Sans trop de surprise, cette nouvelle étude met en lumière une nette différence d’interactions des baby-boomers avec leurs enfants et leurs petits-enfants dans leur façon de pratiquer des activités.
Ainsi, les grands-parents et leurs petits-enfants partagent plus de moments de loisirs, alors que les relations baby-boomers et enfants sont davantage basées sur l’échange de bons procédés (garde d’enfants, aide sur la prise en main informatique, bricolage ou encore, aide financière -un grand classique).
Il existe donc un lien intergénérationnel entre grands-parents et petits-enfants, basé sur le partage de moments de détente, alors que la relation des baby-boomers avec leurs enfants reste davantage tournée vers « l’utile ».
L’entraide intergénérationnelle est aussi un phénomène bien visible, surtout entre les baby-boomers âgés de 55 à 75 ans et leurs enfants. A noter que les plus jeunes sont très enclins à transmettre leur savoir à leurs grands-parents en matière de nouvelles technologies. Ils sont ainsi plus d’un sur deux à déclarer aider leurs grands-parents à se servir d’un ordinateur, d’internet et à utiliser un smartphone. Une vraie tendance de fond que le constate déjà depuis des années.
D’autre part, malgré le besoin d’indépendance et d’autonomie exprimé par chacune des générations interrogées, on constate que l’entraide, basée sur des échanges de bons procédés, reste très courante entre les générations et permet de garder le lien entre elles. À partir de ce constat, on comprend mieux le développement récent et l’engouement des nombreux services intergénérationnels qui élargissent le périmètre de l’entraide entre générations et renforce l’autonomie des 55-75 ans.
Ainsi, les grands-parents et leurs petits-enfants partagent plus de moments de loisirs, alors que les relations baby-boomers et enfants sont davantage basées sur l’échange de bons procédés (garde d’enfants, aide sur la prise en main informatique, bricolage ou encore, aide financière -un grand classique).
Il existe donc un lien intergénérationnel entre grands-parents et petits-enfants, basé sur le partage de moments de détente, alors que la relation des baby-boomers avec leurs enfants reste davantage tournée vers « l’utile ».
L’entraide intergénérationnelle est aussi un phénomène bien visible, surtout entre les baby-boomers âgés de 55 à 75 ans et leurs enfants. A noter que les plus jeunes sont très enclins à transmettre leur savoir à leurs grands-parents en matière de nouvelles technologies. Ils sont ainsi plus d’un sur deux à déclarer aider leurs grands-parents à se servir d’un ordinateur, d’internet et à utiliser un smartphone. Une vraie tendance de fond que le constate déjà depuis des années.
D’autre part, malgré le besoin d’indépendance et d’autonomie exprimé par chacune des générations interrogées, on constate que l’entraide, basée sur des échanges de bons procédés, reste très courante entre les générations et permet de garder le lien entre elles. À partir de ce constat, on comprend mieux le développement récent et l’engouement des nombreux services intergénérationnels qui élargissent le périmètre de l’entraide entre générations et renforce l’autonomie des 55-75 ans.
Les hédonistes : plus de 30% des baby-boomers
Ils ont des revenus plutôt élevés.
Ils prennent soin d’eux et ne se sentent pas « senior ».
Pour ne pas vieillir, ils entretiennent leur santé, font du sport, surveillent leur alimentation, etc.
Ils sont sportifs, ils voyagent.
Ils vivent en couple.
L’assurance n’est pas au cœur de leurs préoccupations.
Ils sont en phase de consommation de leur épargne s’ils en ont une.
Ils sont les plus équipés en véhicule, synonyme de liberté et d’indépendance ou de passion.
Les tradis : ils représentent 26% des baby-boomers
Ils ont des revenus élevés.
Ils sont peu sportifs et voyagent avec leur famille ou pour leurs loisirs.
Ils sont plutôt prévoyants et bien équipés en assurance (vie, santé, prévoyance...)
La santé occupe une place importante pour eux, mais ils ne sont pas tournés vers la prévention.
Ils ont bien préparé leur retraite et leur « vieillissement », notamment en souscrivant des assurances adaptées.
Les pragmatiques : 20% des baby-boomers
Ils voient avant tout l’avancée en âge comme une déchéance physique.
Ils ont des revenus moyens.
Ils sont peu sportifs et ne voyagent pas beaucoup plus que la moyenne.
Ils accordent de l’importance à leur santé car ils sont plus nombreux à avoir des problèmes de santé. Ils consomment beaucoup, notamment des équipements technologiques, des véhicules et des assurances. Mais ce sont des zappeurs, qui sont prêts à changer pour l’offre la plus intéressante.
Les casaniers : 24% des baby-boomers
Ils ont choisi le repli sur la sphère privée pour des raisons qui varient en fonction de leur situation économique.
Ce sont plutôt les plus âgés de la cible.
Ils sont plus souvent seuls, célibataires ou veufs, et ce sont le plus souvent des femmes.
Ils ont des revenus moyens à modestes.
Ils ne sont pas très équipés en technologie ou en véhicule et ils voyagent peu.
Quand ils sont grands-parents ils ont des activités avec leurs petits-enfants, mais pas de façon régulière
Ils ont des revenus plutôt élevés.
Ils prennent soin d’eux et ne se sentent pas « senior ».
Pour ne pas vieillir, ils entretiennent leur santé, font du sport, surveillent leur alimentation, etc.
Ils sont sportifs, ils voyagent.
Ils vivent en couple.
L’assurance n’est pas au cœur de leurs préoccupations.
Ils sont en phase de consommation de leur épargne s’ils en ont une.
Ils sont les plus équipés en véhicule, synonyme de liberté et d’indépendance ou de passion.
Les tradis : ils représentent 26% des baby-boomers
Ils ont des revenus élevés.
Ils sont peu sportifs et voyagent avec leur famille ou pour leurs loisirs.
Ils sont plutôt prévoyants et bien équipés en assurance (vie, santé, prévoyance...)
La santé occupe une place importante pour eux, mais ils ne sont pas tournés vers la prévention.
Ils ont bien préparé leur retraite et leur « vieillissement », notamment en souscrivant des assurances adaptées.
Les pragmatiques : 20% des baby-boomers
Ils voient avant tout l’avancée en âge comme une déchéance physique.
Ils ont des revenus moyens.
Ils sont peu sportifs et ne voyagent pas beaucoup plus que la moyenne.
Ils accordent de l’importance à leur santé car ils sont plus nombreux à avoir des problèmes de santé. Ils consomment beaucoup, notamment des équipements technologiques, des véhicules et des assurances. Mais ce sont des zappeurs, qui sont prêts à changer pour l’offre la plus intéressante.
Les casaniers : 24% des baby-boomers
Ils ont choisi le repli sur la sphère privée pour des raisons qui varient en fonction de leur situation économique.
Ce sont plutôt les plus âgés de la cible.
Ils sont plus souvent seuls, célibataires ou veufs, et ce sont le plus souvent des femmes.
Ils ont des revenus moyens à modestes.
Ils ne sont pas très équipés en technologie ou en véhicule et ils voyagent peu.
Quand ils sont grands-parents ils ont des activités avec leurs petits-enfants, mais pas de façon régulière