En théorie, une connaissance imparfaite des principes d’une bonne hygiène bucco-dentaire
Avoir des dents et des gencives saines : base de la bonne santé bucco-dentaire
En première citation, pour près d’une personne sur deux, avoir des dents et des gencives saines est le principal facteur perçu d’une bonne santé bucco-dentaire.
Seulement une personne sur quatre y associe une bonne hygiène de la bouche ou des dents bien soignées et une minorité (4% des interviewés) évoque le fait d’avoir une bonne haleine alors que cette dernière est essentielle à la bonne santé bucco-dentaire.
Un fort impact de la santé bucco-dentaire
Une grande majorité des 40 ans et plus (99%) a conscience qu’une bonne santé bucco-dentaire à travers des dents et des gencives saines a un impact direct sur la mastication, la déglutition et donc la digestion. Par ailleurs, plus de huit personnes sur dix (86%) font le lien entre santé bucco-dentaire, état de santé général et vie sociale.
L’enfance et la vieillesse : périodes de vigilance accrue
Certaines périodes de la vie nécessitent une attention plus particulière à la santé bucco-dentaire : c’est le cas non seulement du jeune enfant (64% de citations) mais également de la femme enceinte (52%). Les personnes âgées sont également mentionnées par une personne sur deux, notamment en raison des risques liés en premier lieu à des dents et des gencives en moins bon état : déchaussement, perte de dents… (pour les trois-quarts des interviewés), à un éventuel manque d’argent (pour 57%) ou encore à une baisse de motivation à prendre soin de soi, et une perte de goût et d’appétit (pour environ une personne sur deux questionnée).
A souligner : la puberté est peu citée par les interviewés (31% de citations seulement) alors que le risque de caries est accru en raison d’une alimentation plus nomade, de la consommation de boissons sucrées et du tabac. Les fumeurs ne sont mentionnés que par moins d’une personne sur deux, ce qui peut s’expliquer en partie par l’échantillon interrogé (constitué de fumeurs et de non fumeurs).
En pratique, un comportement qui mérite d’être amélioré
Un tiers des personnes âgées de 40 ans et plus n’a pas consulté de chirurgien-dentiste au cours des douze derniers mois. Et d’ailleurs quatre personnes sur dix ne déclarent pas avoir une bonne ou une très bonne santé de leurs dents et de leurs gencives.
L’auto-examen de la bouche, un geste de prévention peu connu qui pourrait s’avérer utile
Quand on parle d’auto-examen de la bouche, celui-ci évoque pour 46% des personnes interviewées les mots : « examiner, contrôler, regarder soi-même sa bouche ». Parmi les verbatim recueillis, on note : « examen que l’on fait soi-même à l’aide d’un miroir » « regarder dans la glace l’état de sa dentition »… 37% (et davantage les femmes : 37% vs 29% pour les hommes) supposent qu’il s’agit d’une vérification personnelle de la cavité buccale. Pour 27% des interviewés il s’agit d’un examen des dents, pour 16% des gencives, pour 7% des caries, pour 3% du tartre, et pour 2% de la langue. Des manifestations importantes telles que les saignements ou les déchaussements ne recueillent qu’1% des citations !
Pour 70%, cet examen devrait être pratiqué par les parents pour leurs enfants et pour 61% par les personnes âgées. On note néanmoins que les autres cibles proposées (adolescent, fumeur, femme enceinte et adulte) recueillent toutes à cette question des taux supérieurs à 50% montrant que une large partie de la population est potentiellement concernée et intéressée par cet auto-examen !
L’examen bucco-dentaire au moment du départ à la retraite plébiscité
L’Association Dentaire Française, dans le but d’identifier les problèmes présents, d’anticiper et de prévenir les pathologies bucco-dentaires à venir et de lutter contre leurs conséquences, notamment la dénutrition, souhaite proposer un examen bucco-dentaire systématique au moment du départ à la retraite. Celui-ci devrait être remboursé intégralement par la sécurité sociale
Cette proposition testée auprès des interviewés fait l’objet d’un réel plébiscite. En effet, 94% des personnes interrogées jugent cette proposition tout à fait ou plutôt intéressante. Les plus convaincus sont : les femmes (56% vs 44% pour les hommes) ; les individus âgés de 45 à 64 ans ; les personnes convaincues de l’impact de la santé bucco-dentaire sur la santé en général ; et enfin, celles attentives à la santé des personnes âgées. La même proportion (94%) aurait certainement ou probablement l’intention de participer à cet examen..
*1000 personnes de 40 ans et plus ont été interrogées du 21 au 27 octobre 2011
Avoir des dents et des gencives saines : base de la bonne santé bucco-dentaire
En première citation, pour près d’une personne sur deux, avoir des dents et des gencives saines est le principal facteur perçu d’une bonne santé bucco-dentaire.
Seulement une personne sur quatre y associe une bonne hygiène de la bouche ou des dents bien soignées et une minorité (4% des interviewés) évoque le fait d’avoir une bonne haleine alors que cette dernière est essentielle à la bonne santé bucco-dentaire.
Un fort impact de la santé bucco-dentaire
Une grande majorité des 40 ans et plus (99%) a conscience qu’une bonne santé bucco-dentaire à travers des dents et des gencives saines a un impact direct sur la mastication, la déglutition et donc la digestion. Par ailleurs, plus de huit personnes sur dix (86%) font le lien entre santé bucco-dentaire, état de santé général et vie sociale.
L’enfance et la vieillesse : périodes de vigilance accrue
Certaines périodes de la vie nécessitent une attention plus particulière à la santé bucco-dentaire : c’est le cas non seulement du jeune enfant (64% de citations) mais également de la femme enceinte (52%). Les personnes âgées sont également mentionnées par une personne sur deux, notamment en raison des risques liés en premier lieu à des dents et des gencives en moins bon état : déchaussement, perte de dents… (pour les trois-quarts des interviewés), à un éventuel manque d’argent (pour 57%) ou encore à une baisse de motivation à prendre soin de soi, et une perte de goût et d’appétit (pour environ une personne sur deux questionnée).
A souligner : la puberté est peu citée par les interviewés (31% de citations seulement) alors que le risque de caries est accru en raison d’une alimentation plus nomade, de la consommation de boissons sucrées et du tabac. Les fumeurs ne sont mentionnés que par moins d’une personne sur deux, ce qui peut s’expliquer en partie par l’échantillon interrogé (constitué de fumeurs et de non fumeurs).
En pratique, un comportement qui mérite d’être amélioré
Un tiers des personnes âgées de 40 ans et plus n’a pas consulté de chirurgien-dentiste au cours des douze derniers mois. Et d’ailleurs quatre personnes sur dix ne déclarent pas avoir une bonne ou une très bonne santé de leurs dents et de leurs gencives.
L’auto-examen de la bouche, un geste de prévention peu connu qui pourrait s’avérer utile
Quand on parle d’auto-examen de la bouche, celui-ci évoque pour 46% des personnes interviewées les mots : « examiner, contrôler, regarder soi-même sa bouche ». Parmi les verbatim recueillis, on note : « examen que l’on fait soi-même à l’aide d’un miroir » « regarder dans la glace l’état de sa dentition »… 37% (et davantage les femmes : 37% vs 29% pour les hommes) supposent qu’il s’agit d’une vérification personnelle de la cavité buccale. Pour 27% des interviewés il s’agit d’un examen des dents, pour 16% des gencives, pour 7% des caries, pour 3% du tartre, et pour 2% de la langue. Des manifestations importantes telles que les saignements ou les déchaussements ne recueillent qu’1% des citations !
Pour 70%, cet examen devrait être pratiqué par les parents pour leurs enfants et pour 61% par les personnes âgées. On note néanmoins que les autres cibles proposées (adolescent, fumeur, femme enceinte et adulte) recueillent toutes à cette question des taux supérieurs à 50% montrant que une large partie de la population est potentiellement concernée et intéressée par cet auto-examen !
L’examen bucco-dentaire au moment du départ à la retraite plébiscité
L’Association Dentaire Française, dans le but d’identifier les problèmes présents, d’anticiper et de prévenir les pathologies bucco-dentaires à venir et de lutter contre leurs conséquences, notamment la dénutrition, souhaite proposer un examen bucco-dentaire systématique au moment du départ à la retraite. Celui-ci devrait être remboursé intégralement par la sécurité sociale
Cette proposition testée auprès des interviewés fait l’objet d’un réel plébiscite. En effet, 94% des personnes interrogées jugent cette proposition tout à fait ou plutôt intéressante. Les plus convaincus sont : les femmes (56% vs 44% pour les hommes) ; les individus âgés de 45 à 64 ans ; les personnes convaincues de l’impact de la santé bucco-dentaire sur la santé en général ; et enfin, celles attentives à la santé des personnes âgées. La même proportion (94%) aurait certainement ou probablement l’intention de participer à cet examen..
*1000 personnes de 40 ans et plus ont été interrogées du 21 au 27 octobre 2011