Italo Musil se trouve à la lisière du quatrième âge… Marié et grand-père, il partage sa vie entre Genève et la Haute-Savoie. L’homme a connu une longue et belle carrière puisqu’il a travaillé pour le ministère des Affaires étrangères italien, pour les Nations Unies, pour l’État de Genève et dans un cabinet privé en tant que sociologue clinicien.
Auteur de nombreux articles, recherches et essais, il vient de publier ce nouvel ouvrage qui cette fois-ci traite des seniors. En effet, au monde binaire « opposant » riches et pauvres, la pandémie de Covid-19 a ajouté une nouvelle distinction, sans égard pour la condition sociale cette fois-ci.
Et on le sait aujourd’hui, les plus « vieux » en ont payé le prix. Le prix fort puisqu’ils en furent les principales victimes.
De nos jours estime l’auteur, la société s’est divisée entre gens « utiles » et « inutiles » –ces derniers étant les « âgés ». En quelques années, la perception de la vieillesse a bien changé (surtout en Europe et aux Etats-Unis). Le lien intergénérationnel s’est distendu.
Va-t-on s’y habituer ou, au contraire, se décider à valoriser le trésor d’humanité et de compétences détenu par une frange de la vieillesse très douée, les gens de l’âge d’or, ces sexagénaires à peine retraités, que plusieurs enquêtes officielles ont identifiés comme les personnes les plus heureuses de l’âge mûr ?
Dans cet essai, nourri par des témoignages informels autant que par des documents officiels, Italo Musil s’interroge sur la place des seniors –ni jeunes ni trop vieux– dans une société en constante évolution et leur lance un défi, à eux mais aussi à la jeunesse et aux responsables politiques, pour rétablir une solidarité intergénérationnelle qui présente en l’état un déséquilibre impressionnant.
Les rentes de vieillesse dans les pays à très bas seuil de départ à la retraite coûtent deux fois plus que la santé ou l’enseignement, alors même qu’un pourcentage élevé de retraités vit dans la pauvreté et que quantité de jeunes n’ont pas accès aux études supérieures par manque de structures.
Auteur de nombreux articles, recherches et essais, il vient de publier ce nouvel ouvrage qui cette fois-ci traite des seniors. En effet, au monde binaire « opposant » riches et pauvres, la pandémie de Covid-19 a ajouté une nouvelle distinction, sans égard pour la condition sociale cette fois-ci.
Et on le sait aujourd’hui, les plus « vieux » en ont payé le prix. Le prix fort puisqu’ils en furent les principales victimes.
De nos jours estime l’auteur, la société s’est divisée entre gens « utiles » et « inutiles » –ces derniers étant les « âgés ». En quelques années, la perception de la vieillesse a bien changé (surtout en Europe et aux Etats-Unis). Le lien intergénérationnel s’est distendu.
Va-t-on s’y habituer ou, au contraire, se décider à valoriser le trésor d’humanité et de compétences détenu par une frange de la vieillesse très douée, les gens de l’âge d’or, ces sexagénaires à peine retraités, que plusieurs enquêtes officielles ont identifiés comme les personnes les plus heureuses de l’âge mûr ?
Dans cet essai, nourri par des témoignages informels autant que par des documents officiels, Italo Musil s’interroge sur la place des seniors –ni jeunes ni trop vieux– dans une société en constante évolution et leur lance un défi, à eux mais aussi à la jeunesse et aux responsables politiques, pour rétablir une solidarité intergénérationnelle qui présente en l’état un déséquilibre impressionnant.
Les rentes de vieillesse dans les pays à très bas seuil de départ à la retraite coûtent deux fois plus que la santé ou l’enseignement, alors même qu’un pourcentage élevé de retraités vit dans la pauvreté et que quantité de jeunes n’ont pas accès aux études supérieures par manque de structures.