« La moitié des baby-boomers, nés au début des années 50, a déjà dans le cerveau les lésions chimiques caractéristiques de la maladie d'Alzheimer ! » affirme d'emblée dans son communiqué l’Institut Beaulieu, qui comme son nom l’indique, est géré par le professeur Etienne-Emile Baulieu*, endocrinologue et biochimiste, père de la pilule contraceptive RU486 et de la DHEA**.
« On ne connaît pas et on n'est probablement pas prêt de connaître la cause de ces maladies dégénératives et moins encore de les guérir. Malgré les progrès qui se profilent, la découverte fondamentale qui bouleversera nos connaissances dans ce domaine, n'est pas en vue » précise encore le communiqué.
Dans ces conditions, l'unique solution est de retarder le moment de la dépendance en ralentissant l'évolution de la maladie ou, à tout le moins, de ses symptômes. Tout comme de nos jours, on survit souvent longtemps avec un cancer assoupi par le traitement, ou encore on peut vivre avec le sida pendant plusieurs décennies grâce aux trithérapies.
« Parvenir à retarder, ne serait ce que d'un an, la survenue de la dépendance pour seulement 10% des personnes victimes de la maladie d'Alzheimer, représenterait pour la collectivité française une économie d’un milliard d'euros » remarque l’Institut Beaulieu.
Dans ce contexte, et afin de poursuivre ses recherches scientifiques dans le domaine hormonal –freinées par faute de fonds- le professeur Etienne-Emile Beaulieu part en quête de financements et de dons… Pour un premier programme de trois ans, l’institut estime ses besoins à quatre millions d’euros.
« Que votre génération, placée sous le signe de la liberté et de l’autonomie, prenne l’initiative d’un mouvement en faveur de la recherche, pour échapper à la fatalité de ces maladies déshumanisantes ! Prenez conscience du danger qui vous menace, formez une sorte de « lobby des futurs malades » qui appelle à un travail de recherche et mobilise d’urgence les moyens financiers nécessaires, pour, à tout le moins, retarder le fléau de la dépendance » clame le professeur dans une tribune publiée dans Libération.
En contrepartie, l’Institut Beaulieu s’engage à rendre compte de l'utilisation de vos dons et vous tenant régulièrement au courant de l'avancée des recherches.
*Membre du Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé depuis 1996.
**Dans son rapport publié en juillet 2001, rappelons que l'Afssaps déconseillait la prescription de la DHEA dans le cadre de la lutte contre les effets du vieillissement, quel que soit l’âge et le sexe.
« On ne connaît pas et on n'est probablement pas prêt de connaître la cause de ces maladies dégénératives et moins encore de les guérir. Malgré les progrès qui se profilent, la découverte fondamentale qui bouleversera nos connaissances dans ce domaine, n'est pas en vue » précise encore le communiqué.
Dans ces conditions, l'unique solution est de retarder le moment de la dépendance en ralentissant l'évolution de la maladie ou, à tout le moins, de ses symptômes. Tout comme de nos jours, on survit souvent longtemps avec un cancer assoupi par le traitement, ou encore on peut vivre avec le sida pendant plusieurs décennies grâce aux trithérapies.
« Parvenir à retarder, ne serait ce que d'un an, la survenue de la dépendance pour seulement 10% des personnes victimes de la maladie d'Alzheimer, représenterait pour la collectivité française une économie d’un milliard d'euros » remarque l’Institut Beaulieu.
Dans ce contexte, et afin de poursuivre ses recherches scientifiques dans le domaine hormonal –freinées par faute de fonds- le professeur Etienne-Emile Beaulieu part en quête de financements et de dons… Pour un premier programme de trois ans, l’institut estime ses besoins à quatre millions d’euros.
« Que votre génération, placée sous le signe de la liberté et de l’autonomie, prenne l’initiative d’un mouvement en faveur de la recherche, pour échapper à la fatalité de ces maladies déshumanisantes ! Prenez conscience du danger qui vous menace, formez une sorte de « lobby des futurs malades » qui appelle à un travail de recherche et mobilise d’urgence les moyens financiers nécessaires, pour, à tout le moins, retarder le fléau de la dépendance » clame le professeur dans une tribune publiée dans Libération.
En contrepartie, l’Institut Beaulieu s’engage à rendre compte de l'utilisation de vos dons et vous tenant régulièrement au courant de l'avancée des recherches.
*Membre du Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé depuis 1996.
**Dans son rapport publié en juillet 2001, rappelons que l'Afssaps déconseillait la prescription de la DHEA dans le cadre de la lutte contre les effets du vieillissement, quel que soit l’âge et le sexe.