« Des finitions soignées pour des vêtements raffinés qui ont une vraie histoire et une âme…celles de nos mamies ! » assurent les concepteurs de cette marque.
Comment ça marche ? Tout d’abord, les patrons et les explications techniques des modèles dessinés par les stylistes sont envoyés aux mamies avec la laine nécessaire pour les réaliser.
Ensuite, chaque mamie réalise différents modèles (gilets, plus, shorts, bonnets, manteaux, etc.) en différentes couleurs pour éviter la monotonie. Enfin, ces dernières contactent la marque en cas de doutes ou questions ou même simplement pour tenir les responsables au courant de l’avancée de leur ouvrage.
Comment ça marche ? Tout d’abord, les patrons et les explications techniques des modèles dessinés par les stylistes sont envoyés aux mamies avec la laine nécessaire pour les réaliser.
Ensuite, chaque mamie réalise différents modèles (gilets, plus, shorts, bonnets, manteaux, etc.) en différentes couleurs pour éviter la monotonie. Enfin, ces dernières contactent la marque en cas de doutes ou questions ou même simplement pour tenir les responsables au courant de l’avancée de leur ouvrage.
Grâce à cette activité, ces grands-mères peuvent d’une part se sentir utiles et d’autre part, améliorer leur quotidien avec une source de revenu supplémentaire (elles peuvent gagner entre 200 et 500 euros).
C'est « en observant le nombre croissant de seniors (18% de la population française, selon l'Insee), l'attrait des consommateurs pour les produits faits main et la mode enfant » que Stéphanie Leone, 36 ans, a lancé sa société il y a un peu plus d'un an.
Et de préciser : « je voulais créer une marque qui soit un lien entre plusieurs univers, la mode, le savoir-faire traditionnel et la modernité (…). Beaucoup de femmes à la retraite ont envie de participer à un projet, de se rendre utiles. Les rapports sont simples, elles n'ont rien à prouver et ce concept fait du bien car il change les rapports habituels du monde du travail complexifiés à outrance ».
Rappelons que ce concept est loin d’être nouveau. Depuis plus de cinq ans, des grands-mères danoises réalisent des pulls en laine pour les enfants et des mamies suisses tricotent des chaussettes sur-mesure. Mais peu importe, ce qu’il faut, c’est que ce type d’expérience de « commerce éthique et intergénérationnel » fonctionne.
Site Internet Mamy Factory
C'est « en observant le nombre croissant de seniors (18% de la population française, selon l'Insee), l'attrait des consommateurs pour les produits faits main et la mode enfant » que Stéphanie Leone, 36 ans, a lancé sa société il y a un peu plus d'un an.
Et de préciser : « je voulais créer une marque qui soit un lien entre plusieurs univers, la mode, le savoir-faire traditionnel et la modernité (…). Beaucoup de femmes à la retraite ont envie de participer à un projet, de se rendre utiles. Les rapports sont simples, elles n'ont rien à prouver et ce concept fait du bien car il change les rapports habituels du monde du travail complexifiés à outrance ».
Rappelons que ce concept est loin d’être nouveau. Depuis plus de cinq ans, des grands-mères danoises réalisent des pulls en laine pour les enfants et des mamies suisses tricotent des chaussettes sur-mesure. Mais peu importe, ce qu’il faut, c’est que ce type d’expérience de « commerce éthique et intergénérationnel » fonctionne.
Site Internet Mamy Factory