Accompagné de Xavier Bertrand et de Laurent Wauquiez, le chef de l'Etat a déclaré que le partage du travail et le sous-emploi des seniors constituaient « une erreur économique doublée d'un scandale social ». Selon lui, ce n'est pas parce que « l'on autorise les seniors à travailler plus longtemps que l'on prend des emplois aux jeunes ».
Rappelons qu’en France seuls 38,3 % des personnes âgées de 55 à 65 ans occupaient en 2007 un emploi salarié, contre une moyenne de 43,6 % dans les pays membres de l'Union européenne. Ce taux d'emploi des seniors est loin derrière l'objectif de 50 % fixé au niveau communautaire. Pour améliorer l'emploi des seniors, le président de la République a affirmé son soutien au plan présenté la semaine dernière aux partenaires sociaux par le ministre du Travail.
Ainsi, « ceux qui veulent partir à la retraite après leurs années de cotisation, ils partent en retraite. Celui qui veut travailler, il peut le faire (...) une fois que vous avez le plein de vos années de cotisation, vous dites je ne veux pas liquider ma retraite mais je veux qu'elle soit meilleure, et chaque année on vous donne 5 % de plus », a précisé Nicolas Sarkozy.
Le président a également insisté sur deux autres mesures du plan, le relèvement progressif du seuil de déclenchement des dispenses de recherches d'emploi pour les salariés de 57,5 ans et plus, et l'obligation pour les entreprises de s'engager d'ici à 2010 à augmenter le nombre de leurs salariés seniors sous peine de sanctions financières.
Le chef de l’Etat a réaffirmé sa volonté de faire passer à 41 ans le nombre d'années de cotisation pour bénéficier d'une retraite à taux plein en précisant qu'il avait le devoir « d'assurer la pérennité du financement » de notre système. Il a également annoncé que l'ensemble des retraites serait augmenté le 1er septembre de 0,8 %, en plus de la hausse de 1,1 % annoncée en janvier dernier.
Rappelons qu’en France seuls 38,3 % des personnes âgées de 55 à 65 ans occupaient en 2007 un emploi salarié, contre une moyenne de 43,6 % dans les pays membres de l'Union européenne. Ce taux d'emploi des seniors est loin derrière l'objectif de 50 % fixé au niveau communautaire. Pour améliorer l'emploi des seniors, le président de la République a affirmé son soutien au plan présenté la semaine dernière aux partenaires sociaux par le ministre du Travail.
Ainsi, « ceux qui veulent partir à la retraite après leurs années de cotisation, ils partent en retraite. Celui qui veut travailler, il peut le faire (...) une fois que vous avez le plein de vos années de cotisation, vous dites je ne veux pas liquider ma retraite mais je veux qu'elle soit meilleure, et chaque année on vous donne 5 % de plus », a précisé Nicolas Sarkozy.
Le président a également insisté sur deux autres mesures du plan, le relèvement progressif du seuil de déclenchement des dispenses de recherches d'emploi pour les salariés de 57,5 ans et plus, et l'obligation pour les entreprises de s'engager d'ici à 2010 à augmenter le nombre de leurs salariés seniors sous peine de sanctions financières.
Le chef de l’Etat a réaffirmé sa volonté de faire passer à 41 ans le nombre d'années de cotisation pour bénéficier d'une retraite à taux plein en précisant qu'il avait le devoir « d'assurer la pérennité du financement » de notre système. Il a également annoncé que l'ensemble des retraites serait augmenté le 1er septembre de 0,8 %, en plus de la hausse de 1,1 % annoncée en janvier dernier.
Le groupe KP1 choisi par l’Elysée pour l’exemplarité de sa démarche « seniors ».
La visite du site industriel de Pujaut (Gard), s’est inscrite dans le cadre du déplacement présidentiel ayant pour thème « l’emploi des seniors ». Ce choix de la Présidence de la République visait à souligner l’engagement et l’expérience de KP1 dans une démarche de « Transfert des savoir-faire de l’expérience » et d’une manière plus générale, de l’emploi des seniors à travers une politique de recrutement dynamique, privilégiant la motivation et la mixité des âges.
Vingt-cinq collaborateurs sur le site de Pujaut ont été ou sont concernés par cette démarche transversale privilégiant la transmission entre les générations. Une réponse qui se veut « efficace » aux difficultés de recrutement mais aussi à la nécessité de conserver le tour de main et l’expérience des collaborateurs KP1.
« Devant son succès tant sur le plan de la pérennisation des compétences que sur celui de la valorisation des seniors, cette démarche se déploie désormais sur les autres sites et concerne à ce jour 100 collaborateurs en France » souligne un communiqué de la société KP1, l’un des leaders français du marché des systèmes constructifs préfabriqués et des solutions planchers pour le bâtiment.
Vingt-cinq collaborateurs sur le site de Pujaut ont été ou sont concernés par cette démarche transversale privilégiant la transmission entre les générations. Une réponse qui se veut « efficace » aux difficultés de recrutement mais aussi à la nécessité de conserver le tour de main et l’expérience des collaborateurs KP1.
« Devant son succès tant sur le plan de la pérennisation des compétences que sur celui de la valorisation des seniors, cette démarche se déploie désormais sur les autres sites et concerne à ce jour 100 collaborateurs en France » souligne un communiqué de la société KP1, l’un des leaders français du marché des systèmes constructifs préfabriqués et des solutions planchers pour le bâtiment.