En 2020, la Suisse comptait 1,654 million de personnes actives de 50 ans ou plus (âge de la « seniorité » dans le monde du travail), soit un tiers (33,5%) de la population active totale, une part qui a progressé par rapport à 1991 (24%).
Selon l’OFS, ce vieillissement serait dû à l’arrivée à l’âge de la cinquantaine des générations du baby-boom (personnes nées entre 1945 et 1964). En 2020, le nombre de personnes de 65 ans ou plus pour 100 personnes actives de 20 à 64 ans a atteint 35,7, en forte hausse par rapport à 1991 (28,2).
Toujours selon cette étude de l’OFS, l’an passé, 81,4% de la population de 50 à 64 ans était active, contre 70,9% en 1991. Cela est dû à la forte progression du taux d’activité des femmes qui est passé de 53,4% en 1991 à 75,6% en 2020 vs 90,1% à 87,2% pour les messieurs.
En comparaison européenne, la Suisse faisait partie avec la Suède (86%), l’Islande (83,6%) et l’Estonie (81,3%) des pays dans lesquels plus de huit personnes sur dix de 50 à 64 ans étaient actives (moyenne de l’Union européenne: 70,3%). Par ailleurs, il convient d’ajouter que plus d’une personne sur six (17,8%) de 65 à 74 ans restait encore active professionnellement en Suisse (vs 19,7% en 1991).
Les 50-64 ans sont 40,3% à travailler à temps partiel contre 35,2% chez les 25-49 ans. On note aussi que la main d’œuvre de 50 ans et plus est surreprésentée dans les branches « transport et entreposage », « administration publique » (34,5%) et « agriculture et sylviculture » (34,4%.
Toujours selon cette étude, en 2020, le taux de chômage était plus faible chez les personnes de 50 à 64 ans (4%) que chez les 25-49 ans (4,7%). D’autre part, près de la moitié (48,9%) des chômeurs de 50-64 ans recherchait un travail depuis plus d’une année. En comparaison internationale, le taux de chômage des 50-64 ans se situait proche du milieu du classement des pays (moyenne de l’UE: 5,1%).
En 2020, près d’un senior sur cinq (18,6%) était non actif. Et Un cinquième d’entre eux serait prêts à travailler dont une grande majorité dans un délai d’un mois. Toujours selon l’OFS, l’âge moyen à la sortie du marché du travail se montait à 65,2 ans en 2020 (hommes: 65,6 ans; femmes: 64,9 ans). Et c’est dans la branche « agriculture et sylviculture » où la main d’œuvre reste le plus longtemps active (sortie à 67,5 ans). En revanche, l’âge moyen à la sortie du marché du travail s’élève à 62,8 ans chez les personnes actives dans la branche « activités financières et assurance ».
Toutes professions confondues, le salaire mensuel moyen des 50 à 64/65 ans s’élevait à 7.341 francs en 2018 en progression de 7,6% en l’espace de dix ans. Celui des femmes à partir de 50 ans reste inférieur à celui des hommes, mais les différences salariales se sont réduites entre 2008 (20,4%) et 2018 (16,1%).
Selon l’OFS, ce vieillissement serait dû à l’arrivée à l’âge de la cinquantaine des générations du baby-boom (personnes nées entre 1945 et 1964). En 2020, le nombre de personnes de 65 ans ou plus pour 100 personnes actives de 20 à 64 ans a atteint 35,7, en forte hausse par rapport à 1991 (28,2).
Toujours selon cette étude de l’OFS, l’an passé, 81,4% de la population de 50 à 64 ans était active, contre 70,9% en 1991. Cela est dû à la forte progression du taux d’activité des femmes qui est passé de 53,4% en 1991 à 75,6% en 2020 vs 90,1% à 87,2% pour les messieurs.
En comparaison européenne, la Suisse faisait partie avec la Suède (86%), l’Islande (83,6%) et l’Estonie (81,3%) des pays dans lesquels plus de huit personnes sur dix de 50 à 64 ans étaient actives (moyenne de l’Union européenne: 70,3%). Par ailleurs, il convient d’ajouter que plus d’une personne sur six (17,8%) de 65 à 74 ans restait encore active professionnellement en Suisse (vs 19,7% en 1991).
Les 50-64 ans sont 40,3% à travailler à temps partiel contre 35,2% chez les 25-49 ans. On note aussi que la main d’œuvre de 50 ans et plus est surreprésentée dans les branches « transport et entreposage », « administration publique » (34,5%) et « agriculture et sylviculture » (34,4%.
Toujours selon cette étude, en 2020, le taux de chômage était plus faible chez les personnes de 50 à 64 ans (4%) que chez les 25-49 ans (4,7%). D’autre part, près de la moitié (48,9%) des chômeurs de 50-64 ans recherchait un travail depuis plus d’une année. En comparaison internationale, le taux de chômage des 50-64 ans se situait proche du milieu du classement des pays (moyenne de l’UE: 5,1%).
En 2020, près d’un senior sur cinq (18,6%) était non actif. Et Un cinquième d’entre eux serait prêts à travailler dont une grande majorité dans un délai d’un mois. Toujours selon l’OFS, l’âge moyen à la sortie du marché du travail se montait à 65,2 ans en 2020 (hommes: 65,6 ans; femmes: 64,9 ans). Et c’est dans la branche « agriculture et sylviculture » où la main d’œuvre reste le plus longtemps active (sortie à 67,5 ans). En revanche, l’âge moyen à la sortie du marché du travail s’élève à 62,8 ans chez les personnes actives dans la branche « activités financières et assurance ».
Toutes professions confondues, le salaire mensuel moyen des 50 à 64/65 ans s’élevait à 7.341 francs en 2018 en progression de 7,6% en l’espace de dix ans. Celui des femmes à partir de 50 ans reste inférieur à celui des hommes, mais les différences salariales se sont réduites entre 2008 (20,4%) et 2018 (16,1%).