Le le site Internet Service-Public.fr, la réponse est : oui, une tante peut adopter sa nièce.
L'adoption au sein de la famille, notamment entre neveux ou nièces et oncles ou tantes, est autorisée sous réserve qu'elle serve l'intérêt moral et matériel de l'enfant. Les magistrats, dans leur pouvoir discrétionnaire, évaluent si l'adoption projetée s'aligne sur l'intérêt supérieur de l'enfant adopté. Lorsque l'adoptant est déjà parent, le tribunal s'assure que l'adoption n'entrave pas l'équilibre de la cellule familiale existante.
Il est à noter que l'adoption intrafamiliale ne se limite pas aux relations avec le conjoint, le concubin ou le partenaire lié par un PACS. Cependant, elle est prohibée lorsqu'elle est motivée par des considérations successorales, telles que la volonté de transmettre un patrimoine ou de diminuer les droits de succession.
Quant à l'adoption par les grands-parents, elle est exclue en raison du risque de contournement des règles de la succession. Toutefois, le tribunal peut prononcer une telle adoption s'il identifie des motifs graves, dont l'appréciation relève de son appréciation souveraine.
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L'adoption au sein de la famille, notamment entre neveux ou nièces et oncles ou tantes, est autorisée sous réserve qu'elle serve l'intérêt moral et matériel de l'enfant. Les magistrats, dans leur pouvoir discrétionnaire, évaluent si l'adoption projetée s'aligne sur l'intérêt supérieur de l'enfant adopté. Lorsque l'adoptant est déjà parent, le tribunal s'assure que l'adoption n'entrave pas l'équilibre de la cellule familiale existante.
Il est à noter que l'adoption intrafamiliale ne se limite pas aux relations avec le conjoint, le concubin ou le partenaire lié par un PACS. Cependant, elle est prohibée lorsqu'elle est motivée par des considérations successorales, telles que la volonté de transmettre un patrimoine ou de diminuer les droits de succession.
Quant à l'adoption par les grands-parents, elle est exclue en raison du risque de contournement des règles de la succession. Toutefois, le tribunal peut prononcer une telle adoption s'il identifie des motifs graves, dont l'appréciation relève de son appréciation souveraine.
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