En France, les déserts médicaux sont une réalité.
Et la situation s’empire d’années en années avec le départ en retraite des médecins de campagne qui ne sont pas (ou si peu) remplacés.
Les jeunes docteurs préférant s’installer en ville ou dans certaines régions bien spécifiques.
Afin de tenter de remédier à cette situation, le Département du Loiret, en partenariat avec l’Ordre des médecins du Loiret, a présenté le 17 avril dernier une « campagne de recrutement unique en France, auprès des médecins à la retraite ».
Et la situation s’empire d’années en années avec le départ en retraite des médecins de campagne qui ne sont pas (ou si peu) remplacés.
Les jeunes docteurs préférant s’installer en ville ou dans certaines régions bien spécifiques.
Afin de tenter de remédier à cette situation, le Département du Loiret, en partenariat avec l’Ordre des médecins du Loiret, a présenté le 17 avril dernier une « campagne de recrutement unique en France, auprès des médecins à la retraite ».
Plus concrètement, ce dispositif vise à trouver de « jeunes médecins libéraux retraités » qui pourraient travailler quelques heures par mois au sein des services publics du département (consultations, visites médicales, prise en charge des aînés, des bébés, etc.) afin d’améliorer la qualité des soins des Loirétains.
Une initiative qui se veut « avant-gardiste et exemplaire » et qui surtout, permettrait de faire face aux besoins du département qui n’a que douze médecins au sein de ses services alors qu’il en faudrait plus du double « dans une région qui se positionne au 3ème rang des régions à plus forte diminution de spécialistes ».*
* source : Atlas du Conseil national de l’ordre des médecins, sur la période de 2007 à 2013.
Une initiative qui se veut « avant-gardiste et exemplaire » et qui surtout, permettrait de faire face aux besoins du département qui n’a que douze médecins au sein de ses services alors qu’il en faudrait plus du double « dans une région qui se positionne au 3ème rang des régions à plus forte diminution de spécialistes ».*
* source : Atlas du Conseil national de l’ordre des médecins, sur la période de 2007 à 2013.