« Senior, ça veut dire qu’on arrive à la fin de sa vie professionnelle. Alors que pas du tout ! Moi, à plus de 50 ans, je grimpe aux arbres. Je développe mon entreprise. Je vais créer de l’emploi ! Je ne suis pas un senior ! ».
De fait, à 54 ans, Foued n’a jamais été aussi actif. Pourtant, rien ne prédestinait cet ancien responsable en sécurité, hygiène et environnement à devenir jardinier. Après avoir exercé son métier pendant plus de quinze ans chez un équipementier automobile, Foued ressent de la lassitude.
Les déplacements, les responsabilités, les contraintes, les objectifs et le timing imposés par la hiérarchie... Pour retrouver de la liberté dans l’organisation de son travail, il décide de tenter une première expérience entrepreneuriale en lançant un cabinet de conseil en hygiène et sécurité en France, puis en Algérie, d’où il est originaire, mais le projet ne fonctionne pas comme il le désire.
Pour rebondir, il cherche un autre domaine pour continuer à travailler à son compte. Son choix se porte sur les services à la personne, avec une préférence pour la franchise. C’est alors qu’il découvre la micro-franchise Adie – O2 de petit jardinage.
Il est immédiatement emballé par le projet. Depuis toujours, le jardinage était sa façon de se détendre, lorsqu’il sortait du travail. Il tente d’obtenir en vain un prêt auprès des banques, sceptiques face à cette reconversion aussi tardive que radicale. Il se tourne alors vers l’Adie qui lui finance les droits d’entrée dans la franchise et le matériel pour se lancer.
Depuis trois ans, Foued travaille 6 jours par semaine et se repose l’hiver. Et il adore sa nouvelle vie ! Sociable et jovial, Foued apprécie beaucoup la convivialité de ses relations avec ses clients et devient, pour certains, presque un membre de la famille.
Face à la hausse de la demande, portée par le bouche à oreilles des clients satisfaits, Foued, qui avoue ne pas savoir dire non, envisage de se développer, en faisant l’acquisition d’un véhicule supplémentaire, afin de pouvoir embaucher un jardinier pour l’aider.
De fait, à 54 ans, Foued n’a jamais été aussi actif. Pourtant, rien ne prédestinait cet ancien responsable en sécurité, hygiène et environnement à devenir jardinier. Après avoir exercé son métier pendant plus de quinze ans chez un équipementier automobile, Foued ressent de la lassitude.
Les déplacements, les responsabilités, les contraintes, les objectifs et le timing imposés par la hiérarchie... Pour retrouver de la liberté dans l’organisation de son travail, il décide de tenter une première expérience entrepreneuriale en lançant un cabinet de conseil en hygiène et sécurité en France, puis en Algérie, d’où il est originaire, mais le projet ne fonctionne pas comme il le désire.
Pour rebondir, il cherche un autre domaine pour continuer à travailler à son compte. Son choix se porte sur les services à la personne, avec une préférence pour la franchise. C’est alors qu’il découvre la micro-franchise Adie – O2 de petit jardinage.
Il est immédiatement emballé par le projet. Depuis toujours, le jardinage était sa façon de se détendre, lorsqu’il sortait du travail. Il tente d’obtenir en vain un prêt auprès des banques, sceptiques face à cette reconversion aussi tardive que radicale. Il se tourne alors vers l’Adie qui lui finance les droits d’entrée dans la franchise et le matériel pour se lancer.
Depuis trois ans, Foued travaille 6 jours par semaine et se repose l’hiver. Et il adore sa nouvelle vie ! Sociable et jovial, Foued apprécie beaucoup la convivialité de ses relations avec ses clients et devient, pour certains, presque un membre de la famille.
Face à la hausse de la demande, portée par le bouche à oreilles des clients satisfaits, Foued, qui avoue ne pas savoir dire non, envisage de se développer, en faisant l’acquisition d’un véhicule supplémentaire, afin de pouvoir embaucher un jardinier pour l’aider.