Avec sa soeur Renée (nage libre), Thérèse, spécialiste du dos crawlé, appartenait à une équipe de natation tricolore redoutée du camp allemand.
Championne du monde en titre, Thérèse Blondeau semblait favorite du 100 mètres dos. La perte de son père quelques semaines avant le début des Jeux de Berlin ne lui permit toutefois pas d'y arriver en pleine possession de ses capacités. Éliminée en série, Thérèse Blondeau avait établi le quatrième meilleur temps des éliminatoires
A l'ère du maillot de bain en laine, Thérèse avait remporté les titres nationaux du dos en 1933, 1934, 1935 et 1936. Championne du monde universitaire 1934, sur 50 mètres et 100 mètres et libre, et sur 100 mètres dos, Thérèse s'était également essayée aux « figures amusantes », ancêtre de la natation synchronisée, que son beau-père, Edouard-Bernard Cazalis, mit à l'honneur par la suite à travers des ballets aquatiques présentés à la piscine Pontoise qu'il dirigeait à Paris
Championne du monde en titre, Thérèse Blondeau semblait favorite du 100 mètres dos. La perte de son père quelques semaines avant le début des Jeux de Berlin ne lui permit toutefois pas d'y arriver en pleine possession de ses capacités. Éliminée en série, Thérèse Blondeau avait établi le quatrième meilleur temps des éliminatoires
A l'ère du maillot de bain en laine, Thérèse avait remporté les titres nationaux du dos en 1933, 1934, 1935 et 1936. Championne du monde universitaire 1934, sur 50 mètres et 100 mètres et libre, et sur 100 mètres dos, Thérèse s'était également essayée aux « figures amusantes », ancêtre de la natation synchronisée, que son beau-père, Edouard-Bernard Cazalis, mit à l'honneur par la suite à travers des ballets aquatiques présentés à la piscine Pontoise qu'il dirigeait à Paris