L’histoire a commencé en 2006 dans la petite rue de Gough street, située en plein cœur de l’île de Hong-Kong, à mi-chemin entre le quartier de Central et celui Sheung Wan. Depuis quelques années, cette minuscule artère est « trustée » par les magasins branchés de décoration et de design.
Mais comme un peu partout dans l’ex-colonie britannique, on y trouve également de nombreux restaurants. Agnès B café, Rare, Shanghai Lane mais aussi… Gingko House. Une minuscule échoppe ouverte en 2006 par Joyce Mak afin de favoriser l’emploi des seniors et réduire l’isolement de ces ainés. Une gageure dans cette ville d’Asie résolument tournée vers la jeunesse et les nouvelles technos.
Depuis le lancement de ce concept unique à Hong Kong -et probablement en Asie du sud-est-, la petite entreprise s’est agrandie et compte aujourd’hui cinq établissements. Au menu, des plats très locaux que les Hongkongais adorent : des petits snacks et des thés aux herbes.
La quasi-totalité -80%- des employés sont des ainés. Ils gèrent les restaurants, mais également le marketing, les approvisionnements, les cuisines, la direction… Ils sont impliqués à tous les niveaux. « Tous sont très engagés, responsables et ce sont des travailleurs acharnés. On sent également une véritable soif d’apprendre même s’ils oublient certaines choses parfois » souligne Joyce.
Un business model intelligent qui, en plus de donner du travail aux ainés (les retraites sont très faibles à Hongkong – un tiers des ainés vit sous le seuil de pauvreté) favorise également le développement de la vie sociale de ces anciens.
Dernière petite précision, le nom n’a pas été choisi au hasard… En effet le gingko est un arbre particulièrement résistant ; ainsi, trois auraient survécu aux bombardements atomiques de la seconde guerre mondiale au Japon.
Mais comme un peu partout dans l’ex-colonie britannique, on y trouve également de nombreux restaurants. Agnès B café, Rare, Shanghai Lane mais aussi… Gingko House. Une minuscule échoppe ouverte en 2006 par Joyce Mak afin de favoriser l’emploi des seniors et réduire l’isolement de ces ainés. Une gageure dans cette ville d’Asie résolument tournée vers la jeunesse et les nouvelles technos.
Depuis le lancement de ce concept unique à Hong Kong -et probablement en Asie du sud-est-, la petite entreprise s’est agrandie et compte aujourd’hui cinq établissements. Au menu, des plats très locaux que les Hongkongais adorent : des petits snacks et des thés aux herbes.
La quasi-totalité -80%- des employés sont des ainés. Ils gèrent les restaurants, mais également le marketing, les approvisionnements, les cuisines, la direction… Ils sont impliqués à tous les niveaux. « Tous sont très engagés, responsables et ce sont des travailleurs acharnés. On sent également une véritable soif d’apprendre même s’ils oublient certaines choses parfois » souligne Joyce.
Un business model intelligent qui, en plus de donner du travail aux ainés (les retraites sont très faibles à Hongkong – un tiers des ainés vit sous le seuil de pauvreté) favorise également le développement de la vie sociale de ces anciens.
Dernière petite précision, le nom n’a pas été choisi au hasard… En effet le gingko est un arbre particulièrement résistant ; ainsi, trois auraient survécu aux bombardements atomiques de la seconde guerre mondiale au Japon.