On s’en doute déjà depuis un bon moment… La pollution atmosphérique, ce n’est pas bon pour la santé ! Et notamment pour celle des seniors. Une nouvelle étude canadienne vient enfoncer le clou.
En effet, selon l’Association médicale canadienne, la pollution atmosphérique sera responsable en 2008 de 20.000 décès. Et parmi eux, 80% concerneront les plus de 65 ans… Les provinces les plus touchées seront le Québec et l’Ontario.
Cette enquête vient malheureusement confirmer ce qu’indiquent d’ores et déjà depuis quelques années de nombreuses études internationales. En France par exemple, l’Institut national de veille sanitaire (INVS) a publié en juin dernier un rapport réalisé dans neuf villes montrant que la « pollution par les particules dans l'air augmente le risque de mortalité en France ».
« Sur l'ensemble des neuf villes, le nombre journalier de décès est significativement associé aux niveaux de polluants gazeux ou particulaires le jour et la veille » a constaté l'INVS. L'excès de risque de décès est de 2,2% pour une augmentation de 10µg/m3 des niveaux de PM 2,5 et de PM 2,5-10**, ainsi que de 0,9% pour l'ozone. « Il est plus marqué chez les personnes de plus de 65 ans et pour la mortalité cardiovasculaire et cardiaque » précisait encore le communiqué de l'institut.
Et l’INVS de conclure « que pour les niveaux de pollution atmosphérique couramment rencontrés en milieu urbain, la qualité de l'air présente une menace pour la santé des populations ».
En effet, selon l’Association médicale canadienne, la pollution atmosphérique sera responsable en 2008 de 20.000 décès. Et parmi eux, 80% concerneront les plus de 65 ans… Les provinces les plus touchées seront le Québec et l’Ontario.
Cette enquête vient malheureusement confirmer ce qu’indiquent d’ores et déjà depuis quelques années de nombreuses études internationales. En France par exemple, l’Institut national de veille sanitaire (INVS) a publié en juin dernier un rapport réalisé dans neuf villes montrant que la « pollution par les particules dans l'air augmente le risque de mortalité en France ».
« Sur l'ensemble des neuf villes, le nombre journalier de décès est significativement associé aux niveaux de polluants gazeux ou particulaires le jour et la veille » a constaté l'INVS. L'excès de risque de décès est de 2,2% pour une augmentation de 10µg/m3 des niveaux de PM 2,5 et de PM 2,5-10**, ainsi que de 0,9% pour l'ozone. « Il est plus marqué chez les personnes de plus de 65 ans et pour la mortalité cardiovasculaire et cardiaque » précisait encore le communiqué de l'institut.
Et l’INVS de conclure « que pour les niveaux de pollution atmosphérique couramment rencontrés en milieu urbain, la qualité de l'air présente une menace pour la santé des populations ».