L’utilisation des robots ou de l'intelligence artificielle auprès des personnes doit d'abord être soumise à des règles éthiques fortes d'autant plus quand il s'agit de personnes ayant des troubles cognitifs.
Ces règles éthiques imposent avant tout de se référer à la réaction des personnes et à leur satisfaction en prenant bien garde de ne jamais leur faire prendre des robots pour des êtres humains ou des animaux. Il importe aussi de toujours écouter les salariés.
Les robots et les intelligences artificielles pourront intervenir dans 3 secteurs :
- aider les personnes à réaliser des actes qu'elles ne pouvaient plus accomplir grâce aux exosquelettes ou aider ceux qui les accompagnent à réaliser des actes physiquement pénibles (aide au lever, ...)
- accompagner des êtres humains pour des tâches répétitives dans les situations d'apprentissage ou d'activité physique dans laquelle le robot ne se lasse jamais de répéter plusieurs fois les mêmes conseils
- accomplir des tâches d’entretien courant à la place des êtres humains (aspirateurs ou tondeuses à gazon autonomes, ...)
Les conséquences de l'introduction des robots peuvent être très positives ou très négatives. C'est à la collectivité nationale dans son ensemble d’en maîtriser les conséquences.
L'AD-PA souhaitera toujours évidemment que l'augmentation de l'intervention des robots se fasse au service des personnes aidées, en augmentant le temps humain passé auprès d'elles et en améliorant les rémunérations des salariés et/ou en diminuant leur temps de travail.
Ces règles éthiques imposent avant tout de se référer à la réaction des personnes et à leur satisfaction en prenant bien garde de ne jamais leur faire prendre des robots pour des êtres humains ou des animaux. Il importe aussi de toujours écouter les salariés.
Les robots et les intelligences artificielles pourront intervenir dans 3 secteurs :
- aider les personnes à réaliser des actes qu'elles ne pouvaient plus accomplir grâce aux exosquelettes ou aider ceux qui les accompagnent à réaliser des actes physiquement pénibles (aide au lever, ...)
- accompagner des êtres humains pour des tâches répétitives dans les situations d'apprentissage ou d'activité physique dans laquelle le robot ne se lasse jamais de répéter plusieurs fois les mêmes conseils
- accomplir des tâches d’entretien courant à la place des êtres humains (aspirateurs ou tondeuses à gazon autonomes, ...)
Les conséquences de l'introduction des robots peuvent être très positives ou très négatives. C'est à la collectivité nationale dans son ensemble d’en maîtriser les conséquences.
L'AD-PA souhaitera toujours évidemment que l'augmentation de l'intervention des robots se fasse au service des personnes aidées, en augmentant le temps humain passé auprès d'elles et en améliorant les rémunérations des salariés et/ou en diminuant leur temps de travail.
Rappelons que d’une manière générale, ces robots de services (ou « sociaux ») sont capables d’interagir directement avec les résidents ou le personnel des maisons de retraite ou établissements de santé et de proposer divers services : animations ; renseignements ; aides à la communication et bien sûr, sécurisation.
Si, au départ, certains spécialistes doutaient quelque peu des bienfaits de l’arrivée de ces robots dans l’univers du « care », il semblerait qu’au fil du temps, cette tendance se développe et se confirme… Et soit même de mieux en mieux acceptée autant par les professionnels que par le grand public.
A ce titre, l'Organisation internationale pour la standardisation, qui élabore des normes internationales, a adopté les critères de sécurité pour les robots d'aide à la personne proposés par le Japon, leader mondial dans ce domaine.
Si, au départ, certains spécialistes doutaient quelque peu des bienfaits de l’arrivée de ces robots dans l’univers du « care », il semblerait qu’au fil du temps, cette tendance se développe et se confirme… Et soit même de mieux en mieux acceptée autant par les professionnels que par le grand public.
A ce titre, l'Organisation internationale pour la standardisation, qui élabore des normes internationales, a adopté les critères de sécurité pour les robots d'aide à la personne proposés par le Japon, leader mondial dans ce domaine.