Globalement, souligne l’Insee, la France fait beaucoup de bébés, enregistrent moins de mariages (mais aussi moins de divorces) et continue à vieillir…
Au 1er janvier 2007, la population française était estimée à 63,39 millions de personnes (métropole et DOM), soit une hausse de 0.6% en un an. L’Hexagone se positionne au deuxième rang des pays européens les plus peuplés, derrière l'Allemagne (82,3 millions d'habitants en 2006) et devant le Royaume-Uni (60,9) et l'Italie (59,1). La population de la France (métropole et DOM) représente ainsi 13,6 % de la population de l'Union européenne.
Il faut dire que les Françaises font des enfants. En effet, « l'indicateur conjoncturel de fécondité a atteint 2,0 enfants par femme en 2006, niveau le plus haut depuis trente ans » précise l’Insee. En 2006, 830.000 naissances ont ainsi été comptabilisées (France métropolitaine et DOM), soit une hausse de 2,8 % en un an. « Le nombre de femmes de 20 à 40 ans, à l'origine de 95 % des naissances, continue de diminuer mais les femmes ont plus d'enfants qu'auparavant » souligne encore l’institut. De fait, la France est, avec l'Irlande, le pays le plus fécond de l'Union européenne.
Cependant, note encore l’Insee, le vieillissement de la population de l’Hexagone se poursuit. Au 1er janvier 2007, 10,3 millions de personnes étaient âgées de 65 ans ou plus, soit 16,2 % de la population, alors qu’elles représentaient moins de 15% de l'ensemble en 1994. À l'inverse, 15,8 millions d'habitants ont moins de 20 ans, soit 25% de la population. Malgré six années consécutives de naissances nombreuses, la part des plus jeunes continue de diminuer.
En ce qui concerne l’espérance de vie, elle poursuit sa progression constante en franchissant en 2006 le seuil des 77 ans pour les hommes (77,2 ans) et atteignant 84,1 ans pour les femmes. En un an, précise l’Insee, les femmes ont gagné presque quatre mois et demi et les hommes un peu plus de cinq mois. L'écart entre eux continue donc de se réduire : il est de 6,9 ans en 2006, soit juste un an de moins qu'il y a dix ans.
En 2006, la France est, avec l'Espagne, en tête des pays de l'Union européenne pour l'espérance de vie féminine : seules les Espagnoles et les Françaises peuvent espérer vivre en moyenne plus de 84 ans. La situation des hommes est un peu moins favorable puisque leur espérance de vie à la naissance se situe à peu près au niveau de la moyenne de l'ancienne Europe des quinze. En 2006, les Suédois avaient la plus grande longévité (78,8 ans), devant les Italiens et les Néerlandais. L'espérance de vie des Français se situe au niveau de celle des Allemands, des Irlandais, des Grecs ou des Autrichiens.
Au 1er janvier 2007, la population française était estimée à 63,39 millions de personnes (métropole et DOM), soit une hausse de 0.6% en un an. L’Hexagone se positionne au deuxième rang des pays européens les plus peuplés, derrière l'Allemagne (82,3 millions d'habitants en 2006) et devant le Royaume-Uni (60,9) et l'Italie (59,1). La population de la France (métropole et DOM) représente ainsi 13,6 % de la population de l'Union européenne.
Il faut dire que les Françaises font des enfants. En effet, « l'indicateur conjoncturel de fécondité a atteint 2,0 enfants par femme en 2006, niveau le plus haut depuis trente ans » précise l’Insee. En 2006, 830.000 naissances ont ainsi été comptabilisées (France métropolitaine et DOM), soit une hausse de 2,8 % en un an. « Le nombre de femmes de 20 à 40 ans, à l'origine de 95 % des naissances, continue de diminuer mais les femmes ont plus d'enfants qu'auparavant » souligne encore l’institut. De fait, la France est, avec l'Irlande, le pays le plus fécond de l'Union européenne.
Cependant, note encore l’Insee, le vieillissement de la population de l’Hexagone se poursuit. Au 1er janvier 2007, 10,3 millions de personnes étaient âgées de 65 ans ou plus, soit 16,2 % de la population, alors qu’elles représentaient moins de 15% de l'ensemble en 1994. À l'inverse, 15,8 millions d'habitants ont moins de 20 ans, soit 25% de la population. Malgré six années consécutives de naissances nombreuses, la part des plus jeunes continue de diminuer.
En ce qui concerne l’espérance de vie, elle poursuit sa progression constante en franchissant en 2006 le seuil des 77 ans pour les hommes (77,2 ans) et atteignant 84,1 ans pour les femmes. En un an, précise l’Insee, les femmes ont gagné presque quatre mois et demi et les hommes un peu plus de cinq mois. L'écart entre eux continue donc de se réduire : il est de 6,9 ans en 2006, soit juste un an de moins qu'il y a dix ans.
En 2006, la France est, avec l'Espagne, en tête des pays de l'Union européenne pour l'espérance de vie féminine : seules les Espagnoles et les Françaises peuvent espérer vivre en moyenne plus de 84 ans. La situation des hommes est un peu moins favorable puisque leur espérance de vie à la naissance se situe à peu près au niveau de la moyenne de l'ancienne Europe des quinze. En 2006, les Suédois avaient la plus grande longévité (78,8 ans), devant les Italiens et les Néerlandais. L'espérance de vie des Français se situe au niveau de celle des Allemands, des Irlandais, des Grecs ou des Autrichiens.