Qu’on se le dise : il n’est pas logique de manger moins en vieillissant, de même qu’il n’est pas normal non plus de perdre du poids en prenant de l’âge…
Avec les années, au contraire, nos besoins énergétiques auraient même tendance à augmenter, c'est en effet une période de notre vie où l'on est plus exposé et plus vite fragilisé.
Dans ce contexte, une nouvelle étude canadienne, financée par les Instituts de recherche en santé du Canada et lancée en 2003, s’est intéressée à « la nutrition comme déterminant d’un vieillissement réussi ». Pendant cinq ans, les scientifiques se sont penchés sur une cohorte de 900 hommes et 900 femmes en bonne santé nés entre 1921 et 1935. Ils ont été suivis annuellement par le biais d’une série de mesures, biologiques nutritionnelles, fonctionnelles, médicales, et sociales.
Et conclusions des chercheurs… Les seniors chez qui on a constaté un léger embonpoint (indice de masse corporelle entre 25 et 27) tombaient moins souvent malades et vivaient plus longtemps que ceux qui avaient un « poids santé » a souligné le Dr Hélène Payette lors de la présentation des résultats préliminaires de cette grande étude. Et d’ajouter : « On ignore pourquoi exactement. La relation entre la nutrition et le vieillissement des personnes âgées reste méconnue. Elle n'est pas la même que celle pour les enfants ou les adultes. Dans ce domaine, il existe plus de questions que de réponses. »
Attention cependant, ces résultats ne signifient pas pour autant que l’on peut s’empiffrer une fois à la retraite ! En effet, les scientifiques estiment également que les problèmes de surpoids et d’obésité au-delà de la quarantaine peuvent entraîner un risque accru d'attaques cérébrales, de diabète ou d'accidents cardiaques.
Comme toujours, il s’agit donc de trouver un juste équilibre…
Pour aller plus loin, lire aussi :
Bedaine à la quarantaine : risque de démence multiplié par trois trente ans plus tard…
Avec les années, au contraire, nos besoins énergétiques auraient même tendance à augmenter, c'est en effet une période de notre vie où l'on est plus exposé et plus vite fragilisé.
Dans ce contexte, une nouvelle étude canadienne, financée par les Instituts de recherche en santé du Canada et lancée en 2003, s’est intéressée à « la nutrition comme déterminant d’un vieillissement réussi ». Pendant cinq ans, les scientifiques se sont penchés sur une cohorte de 900 hommes et 900 femmes en bonne santé nés entre 1921 et 1935. Ils ont été suivis annuellement par le biais d’une série de mesures, biologiques nutritionnelles, fonctionnelles, médicales, et sociales.
Et conclusions des chercheurs… Les seniors chez qui on a constaté un léger embonpoint (indice de masse corporelle entre 25 et 27) tombaient moins souvent malades et vivaient plus longtemps que ceux qui avaient un « poids santé » a souligné le Dr Hélène Payette lors de la présentation des résultats préliminaires de cette grande étude. Et d’ajouter : « On ignore pourquoi exactement. La relation entre la nutrition et le vieillissement des personnes âgées reste méconnue. Elle n'est pas la même que celle pour les enfants ou les adultes. Dans ce domaine, il existe plus de questions que de réponses. »
Attention cependant, ces résultats ne signifient pas pour autant que l’on peut s’empiffrer une fois à la retraite ! En effet, les scientifiques estiment également que les problèmes de surpoids et d’obésité au-delà de la quarantaine peuvent entraîner un risque accru d'attaques cérébrales, de diabète ou d'accidents cardiaques.
Comme toujours, il s’agit donc de trouver un juste équilibre…
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