes pensent que la race ou l'origine ethnique les touchent plus (26% pour les femmes).
Pour 32% des femmes, la première conséquence de cette discrimination a été le dénigrement et le harcèlement au travail. De leur côté, 48% des hommes considèrent que la ségrégation a eu un impact sur l'embauche et n'ont pas décroché de contrats de travail.
Face à ces discriminations, beaucoup de Français restent impuissants. Ainsi, 33% des femmes et 45% des hommes avouent n'avoir eu aucune réaction pour contrecarrer des actes de ségrégation. Selon le sondage, 27% des travailleurs seraient même contraints de démissionner et seulement 10% des femmes, 14% des hommes engagent des procédures de fin de contrat (Prud'homme ou rupture conventionnelle).
Par ailleurs, 10% des femmes se mettent en arrêt maladie et 20% demandent de l'aide à leur supérieur hiérarchique, ce qui n'est pas le cas pour les hommes (respectivement 1% et 6%) qui parfois en viennent à des violences verbales ou physiques (7%).
Qapa.fr a interrogé 17.524 personnes sur le réseau social Facebook sur la période du 7 au 15 mars 2016, représentatives de la population nationale française, âgées de 18 ans et plus et réparties sur l'ensemble du territoire. Répartition : 54% de femmes et 46% d'hommes.