Le Dr Michel de Lorgeril est un spécialiste reconnu du cholestérol. Il vient de publier L’horrible vérité sur les médicaments anticholestérol, un nouvel ouvrage (16,90 euros, 256 pages) dans lequel il détaille, études scientifiques à l’appui, les effets indésirables sérieux des statines, des médicaments anticholestérol pris au long cours par des millions de personnes.
Décidément, ces derniers temps, les statines n’ont pas « bonne presse ». En effet, après l’ouvrage paru cette semaine aux éditions du Cherche Midi intitulé « Corruptions et crédulité en médecine : stop aux statines et autres dangers » du professeur Philippe Even, c’est au tour du Dr Michel de Lorgeril (chercheur au CNRS en biologie de la nutrition) de publier un livre fort sur ces substances médicamenteuses…
Selon ce spécialiste, les effets secondaires les plus connus sont les atteintes musculaires. Mais il révèle aussi que les statines augmentent le risque de diabète et qu’elles affectent les fonctions sexuelles. Elles sont de plus, liées à un risque accru de maladies neurodégénératives, oculaires, rénales, et pourraient favoriser les cancers…
Pour le Dr Michel de Lorgeril, « cette toxicité (qui concerne tous les médicaments hypocholestérolémiants, y compris de dernière génération) est d’autant plus inacceptable que les statines ne réduisent ni le risque d’infarctus ni celui d’accident vasculaire cérébral : le rapport bénéfice/risque de ces médicaments est donc particulièrement désastreux ».
Pourtant, ni les médecins, ni les patients ne sont aujourd’hui clairement informés de cette situation. Au contraire, des « leaders d’opinion », médecins liés aux laboratoires pharmaceutiques entretiennent un efficace rideau de fumée pour que les prescriptions ne diminuent pas.
Et le chercheur de conclure que « cette horrible vérité appelle trois mesures d’urgence : l’information immédiate des patients, le retrait des statines du marché et un moratoire sur la commercialisation des anti-PCSK9, la nouvelle génération d’anticholestérol ».
Découverte en 1758 par François-Paul Poulletier sous forme solide au sein de calculs biliaires, c’est en 1816 que cette nouvelle substance organique prend le nom de cholestérine suite aux travaux de Michel-Eugène Chevreul qui précise ses caractéristiques physico-chimiques.
Le saviez-vous ? Le cholestérol tire son nom du grec « chole » signifiant bile et « stereos » signifiant solide.
Décidément, ces derniers temps, les statines n’ont pas « bonne presse ». En effet, après l’ouvrage paru cette semaine aux éditions du Cherche Midi intitulé « Corruptions et crédulité en médecine : stop aux statines et autres dangers » du professeur Philippe Even, c’est au tour du Dr Michel de Lorgeril (chercheur au CNRS en biologie de la nutrition) de publier un livre fort sur ces substances médicamenteuses…
Selon ce spécialiste, les effets secondaires les plus connus sont les atteintes musculaires. Mais il révèle aussi que les statines augmentent le risque de diabète et qu’elles affectent les fonctions sexuelles. Elles sont de plus, liées à un risque accru de maladies neurodégénératives, oculaires, rénales, et pourraient favoriser les cancers…
Pour le Dr Michel de Lorgeril, « cette toxicité (qui concerne tous les médicaments hypocholestérolémiants, y compris de dernière génération) est d’autant plus inacceptable que les statines ne réduisent ni le risque d’infarctus ni celui d’accident vasculaire cérébral : le rapport bénéfice/risque de ces médicaments est donc particulièrement désastreux ».
Pourtant, ni les médecins, ni les patients ne sont aujourd’hui clairement informés de cette situation. Au contraire, des « leaders d’opinion », médecins liés aux laboratoires pharmaceutiques entretiennent un efficace rideau de fumée pour que les prescriptions ne diminuent pas.
Et le chercheur de conclure que « cette horrible vérité appelle trois mesures d’urgence : l’information immédiate des patients, le retrait des statines du marché et un moratoire sur la commercialisation des anti-PCSK9, la nouvelle génération d’anticholestérol ».
Découverte en 1758 par François-Paul Poulletier sous forme solide au sein de calculs biliaires, c’est en 1816 que cette nouvelle substance organique prend le nom de cholestérine suite aux travaux de Michel-Eugène Chevreul qui précise ses caractéristiques physico-chimiques.
Le saviez-vous ? Le cholestérol tire son nom du grec « chole » signifiant bile et « stereos » signifiant solide.