Le rachat de trimestres passés à l'étranger permet :
. Soit de liquider sa retraite une ou plusieurs années plus tôt, et éventuellement de faire un cumul emploi retraite,
. Soit de supprimer les abattements liés aux trimestres manquants.
Une année rachetée peut vous rapporter jusqu'à 100.000 euros.
De plus, les sommes versées à la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse dans ce cadre sont déductibles du revenu imposable.
Le coût des rachats va quadrupler au 1er janvier 2011.
Aujourd'hui, il est possible de racheter une année pour environ 6.000 euros. En 2011, il en coûtera jusqu'à 25.000 euros l'année, voire plus (NB : la loi de finance 2010 aligne en effet le coût de rachat des périodes à l'étranger sur le rachat des années d'études à compter du 1er janvier 2011).
- Que faut-il faire ?
Pour bénéficier des dernières semaines de rachat à un prix intéressant, il faut obtenir ses relevés de carrière et de trimestres, retrouver les justificatifs de ces périodes d'activité, évaluer la rentabilité de l'opération, faire les démarches de constitution du dossier auprès des organismes compétents, évaluer la rentabilité des différentes options proposées, définir les options de rachat optimales, gérer avec la CNAV la possibilité d'adapter la proposition qu'elle fait et enfin vérifier le report des trimestres sur le compte. Seul un spécialiste maitrisant la totalité de la procédure sera en mesure de traiter le dossier dans un délai aussi court.
En bref :
Constat 1 : Le nombre de trimestres validés impacte de manière très importante le montant final de votre retraite.
Constat 2 : Acheter des trimestres au titre des périodes passées à l'étranger peut augmenter fortement votre retraite.
Constat 3 : Le prix de ce rachat va être multiplié par 2, 3...10 ou 15 après le 31 décembre 2010.
Et Emmanuel Grimaud de remarquer : « Ce changement est très injuste. On ne peut pas considérer que racheter une année à l'étranger est l'équivalent d'une année d'étude. Un salarié français cotise à hauteur de 6.000 euros par an à la CNAV. Un salarié expatrié par un grand groupe cotise à hauteur de 6.000 euros par an à la Caisse des Français de l'étranger (CFE). Il est donc normal, juste et équitable qu'un salarié qui n'a pas eu la chance d'être encadré et bien informé puisse racheter une année à un tarif sensiblement égal et non à 25.000 euros comme le prévoit l'amendement voté par le Parlement. Lui demander de payer un prix quatre fois plus élevé crée une différence de traitement entre les salariés français, ceux envoyés par le grands groupes et ceux qui n'ont pas eu cette chance. La réforme 2010 change la donne puisqu'elle crée la possibilité pour le futur expatrié d'être informé. Implicitement, elle reconnait que jusqu'à ce jour, il y avait un manque d'information. Cette augmentation du tarif ne devrait donc s'appliquer que pour les personnes expatriées à partir de 2011 qui décident délibérément de ne pas cotiser à la CFE. »
Créée en 2003 par Emmanuel Grimaud, la société Maximis retraite, propose à ses clients d'optimiser leur fin de carrière, d'apprendre à maîtriser les pièges et astuces de la législation et d'augmenter leur retraite future sans effort d'épargne.
. Soit de liquider sa retraite une ou plusieurs années plus tôt, et éventuellement de faire un cumul emploi retraite,
. Soit de supprimer les abattements liés aux trimestres manquants.
Une année rachetée peut vous rapporter jusqu'à 100.000 euros.
De plus, les sommes versées à la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse dans ce cadre sont déductibles du revenu imposable.
Le coût des rachats va quadrupler au 1er janvier 2011.
Aujourd'hui, il est possible de racheter une année pour environ 6.000 euros. En 2011, il en coûtera jusqu'à 25.000 euros l'année, voire plus (NB : la loi de finance 2010 aligne en effet le coût de rachat des périodes à l'étranger sur le rachat des années d'études à compter du 1er janvier 2011).
- Que faut-il faire ?
Pour bénéficier des dernières semaines de rachat à un prix intéressant, il faut obtenir ses relevés de carrière et de trimestres, retrouver les justificatifs de ces périodes d'activité, évaluer la rentabilité de l'opération, faire les démarches de constitution du dossier auprès des organismes compétents, évaluer la rentabilité des différentes options proposées, définir les options de rachat optimales, gérer avec la CNAV la possibilité d'adapter la proposition qu'elle fait et enfin vérifier le report des trimestres sur le compte. Seul un spécialiste maitrisant la totalité de la procédure sera en mesure de traiter le dossier dans un délai aussi court.
En bref :
Constat 1 : Le nombre de trimestres validés impacte de manière très importante le montant final de votre retraite.
Constat 2 : Acheter des trimestres au titre des périodes passées à l'étranger peut augmenter fortement votre retraite.
Constat 3 : Le prix de ce rachat va être multiplié par 2, 3...10 ou 15 après le 31 décembre 2010.
Et Emmanuel Grimaud de remarquer : « Ce changement est très injuste. On ne peut pas considérer que racheter une année à l'étranger est l'équivalent d'une année d'étude. Un salarié français cotise à hauteur de 6.000 euros par an à la CNAV. Un salarié expatrié par un grand groupe cotise à hauteur de 6.000 euros par an à la Caisse des Français de l'étranger (CFE). Il est donc normal, juste et équitable qu'un salarié qui n'a pas eu la chance d'être encadré et bien informé puisse racheter une année à un tarif sensiblement égal et non à 25.000 euros comme le prévoit l'amendement voté par le Parlement. Lui demander de payer un prix quatre fois plus élevé crée une différence de traitement entre les salariés français, ceux envoyés par le grands groupes et ceux qui n'ont pas eu cette chance. La réforme 2010 change la donne puisqu'elle crée la possibilité pour le futur expatrié d'être informé. Implicitement, elle reconnait que jusqu'à ce jour, il y avait un manque d'information. Cette augmentation du tarif ne devrait donc s'appliquer que pour les personnes expatriées à partir de 2011 qui décident délibérément de ne pas cotiser à la CFE. »
Créée en 2003 par Emmanuel Grimaud, la société Maximis retraite, propose à ses clients d'optimiser leur fin de carrière, d'apprendre à maîtriser les pièges et astuces de la législation et d'augmenter leur retraite future sans effort d'épargne.