Le 21 octobre, à l’occasion de la Semaine bleue, les jeunes véliziens vont initier leurs aînés à la console de jeu Wii de Nintendo. Par la suite, précise la mairie dans son communiqué, « des consoles seront installées dans tous les clubs seniors de la ville... »
Du golf au stretching en passant par le yoga, la musculation ou le bowling, simple et ludique, la Wii devrait permettre à ces nouveaux joueurs de faire du sport, de pratiquer une activité physique devant leur téléviseur sans qu’ils aient à se déplacer dans un gymnase ou sur un stade. Donc, terminée l’excuse « météo » du style… « il va pleuvoir aujourd’hui, je ne peux pas sortir ».
Grâce à ce concept qui permet de s’amuser tout en bougeant, les seniors vont pouvoir travailler, sans trop de difficultés la coordination des mouvements. Ils pourront choisir l’entraînement qui leur convient en fonction de leurs capacités et de leurs objectifs (perte de poids, renforcement musculaire, souplesse...) et suivre leurs progrès grâce aux conseils personnalisés d’un coach virtuel.
Qui a dit que les jeux vidéo ne rendaient pas intelligent ? Un programme d’entraînement cérébral leur sera également proposé. En solo, duo ou par équipes, avec des exercices dans les domaines de la mémoire, de l’analyse ou encore des mathématiques, ils pourront stimuler leur esprit et comparer leur Q.I. à celui de leurs amis…
Du golf au stretching en passant par le yoga, la musculation ou le bowling, simple et ludique, la Wii devrait permettre à ces nouveaux joueurs de faire du sport, de pratiquer une activité physique devant leur téléviseur sans qu’ils aient à se déplacer dans un gymnase ou sur un stade. Donc, terminée l’excuse « météo » du style… « il va pleuvoir aujourd’hui, je ne peux pas sortir ».
Grâce à ce concept qui permet de s’amuser tout en bougeant, les seniors vont pouvoir travailler, sans trop de difficultés la coordination des mouvements. Ils pourront choisir l’entraînement qui leur convient en fonction de leurs capacités et de leurs objectifs (perte de poids, renforcement musculaire, souplesse...) et suivre leurs progrès grâce aux conseils personnalisés d’un coach virtuel.
Qui a dit que les jeux vidéo ne rendaient pas intelligent ? Un programme d’entraînement cérébral leur sera également proposé. En solo, duo ou par équipes, avec des exercices dans les domaines de la mémoire, de l’analyse ou encore des mathématiques, ils pourront stimuler leur esprit et comparer leur Q.I. à celui de leurs amis…
Bouger, pour se sentir mieux !
Les recommandations officielles préconisent de pratiquer une activité physique ou sportive de 30 minutes par jour pour un adulte pour permettre un réel bénéfice sur la santé. Ceci équivaut à faire 10.000 pas tous les jours soit 3 Km.
La pratique régulière d’une activité physique ou sportive agit également sur la survenue des principaux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires :
• Chez les personnes pré-diabétiques : l’activité physique ou sportive réduit de 58 % l’apparition d’un diabète à 3 ans ;
• Chez les personnes en surpoids : l’exercice physique, accompagné d’un suivi diététique, entraîne une perte de poids allant jusqu’à 8Kg et prévient les complications cardiovasculaires ;
• Le mauvais cholestérol baisse de 10 % et le bon cholestérol augmente de 5 %.
L’activité physique ou sportive : des bénéfices sur la santé à tous les âges de la vie
Pour les seniors : l’activité physique ou sportive a des effets bénéfiques sur les facteurs de risques tels que la surcharge pondérale, l’hypertension artérielle, l’état pré-diabétique, les troubles cognitifs, sur la santé globale et la qualité de vie.
La pratique sportive régulière permet de restaurer une partie des capacités fonctionnelles mobilisables à l’exercice et de retarder certains processus délétères liés au vieillissement, et ainsi améliorer l’autonomie et la qualité de vie au cours de l’avancée de l’âge. Même chez le sujet âgé fragile, l’activité physique présente un intérêt sur le plan de la mobilité, de l’équilibre, de la souplesse, de la force musculaire et de la prévention des chutes.
En prévention secondaire, la pratique d’une activité physique permet d’éviter la récidive et les complications
• Intégrer l’activité physique à la prise en charge de la maladie chronique (obésité, maladies cardiovasculaires) apporte un réel bénéfice thérapeutique. Elle contribue à la prévention des comorbidités (telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires, les cancers). L’activité physique apporte des bénéfices physiques, physiologiques, psychologiques et sociaux. Elle améliore l’appétit, la fatigue, le sommeil, l’anxiété, la dépression, l’image du corps, la sociabilité et facilite la réhabilitation professionnelle.
• Après la survenue d’un accident cardiaque, la pratique d’une activité physique ou sportive contribue à la prévention des récidives. Elle fait reculer la mortalité et diminue les facteurs de risque :
• Elle diminue la mortalité de 20 à 25 % chez les cardiaques entre 50 et 60 ans et permet de gagner un à trois ans de vie supplémentaires.
• 25 % des fumeurs après un infarctus arrivent à arrêter définitivement de fumer grâce et uniquement à la pratique d’une activité physique ou sportive. Après un infarctus, un patient sur cinq aura un risque de récidive s’il ne pratique pas une activité physique régulière. À cause du manque de structures adaptées, aujourd’hui seuls 20 à 25 % des cardiaques bénéficient d’une rééducation adaptée après leur accident leur permettant de limiter le risque de récidive et de prolonger leur vie.
La pratique régulière d’une activité physique ou sportive agit également sur la survenue des principaux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires :
• Chez les personnes pré-diabétiques : l’activité physique ou sportive réduit de 58 % l’apparition d’un diabète à 3 ans ;
• Chez les personnes en surpoids : l’exercice physique, accompagné d’un suivi diététique, entraîne une perte de poids allant jusqu’à 8Kg et prévient les complications cardiovasculaires ;
• Le mauvais cholestérol baisse de 10 % et le bon cholestérol augmente de 5 %.
L’activité physique ou sportive : des bénéfices sur la santé à tous les âges de la vie
Pour les seniors : l’activité physique ou sportive a des effets bénéfiques sur les facteurs de risques tels que la surcharge pondérale, l’hypertension artérielle, l’état pré-diabétique, les troubles cognitifs, sur la santé globale et la qualité de vie.
La pratique sportive régulière permet de restaurer une partie des capacités fonctionnelles mobilisables à l’exercice et de retarder certains processus délétères liés au vieillissement, et ainsi améliorer l’autonomie et la qualité de vie au cours de l’avancée de l’âge. Même chez le sujet âgé fragile, l’activité physique présente un intérêt sur le plan de la mobilité, de l’équilibre, de la souplesse, de la force musculaire et de la prévention des chutes.
En prévention secondaire, la pratique d’une activité physique permet d’éviter la récidive et les complications
• Intégrer l’activité physique à la prise en charge de la maladie chronique (obésité, maladies cardiovasculaires) apporte un réel bénéfice thérapeutique. Elle contribue à la prévention des comorbidités (telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires, les cancers). L’activité physique apporte des bénéfices physiques, physiologiques, psychologiques et sociaux. Elle améliore l’appétit, la fatigue, le sommeil, l’anxiété, la dépression, l’image du corps, la sociabilité et facilite la réhabilitation professionnelle.
• Après la survenue d’un accident cardiaque, la pratique d’une activité physique ou sportive contribue à la prévention des récidives. Elle fait reculer la mortalité et diminue les facteurs de risque :
• Elle diminue la mortalité de 20 à 25 % chez les cardiaques entre 50 et 60 ans et permet de gagner un à trois ans de vie supplémentaires.
• 25 % des fumeurs après un infarctus arrivent à arrêter définitivement de fumer grâce et uniquement à la pratique d’une activité physique ou sportive. Après un infarctus, un patient sur cinq aura un risque de récidive s’il ne pratique pas une activité physique régulière. À cause du manque de structures adaptées, aujourd’hui seuls 20 à 25 % des cardiaques bénéficient d’une rééducation adaptée après leur accident leur permettant de limiter le risque de récidive et de prolonger leur vie.