Ce n’est plus un secret. De nombreuses études montrent les bénéfices liés à la pratique d’une activité physique et sportive, modérée, progressive et régulière sur les effets délétères du cancer : amélioration des capacités fonctionnelles, des aptitudes cardio- respiratoires, de la qualité du sommeil, diminution de la fatigue, diminution du sentiment d'isolement et amélioration de l'image du corps.
L’activité physique améliore ainsi la qualité de vie et surtout, fait reculer les risques de récidive de 30 à 40% pour le cancer du sein par exemple. Naturellement, ce programme est encadré par des animateurs expérimentés, spécifiquement formés à ces publics fragilisés par la maladie mais également par les traitements.
Selon la fédération, « près de 170 animateurs animent ainsi plus d’une centaine de ces programmes sur tout le territoire pour un accès facilité dans toutes les régions de France ». Comme l’indique Françoise Sauvageot, Présidente de la FFEPGV : « nous sommes très investis sur la question de l’accompagnement à la pratique d’une activité physique pendant et après la maladie. Gym’Après Cancer est pour nous un geste de solidarité essentiel pour faire reculer les récidives et rendre le Sport Santé accessible au plus grand nombre ».
Chaque session s’adapte en permanence au groupe mais aussi à chacun de ces sportifs. De fait, les animateurs doivent faire face à l'hétérogénéité du public due à de multiples facteurs : le type de cancer, l’avancée dans la maladie, la personnalité et l’âge des patients, les antécédents sportifs et les motivations de ces personnes.
Dans la pratique, le programme se déroule sur l'année sportive, de septembre à juin, soit 36 semaines à raison de trois séances (deux en salle et une en extérieur) d’une heure par semaine pour explorer :
- La motricité générale (équilibre et habiletés motrices) car les personnes adressées sont souvent inactives et peu sportives à leur arrivée,
- L'aptitude cardio-respiratoire face au manque d'activité et à la fatigue des participants accrue par la maladie et les traitements,
- La force musculaire pour améliorer les gestes de la vie quotidienne et parfois faire face à une chirurgie mutilante.
Tous ces contenus sont abordés au travers d'une approche sensorielle du corps (souplesse et communication motrice). Une progression est prévue par cycle, faisant ainsi évoluer en intensité et en complexité le travail afin que les participants améliorent leur niveau de compétence toute l’année et apprennent à mieux se connaître dans l’effort.
*Fédération de la Gymnastique Volontaire
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L’activité physique améliore ainsi la qualité de vie et surtout, fait reculer les risques de récidive de 30 à 40% pour le cancer du sein par exemple. Naturellement, ce programme est encadré par des animateurs expérimentés, spécifiquement formés à ces publics fragilisés par la maladie mais également par les traitements.
Selon la fédération, « près de 170 animateurs animent ainsi plus d’une centaine de ces programmes sur tout le territoire pour un accès facilité dans toutes les régions de France ». Comme l’indique Françoise Sauvageot, Présidente de la FFEPGV : « nous sommes très investis sur la question de l’accompagnement à la pratique d’une activité physique pendant et après la maladie. Gym’Après Cancer est pour nous un geste de solidarité essentiel pour faire reculer les récidives et rendre le Sport Santé accessible au plus grand nombre ».
Chaque session s’adapte en permanence au groupe mais aussi à chacun de ces sportifs. De fait, les animateurs doivent faire face à l'hétérogénéité du public due à de multiples facteurs : le type de cancer, l’avancée dans la maladie, la personnalité et l’âge des patients, les antécédents sportifs et les motivations de ces personnes.
Dans la pratique, le programme se déroule sur l'année sportive, de septembre à juin, soit 36 semaines à raison de trois séances (deux en salle et une en extérieur) d’une heure par semaine pour explorer :
- La motricité générale (équilibre et habiletés motrices) car les personnes adressées sont souvent inactives et peu sportives à leur arrivée,
- L'aptitude cardio-respiratoire face au manque d'activité et à la fatigue des participants accrue par la maladie et les traitements,
- La force musculaire pour améliorer les gestes de la vie quotidienne et parfois faire face à une chirurgie mutilante.
Tous ces contenus sont abordés au travers d'une approche sensorielle du corps (souplesse et communication motrice). Une progression est prévue par cycle, faisant ainsi évoluer en intensité et en complexité le travail afin que les participants améliorent leur niveau de compétence toute l’année et apprennent à mieux se connaître dans l’effort.
*Fédération de la Gymnastique Volontaire
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