En cet été 2022, Caroline-Ida Ours, mannequin et influenceuse de 62 ans (les femmes seniors sont de plus en plus présentes sur Instagram), est passée devant l’objectif et l'œil d’Amélie Marzouk.
Résultat ? une série de portraits réalisés pour lutter contre l'âgisme, un combat mené par Caroline-Ida depuis bientôt cinq ans contre cette discrimination par l’âge, toujours bien présente dans nos sociétés.
De fait, l’influenceuse, combat chaque jour de l’invisibilité des femmes de plus de 50 ans dans les médias (même si on note tout de même un léger mieux depuis quelques années).
Pour rappel, à l’âge de 57 ans, elle a subi une rupture d’anévrisme et à son réveil, elle a considéré cet accident tel « un signe » en se rendant compte qu’elle se devait de changer sa vie. Elle ne correspondait tout simplement plus à la femme qu’elle était auparavant.
Aujourd’hui, elle s’affranchit du regard des autres. Avant cette collaboration avec Amélie Marzouk, Caroline-Ida Ours a notamment fait la couverture du magazine Paulette et la campagne de Darjeeling qui ont eu une portée forte dans les médias.
Pour Amélie Marzouk, photographier les femmes « silver » est une grande avancée dans l’affirmation des femmes âgées dans l’espace médiatique. Elle exerce son métier de photographe avec beaucoup de passion et d’amour pour lutter contre les diktats de la société.
« Quand les femmes viennent me voir au studio, je les écoute et les regarde avant de les prendre en photo précise la photographe. Avec leurs portraits, je leur tends un nouveau miroir pour leur apprendre à se regarder différemment. Les décomplexer et faire de leurs imperfections une force, voilà la mission que je me suis fixée ! ».
Résultat ? une série de portraits réalisés pour lutter contre l'âgisme, un combat mené par Caroline-Ida depuis bientôt cinq ans contre cette discrimination par l’âge, toujours bien présente dans nos sociétés.
De fait, l’influenceuse, combat chaque jour de l’invisibilité des femmes de plus de 50 ans dans les médias (même si on note tout de même un léger mieux depuis quelques années).
Pour rappel, à l’âge de 57 ans, elle a subi une rupture d’anévrisme et à son réveil, elle a considéré cet accident tel « un signe » en se rendant compte qu’elle se devait de changer sa vie. Elle ne correspondait tout simplement plus à la femme qu’elle était auparavant.
Aujourd’hui, elle s’affranchit du regard des autres. Avant cette collaboration avec Amélie Marzouk, Caroline-Ida Ours a notamment fait la couverture du magazine Paulette et la campagne de Darjeeling qui ont eu une portée forte dans les médias.
Pour Amélie Marzouk, photographier les femmes « silver » est une grande avancée dans l’affirmation des femmes âgées dans l’espace médiatique. Elle exerce son métier de photographe avec beaucoup de passion et d’amour pour lutter contre les diktats de la société.
« Quand les femmes viennent me voir au studio, je les écoute et les regarde avant de les prendre en photo précise la photographe. Avec leurs portraits, je leur tends un nouveau miroir pour leur apprendre à se regarder différemment. Les décomplexer et faire de leurs imperfections une force, voilà la mission que je me suis fixée ! ».