En été comme en hiver, les jus de fruits sont les bienvenus pour allier plaisir et bien‐être : ils nous désaltèrent et nous permettent en même temps de faire le plein de vitamines pour recharger nos batteries.
Les jus de fruits conservent, en effet, l’essentiel des caractéristiques nutritionnelles des fruits dont ils sont issus, comme le précise le « Livre Blanc du Jus de Fruit » édité par l’Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits (UNIJUS).
En une cinquantaine de pages, ce nouveau document inédit répond de façon simple et complète à toutes les questions que nous pouvons nous poser sur les Jus de Fruits, que les Français apprécient beaucoup : en 2012, ils en ont, en effet, consommé 1,62 milliard de litres !
Il existe 3 types de jus de fruits différents sur le marché ?
Vrai. Le marché des jus de fruits comporte une grande variété de produits. Ce qui les différencie, ce sont la quantité et le type de jus qu’ils contiennent ainsi que le traitement subi par le produit. On peut distinguer :
- les purs jus de fruits, qui sont obtenus par simple pression des fruits, sans aucune adjonction (ni eau, ni sucre);
- les jus à base de concentré, qui sont élaborés à partir de jus concentrés. Le jus, qui a été concentré par simple évaporation afin de faciliter le stockage et le transport, est ensuite reconstitué avec le même volume d’eau que celui extrait pendant la concentration, sans adjonction de sucre;
- les nectars, qui sont fabriqués à partir de jus, purée ou pulpe de fruits (de 25 à 50 % selon les fruits) auxquels on ajoute de l’eau et du sucre. Les nectars représentent l’unique possibilité pour consommer à l’état liquide des fruits qui ne peuvent pas être pressés, comme les fruits pulpeux (banane, abricot, etc.) ou les fruits acides (fruits rouges, etc.).
Depuis quelques années, une nouvelle catégorie commerciale de jus de fruits est apparue sur le marché : les smoothies, de l’anglais smooth qui signifie onctueux. Lorsqu’ils contiennent uniquement des jus et purées de fruits, ces produits sont réglementairement considérés comme des jus de fruits.
Il n’y a pas de sucres ajoutés dans les jus de fruits
Vrai. Les jus de fruits font partie des rares aliments à bénéficier d’une réglementation propre, qui impose une définition stricte du jus de fruits et interdit l'ajout de sucre. Les jus de fruits ne contiennent donc que les sucres naturels des fruits (glucose, saccharose, fructose). De plus, la mention « 100% pur jus », depuis longtemps régie par les règles professionnelles du code d’étiquetage des jus de fruits et nectars reconnu par les services de la Répression des Fraudes, ne peut être utilisée que pour des produits issus directement du pressage des fruits, sans ajout de sucres, ni d’un quelconque autre ingrédient. De même, les colorants et les conservateurs sont interdits depuis toujours. Même si cette interdiction ne prend effet que maintenant, les professionnels français se sont depuis très longtemps abstenus d’ajouter du sucre dans tous leurs jus de fruits, et ceci bien avant la publication de la directive 2012/12 qu'ils ont fortement soutenue lors des discutions européennes.
Les jus de fruits peuvent représenter 1 des 5 portions de fruits et légumes recommandées par jour.
Vrai. Car mis à part les fibres, on retrouve l’essentiel de la richesse nutritionnelle des fruits dans les jus de fruits. En revanche, cette équivalence ne dépend pas de la quantité de jus de fruits consommée, les 4 autres portions de fruits devant être consommées sous des formes différentes.
Les teneurs en vitamine C des fruits ne sont pas préservées dans les jus de fruits.
Faux. Les procédés de fabrication des jus de fruits protègent leur teneur en vitamine C. Ainsi, la pasteurisation ou la flash‐pasteurisation sont des procédés qui permettent de préserver l’essentiel des vitamines des fruits, en particulier la vitamine C dont les teneurs sont très peu diminuées dans le jus après pasteurisation. De plus, l’exposition aux éclairages des sites de stockages ou des linéaires des lieux de ventes dans des conditions normales n’altère pas la teneur en vitamine C. Enfin, les industriels ont mis en place des procédés qui préservent les caractéristiques des produits et garantissent la teneur en vitamine C des jus de fruits jusqu’à la fin de leur durée de vie. Ils ont, en effet, l’obligation légale de garantir la véracité de cette information sur l’étiquette jusqu’à la fin de la durée de vie du produit.
Les jus de fruits conservent, en effet, l’essentiel des caractéristiques nutritionnelles des fruits dont ils sont issus, comme le précise le « Livre Blanc du Jus de Fruit » édité par l’Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits (UNIJUS).
En une cinquantaine de pages, ce nouveau document inédit répond de façon simple et complète à toutes les questions que nous pouvons nous poser sur les Jus de Fruits, que les Français apprécient beaucoup : en 2012, ils en ont, en effet, consommé 1,62 milliard de litres !
Il existe 3 types de jus de fruits différents sur le marché ?
Vrai. Le marché des jus de fruits comporte une grande variété de produits. Ce qui les différencie, ce sont la quantité et le type de jus qu’ils contiennent ainsi que le traitement subi par le produit. On peut distinguer :
- les purs jus de fruits, qui sont obtenus par simple pression des fruits, sans aucune adjonction (ni eau, ni sucre);
- les jus à base de concentré, qui sont élaborés à partir de jus concentrés. Le jus, qui a été concentré par simple évaporation afin de faciliter le stockage et le transport, est ensuite reconstitué avec le même volume d’eau que celui extrait pendant la concentration, sans adjonction de sucre;
- les nectars, qui sont fabriqués à partir de jus, purée ou pulpe de fruits (de 25 à 50 % selon les fruits) auxquels on ajoute de l’eau et du sucre. Les nectars représentent l’unique possibilité pour consommer à l’état liquide des fruits qui ne peuvent pas être pressés, comme les fruits pulpeux (banane, abricot, etc.) ou les fruits acides (fruits rouges, etc.).
Depuis quelques années, une nouvelle catégorie commerciale de jus de fruits est apparue sur le marché : les smoothies, de l’anglais smooth qui signifie onctueux. Lorsqu’ils contiennent uniquement des jus et purées de fruits, ces produits sont réglementairement considérés comme des jus de fruits.
Il n’y a pas de sucres ajoutés dans les jus de fruits
Vrai. Les jus de fruits font partie des rares aliments à bénéficier d’une réglementation propre, qui impose une définition stricte du jus de fruits et interdit l'ajout de sucre. Les jus de fruits ne contiennent donc que les sucres naturels des fruits (glucose, saccharose, fructose). De plus, la mention « 100% pur jus », depuis longtemps régie par les règles professionnelles du code d’étiquetage des jus de fruits et nectars reconnu par les services de la Répression des Fraudes, ne peut être utilisée que pour des produits issus directement du pressage des fruits, sans ajout de sucres, ni d’un quelconque autre ingrédient. De même, les colorants et les conservateurs sont interdits depuis toujours. Même si cette interdiction ne prend effet que maintenant, les professionnels français se sont depuis très longtemps abstenus d’ajouter du sucre dans tous leurs jus de fruits, et ceci bien avant la publication de la directive 2012/12 qu'ils ont fortement soutenue lors des discutions européennes.
Les jus de fruits peuvent représenter 1 des 5 portions de fruits et légumes recommandées par jour.
Vrai. Car mis à part les fibres, on retrouve l’essentiel de la richesse nutritionnelle des fruits dans les jus de fruits. En revanche, cette équivalence ne dépend pas de la quantité de jus de fruits consommée, les 4 autres portions de fruits devant être consommées sous des formes différentes.
Les teneurs en vitamine C des fruits ne sont pas préservées dans les jus de fruits.
Faux. Les procédés de fabrication des jus de fruits protègent leur teneur en vitamine C. Ainsi, la pasteurisation ou la flash‐pasteurisation sont des procédés qui permettent de préserver l’essentiel des vitamines des fruits, en particulier la vitamine C dont les teneurs sont très peu diminuées dans le jus après pasteurisation. De plus, l’exposition aux éclairages des sites de stockages ou des linéaires des lieux de ventes dans des conditions normales n’altère pas la teneur en vitamine C. Enfin, les industriels ont mis en place des procédés qui préservent les caractéristiques des produits et garantissent la teneur en vitamine C des jus de fruits jusqu’à la fin de leur durée de vie. Ils ont, en effet, l’obligation légale de garantir la véracité de cette information sur l’étiquette jusqu’à la fin de la durée de vie du produit.
Boire un verre de jus d’orange (200ml) suffit à couvrir la totalité des besoins quotidiens en vitamine C.
Vrai. Contrairement aux idées reçues, les jus de fruits conservent une grande partie de la vitamine C des fruits dont ils sont issus. Un verre de jus d’orange (200 ml) couvre donc la quasi‐totalité des besoins quotidiens en vitamine C, soit près de 80 mg.
Chez les enfants et les adolescents, les jus de fruits occupent la première place pour la contribution aux apports en vitamines C.
Vrai. Dans les conditions actuelles de consommation en France, les jus de fruits sont les premiers contributeurs à l’apport en vitamine C chez les enfants et les adolescents et les deuxièmes contributeurs chez les adultes. Ils sont les troisièmes contributeurs à l’apport en vitamine B9 chez les enfants et les adolescents.
Les jus de fruits ne sont pas autorisés à communiquer sur les effets santé de la vitamine C.
Faux. Les jus de fruits qui sont de bonnes sources ou qui sont riches en vitamine C, comme les jus d’agrumes, les jus multifruits et certains jus de fruits exotiques, peuvent communiquer sur les effets santé de la vitamine C qu’ils contiennent (protection contre le stress oxydatif, réduction de la fatigue, meilleure absorption du fer…).
Les Français aiment les purs jus.
Vrai. La consommation des purs jus augmente régulièrement : en 2012, les purs jus de fruits représentent 51,8% du marché, contre 36,9% huit ans plus tôt. La situation du marché français est à ce sujet unique en Europe, puisque dans la plupart des pays de l’Union Européenne, les purs jus de fruits représentent entre 5 et 20% de l’offre seulement.
Les jus de fruits et nectars ne contiennent pas d’additifs alimentaires.
Vrai. Il n’y a pas d’additifs à de rares exceptions près puisque seuls 2 additifs sont autorisés dans tous les jus de fruits et nectars : l’acide citrique pour corriger l’acidité ou l’acide ascorbique, pour son rôle antioxydant.
Les jus de fruits sont consommés en dehors des repas
Faux. Les jus de fruits sont consommés en grande majorité au cours d’un repas structuré et de préférence au cours du petit déjeuner (pour 44% des enfants, 61% des adolescents et 56% des adultes). Le goûter est également un moment important de consommation des jus de fruits pour les enfants (33%).
Le « Livre Blanc du Jus de Fruit » est accessible pour lecture et téléchargement sur : www.jusdefruit.org
Rubrique communication / Publications / Livre Blanc des Jus de Fruits
Vrai. Contrairement aux idées reçues, les jus de fruits conservent une grande partie de la vitamine C des fruits dont ils sont issus. Un verre de jus d’orange (200 ml) couvre donc la quasi‐totalité des besoins quotidiens en vitamine C, soit près de 80 mg.
Chez les enfants et les adolescents, les jus de fruits occupent la première place pour la contribution aux apports en vitamines C.
Vrai. Dans les conditions actuelles de consommation en France, les jus de fruits sont les premiers contributeurs à l’apport en vitamine C chez les enfants et les adolescents et les deuxièmes contributeurs chez les adultes. Ils sont les troisièmes contributeurs à l’apport en vitamine B9 chez les enfants et les adolescents.
Les jus de fruits ne sont pas autorisés à communiquer sur les effets santé de la vitamine C.
Faux. Les jus de fruits qui sont de bonnes sources ou qui sont riches en vitamine C, comme les jus d’agrumes, les jus multifruits et certains jus de fruits exotiques, peuvent communiquer sur les effets santé de la vitamine C qu’ils contiennent (protection contre le stress oxydatif, réduction de la fatigue, meilleure absorption du fer…).
Les Français aiment les purs jus.
Vrai. La consommation des purs jus augmente régulièrement : en 2012, les purs jus de fruits représentent 51,8% du marché, contre 36,9% huit ans plus tôt. La situation du marché français est à ce sujet unique en Europe, puisque dans la plupart des pays de l’Union Européenne, les purs jus de fruits représentent entre 5 et 20% de l’offre seulement.
Les jus de fruits et nectars ne contiennent pas d’additifs alimentaires.
Vrai. Il n’y a pas d’additifs à de rares exceptions près puisque seuls 2 additifs sont autorisés dans tous les jus de fruits et nectars : l’acide citrique pour corriger l’acidité ou l’acide ascorbique, pour son rôle antioxydant.
Les jus de fruits sont consommés en dehors des repas
Faux. Les jus de fruits sont consommés en grande majorité au cours d’un repas structuré et de préférence au cours du petit déjeuner (pour 44% des enfants, 61% des adolescents et 56% des adultes). Le goûter est également un moment important de consommation des jus de fruits pour les enfants (33%).
Le « Livre Blanc du Jus de Fruit » est accessible pour lecture et téléchargement sur : www.jusdefruit.org
Rubrique communication / Publications / Livre Blanc des Jus de Fruits