La première fois, il y a trente-trois ans, en août 1978, Diana Nyad avait du abandonner -à contre-cœur- sa traversée à mi-chemin. Au bout de 41 heures. Entre Cuba et les Etats-Unis, la mer était alors démontée : en cause, un fort vent de nord-est. L’exploit devenait trop dangereux à réaliser. Sans compter que Diana était couverte de brûlures de méduses !
Trois décennies plus tard, l’échec n’a toujours pas été digéré. Aujourd’hui, Diana Nyad a 61 ans. Et elle est bien décidée à retenter cette aventure un peu folle ; celle de traverser la mer qui sépare Cuba des Etats-Unis (Key West en Floride). Cette portion d’Océan qu’aimait tant l’écrivain Ernest Hemingway. Quelques 170 km ; 103 miles. Plein nord. Si loin, si proche.
« Quand j’ai passé le cap de la soixantaine, j’étais dévasté par les regrets » confie la nageuse dans la presse américaine. « Et désespérée à l’idée du peu de temps qu’il me restait. Je me suis tournée vers ce rêve. Et depuis, tous mes regrets se sont évanouis ».
Ainsi, dès que les conditions météorologiques le permettront -le plus important étant que la mer soit le plus calme possible-, la sexagénaire va de nouveau se jeter à l’eau. Certes, elle est aujourd’hui moins rapide qu’en 1978, mais Diana Nyad se dit plus endurante. Elle s’entraine d’ailleurs quotidiennement depuis un an, annonce-t-elle sur son compte Twitter !
Naturellement Diana ne part pas seule dans cette aventure. Elle sera accompagnée d’une équipe d’une vingtaine de personnes qui veillera sur elle pendant cette traversée : ravitaillement et vérification de sa condition physique. Mais ses équipiers seront également en charge d‘éloigner les requins, très nombreux dans ces eaux du détroit de Floride...
Si tout se passe bien, cette course d’endurance devrait durer trois jours et deux nuits : en tout, une soixantaine d‘heures en pleine mer. Pour être homologué, la nageuse ne devra porter aucune combinaison, ni s‘accrocher une seule fois à quoique ce soit pendant la traversée.
Bref, rien à voir avec les baignades idylliques dans les eaux turquoises de Floride ou de Cuba. Mais une belle aventure humaine. Qui montre bien, une fois encore, que les rêves de jeunesse peuvent avoir la vie dure !
Trois décennies plus tard, l’échec n’a toujours pas été digéré. Aujourd’hui, Diana Nyad a 61 ans. Et elle est bien décidée à retenter cette aventure un peu folle ; celle de traverser la mer qui sépare Cuba des Etats-Unis (Key West en Floride). Cette portion d’Océan qu’aimait tant l’écrivain Ernest Hemingway. Quelques 170 km ; 103 miles. Plein nord. Si loin, si proche.
« Quand j’ai passé le cap de la soixantaine, j’étais dévasté par les regrets » confie la nageuse dans la presse américaine. « Et désespérée à l’idée du peu de temps qu’il me restait. Je me suis tournée vers ce rêve. Et depuis, tous mes regrets se sont évanouis ».
Ainsi, dès que les conditions météorologiques le permettront -le plus important étant que la mer soit le plus calme possible-, la sexagénaire va de nouveau se jeter à l’eau. Certes, elle est aujourd’hui moins rapide qu’en 1978, mais Diana Nyad se dit plus endurante. Elle s’entraine d’ailleurs quotidiennement depuis un an, annonce-t-elle sur son compte Twitter !
Naturellement Diana ne part pas seule dans cette aventure. Elle sera accompagnée d’une équipe d’une vingtaine de personnes qui veillera sur elle pendant cette traversée : ravitaillement et vérification de sa condition physique. Mais ses équipiers seront également en charge d‘éloigner les requins, très nombreux dans ces eaux du détroit de Floride...
Si tout se passe bien, cette course d’endurance devrait durer trois jours et deux nuits : en tout, une soixantaine d‘heures en pleine mer. Pour être homologué, la nageuse ne devra porter aucune combinaison, ni s‘accrocher une seule fois à quoique ce soit pendant la traversée.
Bref, rien à voir avec les baignades idylliques dans les eaux turquoises de Floride ou de Cuba. Mais une belle aventure humaine. Qui montre bien, une fois encore, que les rêves de jeunesse peuvent avoir la vie dure !