« Nous voulons réunir sur un même site l’ensemble des forces, des énergies et des compétences qui permettront de relever le grand défi posé à notre société, par l’allongement de la vie de nos concitoyens » a affirmé à cette occasion Jean Mariani*, porteur du projet scientifique de l’Institut de la longévité Charles Foix et directeur du laboratoire neurobiologique des processus adaptatifs de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC).
Et d’ajouter dans une interview sur le site Internet de l’UPMC : « aujourd’hui beaucoup de médecins et de chercheurs travaillent sur le vieillissement mais de façon segmentée et isolée. Résultat : on avance mais pas assez vite eu égard aux enjeux que pose la révolution silencieuse de l’allongement de la vie. Seule une approche pluridisciplinaire et intégrée des questions soulevées par la longévité et du vieillissement peut offrir de réels progrès ».
Vivre plus vieux et mieux vieillir
En France, l’allongement de la vie et les conséquences qui s’ensuivent sont une préoccupation de plus en plus importante pour les chercheurs et le grand public. Des efforts considérables ont été entrepris depuis de nombreuses années en région Île-de-France par l’AP-HP (Assistance Publique–Hôpitaux de Paris), l’UPMC et les collectivités territoriales permettant une véritable émulation autour de la gérontologie regroupant recherche, enseignement et valorisation.
Ces activités coordonnées devront se consacrer à la promotion du « bien vieillir » et du maintien de l’autonomie, ce qui est indissociable de la prévention des grands fléaux liés à l’avance en âge que sont les maladies neuropsychiatriques, les maladies cardiovasculaires et les cancers.
L’innovation au service de la longévité
L’Institut de la longévité Charles Foix aura pour objectif de développer la recherche fondamentale et clinique sur la longévité et sur les maladies associées au vieillissement (Alzheimer, maladies cardiovasculaires…). Il visera également à favoriser l’innovation, la valorisation technologique et la formation des professionnels grâce à l’installation d’un centre de recherche, d’une pépinière d’entreprises pour les biotechnologies et les gérontechnologies.
À terme, ce dispositif unique en France permettra de tester de nouvelles thérapies mieux adaptées aux besoins des personnes âgées et de développer de nouvelles technologies pour faciliter la vie quotidienne des personnes dépendantes et améliorer leur autonomie.
Et d’ajouter dans une interview sur le site Internet de l’UPMC : « aujourd’hui beaucoup de médecins et de chercheurs travaillent sur le vieillissement mais de façon segmentée et isolée. Résultat : on avance mais pas assez vite eu égard aux enjeux que pose la révolution silencieuse de l’allongement de la vie. Seule une approche pluridisciplinaire et intégrée des questions soulevées par la longévité et du vieillissement peut offrir de réels progrès ».
Vivre plus vieux et mieux vieillir
En France, l’allongement de la vie et les conséquences qui s’ensuivent sont une préoccupation de plus en plus importante pour les chercheurs et le grand public. Des efforts considérables ont été entrepris depuis de nombreuses années en région Île-de-France par l’AP-HP (Assistance Publique–Hôpitaux de Paris), l’UPMC et les collectivités territoriales permettant une véritable émulation autour de la gérontologie regroupant recherche, enseignement et valorisation.
Ces activités coordonnées devront se consacrer à la promotion du « bien vieillir » et du maintien de l’autonomie, ce qui est indissociable de la prévention des grands fléaux liés à l’avance en âge que sont les maladies neuropsychiatriques, les maladies cardiovasculaires et les cancers.
L’innovation au service de la longévité
L’Institut de la longévité Charles Foix aura pour objectif de développer la recherche fondamentale et clinique sur la longévité et sur les maladies associées au vieillissement (Alzheimer, maladies cardiovasculaires…). Il visera également à favoriser l’innovation, la valorisation technologique et la formation des professionnels grâce à l’installation d’un centre de recherche, d’une pépinière d’entreprises pour les biotechnologies et les gérontechnologies.
À terme, ce dispositif unique en France permettra de tester de nouvelles thérapies mieux adaptées aux besoins des personnes âgées et de développer de nouvelles technologies pour faciliter la vie quotidienne des personnes dépendantes et améliorer leur autonomie.
Jen Mariani en quelques mots...
Jean Mariani, est actuellement Professeur à l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC), où il enseigne les neurosciences et la biologie du vieillissement, et Praticien Hospitalier à l’Hôpital Charles Foix (AP-HP) ou il est porteur du projet d’Institut de la Longévité.
Ses travaux de recherche portent sur les étapes tardives du développement du système nerveux, son vieillissement et certaines de ses pathologies neurodégénératives. Il a exercé ou exerce plusieurs responsabilités au sein de l’UPMC (membre directoire et du conseil scientifique de l’Université et de celui de l’UFR des Sciences de la Vie) ainsi qu’au sein du département des Sciences de la Vie du CNRS et de plusieurs fondations notamment la Fondation pour la Recherche Médicale.
Il est aussi, depuis 2002, directeur de l’Institut de la longévité et du vieillissement, créé comme groupement d’intérêt scientifique et depuis 2007 directeur du programme interdisciplinaire Longévité et Vieillissement du CNRS.
Ses travaux de recherche portent sur les étapes tardives du développement du système nerveux, son vieillissement et certaines de ses pathologies neurodégénératives. Il a exercé ou exerce plusieurs responsabilités au sein de l’UPMC (membre directoire et du conseil scientifique de l’Université et de celui de l’UFR des Sciences de la Vie) ainsi qu’au sein du département des Sciences de la Vie du CNRS et de plusieurs fondations notamment la Fondation pour la Recherche Médicale.
Il est aussi, depuis 2002, directeur de l’Institut de la longévité et du vieillissement, créé comme groupement d’intérêt scientifique et depuis 2007 directeur du programme interdisciplinaire Longévité et Vieillissement du CNRS.